- Adrei Zamfir
- Avatar : Ben Dahlhaus
Gallions : 349
Sang : mêlé
Statut social : Je suis marié sur le papier.
Etudes : Durmstrang
Opinion Politique : CMP
Particularité magique : Je suis un loup-garou qui a été touché par la malédiction, un soir alors que j’étais en mission pour la Mandragore. J’ai fait cas de rien face à mes employeurs, mais ce soudain changement a comme cassé quelque chose en moi. Je suis plus fréquemment à fleur de peau. j’y pense tout le temps… « Et si j’avais plongé dans la Seine à temps. » « Si le loup n’avait pas eu le temps de me mordre… » « Et si »… Pour ce qui est des transformations… J'en ai subit qu’une seule pour l’instant. Si un mot pouvait la décrire, ce serait « douloureuse »… C’est comme si chacun de mes os se brisait, les uns après les autres… Et cette température qui monte… J’ignore ce que ça fait de mourir, mais au moment où je le souhaite… Tout s’arrête… C’est le trou noir… Je me rappelle le réveil… Mes poignets en sang tant la bête s’était déchaînée… Ce qui s’était passé quand Elle avait le contrôle... Je l’ignore.
Magie
Points:
(97/300)
Lun 14 Mar - 17:09 (Δ)
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Adrei Zamfir
ft. Ben Dahlhaus
Il y a des nuits ou les loups se taisent, et seule la lune hurle
Pour ce qui est des transformations… J'en ai subit qu’une seule pour l’instant. Si un mot pouvait la décrire, ce serait « douloureuse »… C’est comme si chacun de mes os se brisait, les uns après les autres… Et cette température qui monte… J’ignore ce que ça fait de mourir, mais au moment où je le souhaite… Tout s’arrête… C’est le trou noir…
Je me rappelle le réveil… Mes poignets en sang tant la bête s’était déchaînée… Ce qui s’était passé quand Elle avait le contrôle... Je l’ignore.
baguette – 31cm – noyer – crin de licorne
un renard
la pleine lune
l’odeur de mes enfants, les roses, le tabac, et le bois de santal
- Adrei Zamfir
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Gallions : 349
Sang : mêlé
Statut social : Je suis marié sur le papier.
Etudes : Durmstrang
Opinion Politique : CMP
Particularité magique : Je suis un loup-garou qui a été touché par la malédiction, un soir alors que j’étais en mission pour la Mandragore. J’ai fait cas de rien face à mes employeurs, mais ce soudain changement a comme cassé quelque chose en moi. Je suis plus fréquemment à fleur de peau. j’y pense tout le temps… « Et si j’avais plongé dans la Seine à temps. » « Si le loup n’avait pas eu le temps de me mordre… » « Et si »… Pour ce qui est des transformations… J'en ai subit qu’une seule pour l’instant. Si un mot pouvait la décrire, ce serait « douloureuse »… C’est comme si chacun de mes os se brisait, les uns après les autres… Et cette température qui monte… J’ignore ce que ça fait de mourir, mais au moment où je le souhaite… Tout s’arrête… C’est le trou noir… Je me rappelle le réveil… Mes poignets en sang tant la bête s’était déchaînée… Ce qui s’était passé quand Elle avait le contrôle... Je l’ignore.
Magie
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Lun 14 Mar - 17:10 (Δ)
story of my life
once upon a time
citation citation citation
Je naquis une froide nuit de printemps, le 5 mars de l’année 1899 en Roumanie, dans les Balkans.
Je n’étais pas un enfant de sang pur, le bonheur et l’union qui soudaient mes parents l’un à l’autre me suffisait amplement.
Mon père était le seul du couple à être doté de pouvoirs. Ma mère quant à elle, était une moldue, et ça m’était bien égal. Elle n’en restait pas moins la femme qui m’avait porté neuf mois, et tant choyé.
Mes pouvoirs se manifestèrent relativement tôt. J’arrivais à faire voler de petites choses comme des cailloux ou parfois même des gouttes d’eau au-dessus de la rivière qui bordait le village, non loin de la maison. Et je riais face à ce spectacle comme tout enfant face aux prémisses de l’éveil à la magie, enfin, je suppose.
Études :
Mes années scolaires, je les ai effectuées à l’école de magie la plus proche, à savoir : Durmstrang de 1910 à 1915. Notes excellentes, je faisais en sorte d’avoir un bon niveau afin de m’offrir un bel avenir.
Mais lorsque l’on pense pouvoir toucher le ciel, la réalité nous ramène plus bas que Terre…
J’avais 15 ans lorsque la Première Guerre mondiale éclata en 1914, mais par chance, mon pays resta en paix, du moins jusqu’en 1916, ou l’Allemagne déclara la guerre…
Comprenant ce qui pourrait se passer, je pris sur moi, abandonnant mes études, tirant un trait sur une carrière que j’avais imaginé grande pour moi. Et un soir, alors que tous les élèves étaient en train de dormir profondément, je disparus, usant d’un balai qui était à l’origine destiné au cours de vol, pour regagner mon village natal et mes parents. Le trajet ne fut pas de tout repos, bien au contraire.
Alors, lorsque je reconnus les reliefs de mon village, et que ma descente s’amorça, je perdis connaissance. Mon corps tomba dans une prairie. Je fus retrouvé par des voisins dès l’aurore. J’étais sonné, exténué, mais auprès de ma famille à présent.
1916 - Pluie :
Dans mon pays, les neufs premiers jours du mois de mars, nous célébrons Babele. Comme tous les an, nous perpétuons cette tradition qui se déroule ainsi : les femmes du village choisissent un jour parmi les neufs précédemment cités. S’il s’avère qu’il fait beau, l’année sera heureuse. Si en revanche, ce jour-là, est pluvieux, l’année viendra aux larmes, au chagrin et à la pauvreté…
Ce jour-la, nous ne vîmes pas le soleil...
Guerre sur nos Terres :
1er Septembre 1916
La Bulgarie déclara la guerre à la Roumanie.
Gros mouvement de population qui fuyait le désordre… Une sorte de lutte à la survie se mit en place. Les jours de marches étaient baignés d’incertitude… J’ignorais si nous arriverions un jour à notre destination. La seule chose qui était certaine, c’était que les tensions entre ses deux pays allaient éclater rapidement.
2 au 7 Septembre 1916 :
Le drame se confirma… La bataille de Turtucaia dura moins d’une semaine. Une défaite lourde pour la Roumanie…
Espoir :
Mes parents et moi-même parvînmes à regagner dans les temps, un Portoloin qui reliait à ce moment-là, Timisoara, une ville à l’ouest du pays, à Fribourg, ville d’un pays neutre qu’était la Suisse…
Nouveau départ :
Nouveau pays, nouvelles coutumes, mais également nouvelle langue.
L’Inconnu était pour moi effrayant. Mais nous étions en vie.
Réapprendre ce qu’est la liberté :
1916 à 1920 :
J’appris la langue ainsi que les uses et coutumes de ce si petit pays. Trois mois après notre arrivée, nous avons trouvé une petite communauté de sorciers et l’avions rejoint. Dans le groupe, il y avait un propriétaire d'auberge qui finit par embaucher mes parents. C’était rustique, mais nous avions le privilège d’avoir un toit…
La Dragoncelle :
1920 :
Mon monde s’effondra… La Dragoncelle était en train de contaminer une partie du village suisse. À l’origine, une femme en serait responsable. Une voyageuse qui aurait fait une halte dans l’auberge dans laquelle travaillaient mes parents.
Cette dernière avait été mise en confinement, m’obligeant à loger chez un voisin. Je pensai que ça se calmerait, qu’avec un peu de repos, tout reviendrait dans l’ordre… Mais…
À un jour d’intervalle, mon père, puis ma mère échappèrent leur dernier souffle de vie… Je les avais perdus. À jamais.
Je me refermais sur moi-même…
L’innocence volée :
18 avril 1924 :
J’avais à présent 25 ans. Je n’étais plus le petit sorcier, mais le jeune homme qui passait ses journées à récurer les sols, faire les chambres, la plonge, le tout en usant bien entendu de magie…
Maintenant que mes parents n’étaient plus, je faisais le travail pour trois.
Mais alors que je m’occupai de sécher les verres au bar, une jeune femme se présenta à moi. Elle était rousse, et ses yeux d’un vert émeraude me firent tourner la tête en un seul regard.
Margaret était anglaise et vivait à Paris. Elle était en vacances…
Son accent était chantant…
Elle disait la même chose du mien.
Paris :
18 avril 1927 :
Nos « oui » furent prononcés, les alliances échangées et les cloches se mirent à sonner…
Nous vivions en parfaite harmonie, comme si le passé n’avait jamais existé, que seul comptait la présence de l’un pour l'autre.
Le bonheur… :
1927 au 3 septembre 1939 :
Avec Margaret, nous nous retrouvions à la tête une petite famille. Nous avions tout d’abord eu un fils, que nous prénommâmes Luc né le 4 novembre 1929, ainsi qu’une fille, Mary née le 6 mars 1931…
Une vie parfaite, en somme.
Même si ma femme me pensait être un honnête sorcier travaillant au service postal, je cachai une tout autre vie en parallèle…
Seconde vie :
Le service postal ne payait pas suffisamment pour subvenir à une famille telle que la nôtre… De ce fait, je dus chercher un autre emploi…
Étrangement, je n’eus pas à chercher bien loin ni trop longtemps puisqu'une opportunité s’offrit à moi : agent de sécurité.
Le hic : l’endroit… Une maison close de la capitale tenue par la Mendragore…
Je ne dissimulais pas cet emploi par gaîté de cœur, mais pour protéger mon épouse et mes enfants.
Très vite, je compris qu’il me serait inutile de conserver mon véritable emploi, gagnant suffisamment grâce à la Mandragore. Ainsi, j’abandonnais les volatiles de la poste pour offrir l’entièreté de mon temps libre à cette double vie.
Avec le temps, j’appris à être observateur, à agir rapidement à la moindre tension, au moindre mot, au moindre geste… Un brave chien obéissant, en somme.
J’écoutais chaque discussion.
Un jour, j’appris qu’un homme boiteux, rôdait dans les parages. D’après ce que j’avais entendu, cet homme cherchait à attenter à la vie du propriétaire des lieux…
Mais un jour, un mot raisonna dans ma tête « suspect ».
Je l’avais repéré, cet homme. Depuis quelques jours, il tournait, zieutait, et disparaissait sans même entrer dans l’établissement… J’en avais fait part à mon subordonné, mais il ne m’avait pas pris au sérieux, pensant que je prenais mon rôle trop à cœur au point de me faire des idées.
Mais je n’étais pas fou.
Puis, un jour, ce même individu réapparut. Son attitude avait changé ! Il se rapprochait pour la première fois, son pas étrangement rapide quoi, que boiteux, pour entrer dans une maison close. Son regard passait successivement de la porte à moi. Et sa main plongea à sa ceinture pour en saisir sa baguette.
« STUPEFIX ! »
C’était moi.
J’avais agi le premier.
Le corps de l’homme se figea.
Instinctivement, je le saisis sans le moindre ménagement et l’entraînais dans le bâtiment, non sans l’avoir préalablement désarmé. Quelle ne fut pas ma surprise lorsque je découvris, là, à l’intérieur de sa poche, une fiole de poison…
Je pris soin d’enfermer l’inconnu dans une salle avant de prévenir mon subordonné. Je lui fis mon rapport, mentionnant chaque détail… Jusqu’au pas hasardeux du type que je venais d’enfermer.
J’allais reprendre mon poste lorsqu’il m’arrêta pour me proposer une chose… Une sorte de promotion.
Il m’avoua que l’homme que j’avais arrêté était la cible tant recherchée, et que pour me féliciter de l’avoir arrêté rapidement et de façon discrète, il souhaitait me voir traquer deux autres personnes.
J’acceptai.
Il me fallut cinq jours pour les repérer, les suivre, les arrêter… Définitivement.
De fil en aiguille, je devins officiellement traqueur et ponctuellement tueur à gages…
2 Mars 1940 :
La vie me faisait côtoyer bon nombre de personnes… Et un en particulier me changea pour ainsi dire, ou du moins partiellement.
Un homme.
Il était celui qui me transmettait les informations concernant les cibles à atteindre.
Mais le professionnel empiéta sur le privé…
Un baiser.
Un échange très intime…
Margaret nous surprîmes.
Ce jour de mars 40’.
3 mars au 13 juin 1940 :
La guerre à nos portes :
14 Juin 1940, les Allemands foulaient les pavés de Paris. Je les avais vu défiler sur les Champs Élysées !
J’avais demandé à ma femme de quitter la capitale avec les enfants, que leur vie serait en danger s’ils restaient en France.
Je leur ordonnai de se réfugier là-bas, en Suisse, dans cette ville ou je l’avais rencontré, Elle.
Je leur promis que je leur enverrais chaque mois, une lettre avec de l’argent à l’intérieur, afin de pouvoir vivre.
Ma femme m’implora de venir avec eux… Je refusai, ne pouvant (ou ne voulant) pas quitter mon travail au sein de la Mandragore.
La séparation fut plus difficile que je ne l’aurai pensé…
Le cœur lourd, ils disparurent dans la cheminée, dans un nuage vert émeraude, semblable aux yeux de Margaret…
15 Juin au 17 novembre 1940 :
Le travail continu.
Je me moquai à présent de rentrer balafré à la maison, n’ayant plus besoin de cacher la nature de mon travail que je prenais à cœur.
Suivre en douce, retrouver une personne…
Et chaque mois, comme promis, j’envoyai cette lettre à ma famille que je savais en sécurité.
15 Novembre 1940 :
Tout bascula…
À jour nouveau, nouvelle traque.
Il faisait nuit…
Je ne quittais pas ma cible des yeux, restant à une distance raisonnable afin de ne pas me faire repérer.
Les rues défilaient.
L’homme quitta la route pour longer la Seine.
Il s’arrêta finalement sous le pont Alexandre III…
C’était parfait. Il n’y avait que lui et moi à présent…
Mais la vie n’est jamais simple.
Un guet-apens…
Deux hommes apparurent dans mon dos et me saisirent aux épaules.
Je parvins à me dégager.
S’en suivit un échange de coups musclés.
Je mis deux de mes adversaires hors d’état de nuire.
Le troisième quant à lui, me souriait… Je ne compris pas sur le moment, jusqu’à ce que les nuages disparaissent, laissant apparaître une lune, pleine…
Je perdis quelques précieuses secondes, trop surpris pour atteindre ma baguette à temps…
L’animal plongea sur moi.
Je réagis enfin, tournant les talons pour me précipiter dans le fleuve.
Une douleur vive m’atteignit, me stoppant dans ma course. La mâchoire de l’animal s’était refermée sur mon épaule. Je sentais la pression devenir de plus en plus forte. Je devais me débarrasser de cette créature avant qu’elle ne m’arrache le bras !
« Repulso ! »
Un cri rauque s’échappa de ma gorge, ponctuant le sort jeté, tandis que la bête fut propulsée plus loin, non sans empirer la plaie qu’il m’avait déjà causée.
Sans attendre plus longtemps, je plongeai dans les eaux froides de la Seine.
Le courant m’emporta, mais, à force de lutter, je parvins à atteindre l’autre rive, à bout de souffle, mais vivant, le loup ayant abandonné sa traque depuis longtemps…
Le corps trempé, je me réfugiai au sein de la maison close, évitant la grande porte, au vu de mon état…
Mon épaule était dans un sale état...
Ce fut ce soir-là que la malédiction prit officiellement possession de ma liberté...
En dépit de mon état, je parvins à décrire avec précision le physique de la cible et le dernier lieu où nos routes s’étaient croisées.
Mais malgré cet événement, la dévotion que je portais envers la Mandragore était toujours bien présente… Si bien que je parvins à mettre la main sur la cible dès le lendemain, comme pour me faire pardonner d’avoir échoué la veille.
18 Décembre 1940 à maintenant :
Au cœur de la Mandragore.
Suite à pareille dévotion envers la Mandragore, je fus muté à Londres, afin d’être aux services de l’Homme qui détient les rennes de cette affaire : Hyacinth Crabbe.
J’obéis à ses ordres. Ma tâche est inchangée, je reste ce traqueur.
En parallèle… J’apprenais à vivre avec cette malédiction qui était nouvelle pour moi… Lors de ma première pleine lune, je m’enfermai dans mes nouveaux appartements, enchaînant mes poings au mur afin de m’immobiliser au mieux le temps de trouver un abri, un lieu plus adapté à ma nature que j’avais du mal à accepter…
J’avais entendu parlé d’une zone… Le block 4…
- POLYJUICEIsidore Servus
- Avatar : Ben Barnes
Crédits : ava: kiddressources
Gallions : 2415
Sang : Sang-mêlé pour qui veut l'entendre, nouvelle vie, nouveau nom, nouveau sang
Statut social : Célibataire endurci, a épousé la nuit et bien trop de lits
Etudes : Une partie de sa jeunesse il l'a passée dans les couloirs de l'école de sorcellerie de Grèce, mais n'a jamais obtenu son diplôme
Opinion Politique : Il n'a cure des politiques de ce pays, sa seule loyauté va a sa Reine
Particularité magique : Animagus et Occlumens [uc]
Magie
Points:
(203/250)
Lun 14 Mar - 17:15 (Δ)
Bienvenue a ce petit morceau de viande. J'espère qu'il aura plus de chance que Jake
- InvitéInvité
Mar 15 Mar - 8:42 (Δ)
Re-bienvenue par ici ! Quel personnage encore plein de mystères, j'ai hâte de voir ce que tu vas en faire
- Adrei Zamfir
- Avatar : Ben Dahlhaus
Gallions : 349
Sang : mêlé
Statut social : Je suis marié sur le papier.
Etudes : Durmstrang
Opinion Politique : CMP
Particularité magique : Je suis un loup-garou qui a été touché par la malédiction, un soir alors que j’étais en mission pour la Mandragore. J’ai fait cas de rien face à mes employeurs, mais ce soudain changement a comme cassé quelque chose en moi. Je suis plus fréquemment à fleur de peau. j’y pense tout le temps… « Et si j’avais plongé dans la Seine à temps. » « Si le loup n’avait pas eu le temps de me mordre… » « Et si »… Pour ce qui est des transformations… J'en ai subit qu’une seule pour l’instant. Si un mot pouvait la décrire, ce serait « douloureuse »… C’est comme si chacun de mes os se brisait, les uns après les autres… Et cette température qui monte… J’ignore ce que ça fait de mourir, mais au moment où je le souhaite… Tout s’arrête… C’est le trou noir… Je me rappelle le réveil… Mes poignets en sang tant la bête s’était déchaînée… Ce qui s’était passé quand Elle avait le contrôle... Je l’ignore.
Magie
Points:
(97/300)
Mar 15 Mar - 9:37 (Δ)
Mooo merci vous
Et oui, c’est vraiment à espérer qu’il ait plus de chance que Jake, après ce n’est pas très compliqué de faire plus chanceux que lui
Et oui, c’est vraiment à espérer qu’il ait plus de chance que Jake, après ce n’est pas très compliqué de faire plus chanceux que lui
- WEEDOSOROSGellert Grindelwald
- Avatar : Michael Fassbender
Crédits : ava: avatarsandcrap gif: crackshipandcrap
Gallions : 1070
Sang : Ichor imparfait, sang-mêlé pour l'enfant du démon
Statut social : Le coeur n'est plus à prendre, un seul être y a marqué son passage. Eternel célibataire qui ne connaît de répit que dans les soupirs partagés
Etudes : Jeune sorcier prodigieux qui a marqué à jamais les murs de Durmstrang
Opinion Politique : Embrassant une idéologie travaillée et sculptée pendant des années, c'est de ses rêves qu'est née la Ligue, Pour le plus grand bien
Particularité magique : Occlumens avancé, Legilimens extrême (illégal)
Aventures :
Magie
Points:
(157/350)
Mar 15 Mar - 19:45 (Δ)
bienvenue
protego maxima
there's just no time to die
Il a l'air cool ce petit loup, je sens qu'on va bien s'amuser avec lui ! Hâte de lire ce que tu vas en faire !
Toutes nos félicitations , tu viens de passer les vérifications de tes papiers d'identité et tu es maintenant validé. Maintenant que tu es officiellement des nôtres, avant d'aller commander une bierraubeurre, on t'encourage à aller ouvrir tes sujets d'évolution, de liens et de hiboux pour pouvoir te faire des petits copains ou des grands ennemis. Tu as l'opportunité aussi d'aller réclamer des gallions dans la boutique, participer à l'animation drink me et le rp roulette. Si tu recherches des liens spécifiques, tu peux poster dans le sujet recherches de liens ou tout simplement passer par le discord du forum pour contacter directement les autres joueurs. Enfin, si tu te sens un peu perdu, la partie parrainage pourra t'aider. N'hésite pas à demander à avoir un parrain ou une marraine.
Encore bienvenue parmi nous et on te souhaite un bon jeu, et une longue vie sur Protego Maxima !
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