- POLYJUICESizwe Shacklebolt
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Gallions : 175
Mer 22 Mar - 1:04 (Δ)
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Sizwe Shacklebolt
ft. Dudley O'Shaughnessy
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Thandi est en réalité sa demi-sœur, Esihle sa sœur par adoption mais il ne fait pas la moindre distinction, si les liens de cœur pouvaient être dictés par de simples papiers, ça se saurait. Enfant du milieu il aimait sa place contrairement à tant d'autres, loin des regards il s'épanouissait, comme il le disait parfois, certaines plantes sont faites pour l'ombre, d'autres pour la lumière, le destin s'est cependant voulu bien farceur
Magie sans catalyseur (Expert) : Encore une fois un apprentissage pragmatique, les mains souvent occupées par ses béquilles, âgé de dix ans il a regardé d'un air circonspect la baguette qu'on lui présentait, puis les personnes qui la lui présentait, se demandant et leur demandant s'il devait espérer qu'une troisième main lui pousse ou développer suffisamment de dextérité pour l'utiliser avec sa bouche
Heureusement pour lui le monde de la magie était vaste. Il finira toutefois par avoir sa propre baguette quelques années après.
Il a envisagé d'être animagus avant de renoncer en apprenant qu'il devrait garder une feuille en bouche durant bien plus longtemps que ce que n'importe quel être sain d'esprit ferait, il juge toujours son frère et sa sœur à ce propos
Il n'a jamais eu les cheveux longs, trouvant la sensation particulièrement désagréable, parfois il se les décolore pour accompagner sa soeur Esihle dans ses extravagances
Il parle anglais, russe, zoulou et xhosa, moins porté sur les langues que ses frères et sœurs, il s'est contenté du "strict minimum"
Il a rejoint le club de duel de chacune de ses écoles où il a cumulé quelques titres mineurs, il remporte sa première compétition officielle à Sofia en 1924 puis les titres plus prestigieux de champion de Bulgarie en 1926, Russie en 1928, le tournoi africain de 1930 et le tournoi américain de 1934
Bois de chêne rouge, crin de sombral, 30 centimètres
Un lémurien
Par chance il n'a jamais été confronté à son épouvantard mais sa phobie il la connait, la peur d'être entravé, de ne plus pouvoir bouger, il ne veut pas savoir comment il viendrait la représenter
Vous serez attiré par l'odeur du café, du papier neuf et de la bergamote
- POLYJUICESizwe Shacklebolt
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story of my life
once upon a time
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C’était une belle journée d’été, les enfants jouaient et le jardin résonnait des cris, des babillements, des phrases qu’on avait tous déjà prononcées avant que la vie ne vole l’innocence de ces jours-là. On t’entendait toujours plus que les autres toi, c’était simple de te surveiller, de savoir où tu étais, il suffisait de t’écouter, parler, commenter, insatiable, dans une langue puis l’autre, parfois mélangées dans des créations propres à toi, pour te trouver. Ce fut ton silence qui les alerta tous alors après un moment, qui les fit se demander “où est Sizwe ?” avant de poser leurs verres de citronnade pour interroger tes frères, tes soeurs, cousins et cousines qui semblaient n’avoir aucune réponse à apporter autre que de vagues haussements d’épaules alors que l’inquiétude montait d’un cran chez les adultes qui commençaient à chercher plus activement, plus frénétiquement, jusqu’à trouver ce qu’ils auraient préféré ne jamais voir, la vision qu’ils n’effaceraient jamais de leurs esprits même s’ils le désiraient plus que tout au monde, le petit corps en bas de l’échelle, les volets qui battaient à l’étage du dessus, pas de sang mais des grands yeux bleus qui ne demandaient qu’à se fermer…
Tu crois te rappeler les avoir entendu te supplier de rester avec eux, tu crois te rappeler avoir eu envie de les rassurer, leur dire que Zinhle n’était pas tombée, que tu l’avais aidée à rentrer, que le toit n’était pas le meilleur endroit où se cacher mais que tout allait bien, pour elle, pour toi, mais avant même de réussir à entrouvrir les lèvres, tu étais déjà parti, tout s’était déjà effacé, les grands yeux bleus s’étaient fermés sans savoir que c’était sur le dernier jour sans combat à mener.
Ils ne racontent jamais la suite, tes parents, tes oncles et tantes, même tes frères et soeurs, ceux qui étaient assez âgés pour comprendre ne veulent pas mais tu l’as lu, dans les dossiers médicaux, tu l’as compris en déchiffrant le jargon incompréhensible des médicomages, en lisant entre les lignes de ceux qui pensent qu’on peut mieux camoufler l’horreur ainsi, le pronostic vital engagé durant des semaines, les perspectives incertaines, leur impuissance à prédire ce qui était perdu et tu te souviens du reste, tes yeux ouverts mais le corps qui ne répond pas, tout devoir réapprendre, les pleurs constants, la fatigue, la douleur, les progrès, fulgurants, toutes les fois où tu promettais à Zinhle que bientôt tout serait effacé, oublié, que tu serais bientôt de nouveau normal, comme eux, pour elle, et puis la stagnation, la frustration, la colère face à ce regard, à ton médicomage qui tentait de t’annoncer avec douceur que tu n’irais pas plus loin, que tu resterais comme ça mais que c’était déjà un exploit, un miracle…que tu refusais, obsédé par l’idée qu’on te verrait toujours à présent, toi qui n’avait toujours aspiré qu’à être confortablement dans l’ombre.
Différent.
Infirme.
Deux mots que tu sentais inscrit dans ta chair, à l’encre, au fer rouge.
Ton monde entier bascula dans le noir ce jour-là, comme un rideau tombe sur scène.
Fin de la pièce.
Fin de tout.
Le jour avait fini par arriver. Quand tu étais petit c’était le moment que tu attendais le plus, au point de dire à tes aînés de se taire, de ne rien te révéler pour préserver la surprise, pour préserver les étoiles dans tes yeux lorsqu’on te présenterait chacune des écoles et leurs merveilles mais depuis toutes les étoiles s’étaient éteintes les unes après les autres et les mots se succédaient sans avoir le moindre intérêt. Tu te sentais vide, désespérément vide et seul qu’importe la présence des autres autour de la table, tu aurais voulu être partout plutôt qu’ici, partout, dispersé dans le cosmos, plutôt que dans ce corps que tu haïssais plus violemment jour après jour et rien, pas même ce qui te faisait rêver jadis ne pourrait te rendre ce que tu avais perdu. A la mention de Poudlard, tu levais simplement les yeux au ciel, ça aurait pu être cette école, ou n’importe laquelle, tu avais simplement besoin de laisser éclater ton amertume puisque même la colère était incapable de venir jusqu’à toi.
“Ah oui ? Et je fais comment avec leurs escaliers, j’apprends à voler ?”
Tu te levais de table.
“La première dont vous avez parlé sera très bien, j’en ai rien à faire de toute façon.”
Tu claquais la porte avant qu’on essaye de te retenir, avant qu’on essaye de te mentir pour te rassurer. Tu aurais aimé fondre en larmes dans ta chambre, que ta sortie ait au moins eu un quelque chose de dramatique mais là aussi il n’y avait que le vide pour te répondre.
« Ta posture est pas bonne. Tu exposes trop ton côté gauche. Y en a qui ont perdu un œil, un bras ou une jambe pour moins que ca »
Une petite voix cristalline s’élevait de l’ombre, la tienne que tu n’avais pas su retenir et il se mit à chercher du regard d’où elle provenait, l’autre que tu observais un peu trop pour ton propre bien, dans un mélange encore enfantin d’amour et d’admiration, fronçant les sourcils en te voyant sortir dans la lumière.
« Tu t’y connais en duel toi ? »
Venant de n’importe qui tu aurais probablement été vexé, deux années n’avaient pas suffit à te faire accepter ce que tu voyais encore comme ton échec mais face à lui tu haussais simplement les épaules, une moue presque boudeuse aux lèvres alors que tu posais tes grands yeux au bleu étrange sur son visage.
« J’ai des frères et sœurs, des cousins et des cousines aussi »
Il acquiesçait. C’était pareil pour lui, tu le savais.
« Viens me montrer comment on fait alors »
Tu soupirais, le regard presque blasé, comme s’il venait de dire la pire des idioties, la chose la plus absurde de l’univers.
« Je peux pas marcher. Crétin »
Tu soufflais le dernier mot dans ta langue maternelle mais le ton amer n’échappait à personne, parfois il n’y avait pas besoin de comprendre une langue pour comprendre l’intention.
« Et ? »
« Et ? ». Tu imitais, te demandant sincèrement si son manque d’intelligence était inversement proportionnel à sa beauté.
« Et ? C’est quoi ton problème exactement ? Tu dois rester appuyé sur quelque chose ? »
Un haussement d’épaule à nouveau, un vague grognement pas très coopératif.
« Approche »
Sa main tendue, l’hésitation sur ton visage, en dehors de ta famille personne ne t’avait jamais guidé de la sorte, faire confiance, c’était abandonner une part de soi à l’autre.
Il était beau, certes, intrigant d’accord mais au point de lui abandonner cette part de toi ?
« Prends ma main, allez »
Tu finis par obtempérer, lâcher tes béquilles, le suivre, serrant tes doigts autour des siens, sa main froide, un peu moite contre la tienne, le handicap n’avait peut-être pas que des désavantages finalement.
« Avant un duel, étudie la salle, les endroits où tu peux poser ta main pour te stabiliser, comme une danse tu vois ? Ou mieux fais les apparaître, tu es un sorcier ou pas ? »
Oui, tu étais un sorcier et plus encore, un enfant pour qui on venait de construire un pont entre les rêves et la réalité, entre le possible et l’impossible. Le vide en toi reculait un peu, s’animait et l’ombre d’un sourire glissait sur tes lèvres.
Il pleure le nourrisson, vagit dans son berceau alors qu’elle te regarde, épuisée et belle, ses yeux comme un univers, le tien depuis si longtemps maintenant et ses yeux à lui…reflet parfait des tiens, le même bleu étrange, les mêmes expressions, tu le vois, tu le sais, mais après tout, n’ont-ils pas tous les yeux bleus les nourrissons ? C’est ce que tu lui dis, pour la rassurer, pour te rassurer avant de te demander si ce n’est pas plutôt chez les chats, ça…
Trois mois plus tard, même endroit, même scène et toujours des billes océans sur le visage dont les traits n’évoquent pas exactement un enfant né de deux parents égyptiens, tu la rassures encore pourtant, lui dis qu’après tout la génétique est mystérieuse, que la nature est pleine de surprise, elle en regorge, le monde aussi.
Six mois et cette fois son regard à elle se pose sur toi, un piège qui se referme. Tu connais ses regards mieux que n’importe quels autres et celui là…c’est celui qui annonce qu’il n’y aura pas de retour en arrière après cet instant, c’est le regard des médecins quand tu avais huit ans, quand ils annonçaient que tu t’étais bien battu mais que tu n’aurais jamais mieux, c’est le regard qui tombe comme un couperet.
”Sizwe”. Elle appelle
”Sizwe”. Elle répète, elle utilise même ton prénom, l’autre, Themba, mais il n’est d’aucun réconfort à ce moment parce que tu devines, parce que même si la porte est si proche tu restes.
”Il est de toi”. Elle le dit et un long soupir échappe de tes lèvres alors que tes yeux, les mêmes que les siens, accrochent ceux de l’enfant, il babille, il sourit, il est de toi, c’est ton fils
Ton fils.
”D’accord”. C’est tout ce que tu trouves à dire dans un premier temps, trop sonné, il y a pire comme réaction probablement, tu prends appui contre le berceau alors que tu tends les bras pour le prendre. C’est loin d’être le premier bébé que tu tiens, il y a eu Sipho même si tu n’avais que trois ans et Esihle aussi mais c’est différent de savoir que celui là vit parce que tu vis, respire parce que tu aimes et elle aussi. Être père, tu n’avais jamais imaginé que tu le serais, tu ne savais même pas si tu voulais l’être, perdu dans d’autres préoccupations et d’autres rêves, les voyages, le travail, les duels mais dans cet instant il est ton évidence, ta seule évidence.
Elle te dit que son mari sait, qu’ils vont se séparer, qu’il va renoncer à cet enfant qui n’est pas le sien et qu’il y a une place à prendre.
”Je vais le reconnaître. Je vais rester ici”
Ce fut une belle vie, paisible, jusqu’à ce qu’elle décide de partir et toi de reprendre la route, une accalmie, une virgule dans une phrase très longue, une respiration dans le tumulte de vos vies.
C’était une belle journée, une fine couche de neige recouvrait le sol, suffisamment fine pour embellir le paysage sans te faire risquer de glisser à chaque pas, l’air était saturé d’odeurs de sucre, de chocolat et de vin chaud. Devant un des stand tu hésitais un instant, le cadeau de Sanaa avait été simple à trouver, ceux de tes frères et soeurs aussi mais pour ton fils c’était toujours plus délicat, tu le voyais encore bambin dans ton esprit, tu revoyais encore le tout petit que tu tenais par la main mais il était grand à présent et tu ne savais pas exactement ce qui lui ferait plaisir, probablement un livre sur l’art du duel, lui qui ne rêvait que de marcher dans tes pas, que tu commencerais à entraîner aux prochaines vacances mais tu aimerais un bijoux aussi, quelque chose qui lui resterait de toi, pour signifier cet étrange lien avec celui que tu n’attendais pas mais qui t’avait trouvé tout de même, tu glissais tes doigts sur un des médaillons finement ouvragé, le contact du métal contre ta peau lorsque, soudain, le monde bascula, dans les cris de la banshee puis les grincements sinistres des artefact qu’on murmurait déjà défaillants, il ne fut plus en quelques secondes que hurlements, feu et sang alors que tu reconnaissais l’adrénaline qui saturait tes veines, l’instinct de survie et l’urgence de se mettre en sûreté.
D’un geste tu lâchais tes béquilles, dégageant tes mains alors que les mots d’un petit garçon plus de vingt ans en arrière te revenaient en mémoire “étudie ton environnement, adapte le”, il parlait de duel alors, avait façonné ton succès sans le savoir, n’aurait jamais pu imaginer un seul instant qu’ils serviraient à fuir plus vite une scène de guerre comme celle-là aussi. Tes yeux scannaient les alentours, là une table retournée, ici un amoncellement de pierres, tu avançais habilement, suivant la foule qui se pressait vers les souterrains lorsqu’un petit bruit, un petit cri si faible que tu aurais pu le confondre avec un miaulement de chaton ou même ne pas l’entendre fondu dans le brouhaha ambiant, te fit t’arrêter et d’une simple pensée lever des débris sous lesquels apparu un petit visage que tu connaissais par coeur, un des petits orphelins, qui n’aurait pas dû être là, qui l’était pourtant.
”Hazel ?”
Sans hésiter tu le pris dans tes bras, n’avançant plus qu’à l’aide d’une seule de tes deux mains pour te guider alors que tu t’accrochais aux mots d’un Demyan plus jeune. Tu peux le faire, tout est possible, tu peux le faire, tu peux rejoindre l’abri, te sauver, sauver Hazel et alors que péniblement tu descendais les marches qui conduisaient loin du chaos, alors que tu essayais de ne pas trébucher si proche du but, de la vie, le petit tout contre toi, dont le sang trempait ta chemise murmura quelques mots.
“Je veux que tu sois mon papa”
Ce furent ses derniers mots avant de fermer les yeux.
Il ne les a pas rouvert depuis mais tu vas chaque jour à son chevet, tu entends les mots que tes propres parents ont entendu trente ans en arrière on ne sait pas s’il vivra, on ne sait pas déterminer dans quel état et tu as ce secret que tu gardes tout contre ton coeur, cette phrase, ces sept petits mots, cette ultime demande d’un enfant aux portes de la mort et même si tu te dis, pour te rassurer, que tu n’as pas pris la moindre décision, que tu ne formules rien, que tu n’en parles pas, pour ne pas prendre la moindre décision, chaque jour à ses côtés et chaque nuit où tu te réveilles avec les cinq lettres de son prénom devant les yeux aux côtés de celles de Gyasi ,tu sais que le destin manie à la perfection le tragique comique, le comique tragique et que la vie, l’Histoire n’est qu’une boucle qui tourne sur elle-même.
Un cercle parfait et infini.
- POLYJUICEZinhle Shacklebolt
- Avatar : Janelle Monáe
Crédits : Ruby Rider
Gallions : 200
Sang : Pur, par hasard, maudit, par horreur.
Etudes : Ilvermony - Castelobruxo
Particularité magique : Malédictus (paon) - Occlumens (basique)
Mar 28 Mar - 22:33 (Δ)
Mon frère Désolée de vouloir te tuer, c'pas ma faute.
Promis je ferais attention.
En tous cas, rebienvenue, et bon courage pour la fin de la fiche, j'ai hâte de voir ce que tu nous prépares
Promis je ferais attention.
En tous cas, rebienvenue, et bon courage pour la fin de la fiche, j'ai hâte de voir ce que tu nous prépares
- AMORTENTIASipho Shacklebolt
- Avatar : lakeith stanfield
Gallions : 685
Sang : sang-pur pour ce que cela vaut.
Statut social : éternel célibataire.
Etudes : ilvermony, xxxx-xxxx et castelobruxo xxxx-xxxx, ancien attrapeur de ses maisons.
Opinion Politique : tourné plus vers la WSU sans y être pour le moment engagé.
Particularité magique : légilimens inné, stade avancé et animagus, stade avancé.
Magie
Points:
(191/250)
Mar 11 Avr - 11:38 (Δ)
bienvenue
protego maxima
there's just no time to die
Qu'il est badass ce fréro j'ai trop hâte de jouer avec ces deux imbéciles réuni
Toutes nos félicitations , tu viens de passer les vérifications de tes papiers d'identité et tu es maintenant validé. Maintenant que tu es officiellement des nôtres, avant d'aller commander une bierraubeurre, on t'encourage à aller ouvrir tes sujets d'évolution, de liens et de hiboux pour pouvoir te faire des petits copains ou des grands ennemis. Tu as l'opportunité aussi d'aller réclamer des gallions dans la boutique, participer à l'animation drink me et le rp roulette. Si tu recherches des liens spécifiques, tu peux poster dans le sujet recherches de liens ou tout simplement passer par le discord du forum pour contacter directement les autres joueurs. Enfin, si tu te sens un peu perdu, la partie parrainage pourra t'aider. N'hésite pas à demander à avoir un parrain ou une marraine.
Encore bienvenue parmi nous et on te souhaite un bon jeu, et une longue vie sur Protego Maxima !
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