les arènes

description généraleLes arènes sont aujourd’hui une activité et un divertissement totalement illégal et organisé de manière clandestine par une poignée de sorciers. Son objectif est, aux yeux des sorciers qui y participent activement ou en tant que spectateur, de préserver un patrimoine historique, mais également, et surtout, d’asseoir une certaine supériorité des sorciers sur tout autre être vivant (magique ou non).

Milieu réservé aux hommes (bien qu’on peut y voir en de très rares occasions des femmes mais elles y sont vraiment pas bien accueillies ni les bienvenues), c’est devenu également un lieu d’échange commercial ou un excellent endroit pour tisser des liens entre famille influente sorcière. Dans les arènes, vous y verrez essentiellement des hybrides se battre (a mort ou non), mais également des créatures magiques, des cracmols et dans de très rares cas des né-moldus ou des sorciers (purs ou mêlés). Plus rares encore sont les occasions on y voit des moldus.

Sommaire

• Histoire
  
• Les rôles
  
• Déroulement
  

HistoireLes arènes existent depuis plusieurs siècles. À l'époque, il s'agissait d'un véritable divertissement respecté et respectable. Au sein des arènes, vous pouviez y voir de grands sorciers, qu'ils soient hybrides ou non, sang mêlé, né moldu ou pur, se battre de leur magie pour les vivats de la foule. Cette position était autrefois très respectée et presque enviée, elle permettait de divertir, et de faire tourner l'économie dans une ville, à l'image des arènes romaines. A l’époque, il n’était pas rare également de voir des moldus y être envoyés (généralement des prisonniers moldus accusés d’avoir commis un crime contre des sorciers). Il pouvait également y avoir des Cracmols.

Au fil des siècles, l'image des arènes s'est dégradée et les lois interdisant ces combats se sont multipliées. Les moldus y ont d’abord été interdits, les cracmols ensuite et les interdictions n’ont fait que se multiplier jusqu’à ce que les arènes et leur activité soit tout simplement interdite. De nombreuses arènes ont été fermées, voire détruites. Pourtant, il existe encore de nombreux sorciers conservateurs intéressés par cette activité considérée aujourd'hui comme barbares. C'est pour préserver ce patrimoine que les anciennes générations de Gaunt ont commencé à organiser des combats en arènes sous le manteau.

Aujourd'hui, c'est un lieu sombre où l'élite de l'élite vient observer des malheureux se battre, dans les spectateurs, parieurs et lanistes, vous ne trouverez presque qu'exclusivement des hommes. On vient ici pour parier, mais également créer des alliances entre famille ou entreprise. Les combattants sont essentiellement des hybrides, ou des sorciers (rarement des sang-pur), parfois il s’agit de combat entre créatures magiques. En de très rares occasions, on peut y trouver des cracmols et plus rares encore des moldus.

Les rôlesLes lanistesTitre que l’on donnait à l’époque aux sorciers qui possédaient des gladiateurs. Ce titre n’a pas été réellement changé, bien qu’il ne revête plus le même respect qu’à l’époque. À l’époque, Le laniste était un marchand, un entraîneur et un propriétaire de gladiateurs. Aujourd’hui, le laniste est avant tout un marchand et un propriétaire de gladiateurs, peu prennent réellement le temps d’entraîner leur combattant, car peu connaissent et comprennent la nature magique des créatures ou des hybrides qu’ils ont en leur possession. Bien évidemment, au vu de la nature illégale de cette activité, les sorciers d’aujourd’hui ne se vantent pas d’être laniste.

Les guérisseurs Rôle particulièrement important, leur devoir est de faire en sorte qu'un combattant survivent à ses blessures (sauf dans le cadre d'un combat à mort). Ils ont régulièrement une relation d'amour/haine avec les combattants. Et pour cause, plus vite un gladiateur est remit sur pieds, plus vite il retournera en arène. Particulièrement soumis à des serments inviolables ou des contrats enchantés, le rôle de guérisseurs est sous étroite surveillance et une majorité de laniste préfère avoir leur guérisseur attitré plutôt que d'utiliser celui d'un organisateur de combattant.

Les bookmakers Ce sont eux qui incitent aux paris. Jamais eux-même laniste (pour des raisons évidentes d'objectivités), ils sont soumis à des contrats avec les lanistes présentes qui touche un pourcentage des paris, le bookmakers un autre pourcentage. Même si tout est mis en œuvre pour éviter les combats truqués, il n'est pas rare qu'un bookmaker et des lanistes se mettent d'accord pour truquer un combat.

Les spectateurs Souvent des amateurs de sensations fortes et de paris sportifs. Exclusivement masculin, il est très rare et surtout très mal vu pour une femme d'être spectatrice d'un combat d'arène. Pierre angulaire de ces activités, ce sont les spectateurs qui font tourner le commerce avec leur pari. L'intérêt de venir voir un combat ? Au-delà de l'aspect récréatif aux yeux de certains, c'est un excellent moyen de tisser des alliances profitables.

Les gladiateursBien qu’on soit très loin de l’époque des arènes à la romaine, les combattants sont encore nommés gladiateurs. Les raisons de leur présence peuvent être variées : une dette envers quelqu'un d'influent, simplement capturer pour être envoyé en arène, une vengeance, si vous vous trouvez dans les arènes pour combattre, il y a fort à parier que cela n'était pas votre plan de carrière de départ et que vous y êtes contre votre gré ou pour survivre à un sort pire encore que les arènes. Il existe quelques rares cas de personnes assez désespérées pour vouloir se faire de l'argent en tant que combattant et qui y sont donc de leur propre gré.

Il faut savoir que même en cas de capture, un gladiateur reste un investissement pour les lanistes. Bien qu’on ne puisse pas parler de bon traitement, les sorciers lanistes sont bien conscients de la valeur que peut avoir un combattant et font en sorte que cet investissement puisse en valoir le coup. Si leur sort n’a rien d’enviable, il est plutôt rare qu’un laniste s’en prenne à un de ses gladiateurs, préférant qu’ils soient un minimum en forme pour combattre et lui rapporter de l’argent.

Bien évidemment, certains lanistes d’aujourd’hui n’ont pas ce scrupule.

Il existe donc deux catégories de gladiateurs. La première catégorie, majoritaire, sont ceux qui sont là par contrainte (piégé, capturé, etc…), pour ceux-là leur captivité peut vraiment s’avérer être compliquée (notamment pour les capturés) car rien n'est laissé au hasard pour éviter toute rébellion ou toute tentative de fuite.
L’autre catégorie, très largement minoritaire, sont ceux qui sont là volontairement. Leurs conditions de détention peuvent être similaires à la première catégorie comme elles peuvent être très différentes. En fonction des lanistes et de la sécurité prise, les combattants volontaires peuvent avoir plus ou moins de liberté, mais tout est malgré tout mis en œuvre pour qu’ils ne puissent pas se libérer aussi facilement.

DéroulementCombat à mort ou nonSelon les organisateurs, le public et les lanistes, les combats peuvent être des combats à mort, mais ce n'est pas une obligation. Ils sont d’ailleurs plutôt rares. En effet, vu la nature complètement illégale de cette activité, remplacer des combattants peut s’avérer être particulièrement compliqué. Ainsi donc, les lanistes auront une large préférence pour un combat sans mise à mort.

Les lieux et invitationsLes combats sont organisés dans différents lieux, allant d'anciennes véritables arènes de l'époque aux sous-sols d'un bar. Le lieu d’un combat est connu précisément uniquement des organisateurs, jamais des participants (bien qu’avec le temps, ils peuvent comprendre où ils sont) et encore moins combattants qui seront incapables de savoir où ils se situent géographiquement. Les portoloins sont le moyen de prédilection pour se rendre à une arène, seuls les lanistes invités reçoivent un portoloin personnel par hibou postal. C’est dans une autre lettre, souvent cryptique, qu’ils reçoivent les détails du jour et de l’heure de l’activation du portoloin.

Quand aux autres, ils reçoivent uniquement une invitation crypté sur le jour et l'heure du prochain combat. Pour s'y rendre, ils devront en passer par le phare de Kentish Knock. Sur place, l'invitation et l'identité est vérifié avant qu'on vous laisse rejoindre un portoloin pour retrouver le lieu où se déroulera le combat. Il est tout a fait possible pour un habituel d'inviter une personne mais elle devra obligatoirement en référé aux organisateurs et obtenir leur autorisation.

L'arèneL'arène en elle-même est sous un dôme magique, une véritable cage invisible, surtout présente pour protéger les spectateurs en cas de rébellion. Les gladiateurs sont souvent drogués et possèdent des bracelets permettant de lancer un Doloris à distance voire même d'inhiber leur magie.

Les protectionsC'est un cercle plus que fermé, où l'argent est mise en jeu. Pour pouvoir participer aux arènes, peu importe le rôle, il n'est pas rare d'être soumis aux serments inviolables ou à la signature d’un contrat écrit sur un parchemin enchanté. Les effets du parchemin enchanté peuvent varier en fonction de l’enchantement qui lui a été administré, mais en tout état de cause, si vous trahissez le contrat signé, les effets n’ont rien d’agréable et ses conséquences pourraient être tout aussi préjudiciables qu’un serment inviolable. Cette sécurité est mise en place pour protéger les intérêts de l'élite et éviter ainsi les vengeances mesquines, les revanchards ou les possibles sursauts de conscience.

La seule exception à cette règle est parfois les combattants présents contre leur gré, car pour eux, il y a en théorie qu'une seule façon de quitter les arènes : les pieds devant. Cependant, cette exception se fait de plus en plus rare et beaucoup des gladiateurs sont soumis à un contrat enchanté qui les empêche tout simplement de fournir l’identité de qui que ce soit qu’ils auraient rencontré. Comme tout est mis en œuvre pour que les divers lieux soient gardés secret, les gladiateurs possèdent donc au final que très peu de preuves ou détails incriminants. Les rares, à avoir réussi à quitter les arènes, vivant ont d’ailleurs une telle crainte d’y être à nouveau envoyés qu’ils n’ont pas le courage d’alerter les autorités. Et lorsque cela arrive, dans le meilleur des cas, ils ne sont pas pris au sérieux, dans le pire, ils font face à un possible parieur.

Il est à noter, cependant, qu'au cours de l'histoire, le démantèlement d'arènes furent plus ou moins nombreux et qu'il s'agit en réalité d'une hydre. Lorsqu'on lui coupe la tête, deux autres repoussent.