- POLYJUICEXīnrán Parkinson
- Avatar : Zhao Shuzhen
Crédits : Maanae
Gallions : 0
Sang : sang-pur
Statut social : veuve
Etudes : promotion 1870-1877 - Poufsouffle
Opinion Politique : conservatrice, CMP
Particularité magique : la chair se transforme en jade sous les mensonges, elle est maudite à mourir statue.
Aventures :
Ruwa | Caecilia | Tiyi | Gabrielle | Isidore
Lun 9 Mai - 20:31 (Δ)
évolution
XĪNRÁN PARKINSON
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Elle est polyglotte aussi. Heureusement d'ailleurs ! Elle a passé plus de la moitié de sa vie à l'étranger ! Le chinois et l'anglais, bien sûr, mais également l'indien, le russe et l'arabe n'ont plus de secrets pour elle. Elle a le profond déplaisir de perdre sa fluidité depuis qu'elle a cessé ses voyages réguliers mais bah ! Elle a suffisamment d'enfants et de petits enfants qui les connaissent pour qu'elle pratique avec eux. Elle a quelques notions de diverses autres langages, comme l'espagnol ou le japonais, mais rien dont elle puisse se vanter.
Personnage éphémère :3
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Etudes : promotion 1870-1877 - Poufsouffle
Opinion Politique : conservatrice, CMP
Particularité magique : la chair se transforme en jade sous les mensonges, elle est maudite à mourir statue.
Aventures :
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Lun 9 Mai - 20:32 (Δ)
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ariadne trelawney
if you don’t terrify people a little bit then what’s the point
- POLYJUICEXīnrán Parkinson
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Statut social : veuve
Etudes : promotion 1870-1877 - Poufsouffle
Opinion Politique : conservatrice, CMP
Particularité magique : la chair se transforme en jade sous les mensonges, elle est maudite à mourir statue.
Aventures :
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Lun 9 Mai - 20:32 (Δ)
au fil du jeu
prénom nom
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En récompense, son père l’autorise à l’accompagner un voyage en Chine qui dure un mois des vacances d’été. Elle découvre le pays de ses parents, le pays de ses origines. Fascinée par la différence de culture, elle tombe amoureuse de l’aventure lorsqu’ils s’en vont explorer un petit coin peu connu où ils découvrent un nouveau plant d’épices rares.
C’est son père qu’elle tanne cette fois-ci et elle réussit à le convaincre de la laisser l’accompagner pour son prochain long voyage. Il n’est pas content mais elle est plus têtue que lui. Le voyage commence en haut de l’est de l’Empire Russe et le plan est de redescendre jusqu’aux Etats Malais et aux Indes Néerlandaises. L’objectif, pour les Jiang, est de découvrir de nouveaux produits à vendre. Pour Peter Parkinson, le fils de l’associé de son père, c’est d’étudier la faune et la flore locale afin de découvrir des perles rares. Il est l’envoyé de Parkinson Botanic Wonders, l’entreprise de sa famille, et son aîné de trois ans seulement. Ce n’est pas exactement le coup de foudre mais ils ont une certaine tendresse l’un pour l’autre qui ne fait que grandir. Il demande sa main à son père quelque part au large des Philippines et il accepte. Xīnrán aurait pu se vexer de ne pas avoir son mot à dire si elle n’en était pas aussi ravie.
Elle se fait remarquer par les Soeurs Rousses pour la première fois lorsqu’ils tombent sur une bande de pilleurs sortant d’un temple avec des sacs remplis. Elle attaque la première et Peter intervint juste à temps pour qu’elle ne se prenne pas un sort dans la tête. Ils arrivent de justesse à les chasser, le reste de leur équipe ayant suivit le mouvement (ils ont besoin d’eux en vie s’ils veulent être payé). Xīnrán, livide de colère, rapporte l’incident aux aux autorités magiques, espérant qu’ils puissent préserver le monument historique. Les Indes étant sous occupation britannique, cela ne fonctionna pas comme ça et les artefacts furent confisqués aux locaux pour être exposé dans le musée de la Congrégation de la mémoire de la magie universelle. Incroyablement frustrée, elle suit le conseil de Peter qui lui dit de laisser tomber pour l’instant. Ca la travaille pourtant.
Naissance de leur première fille, Alice Parkinson.
La petite famille doit rester en Angleterre jusqu’à ses un an, par précaution ; suffisamment longtemps donc pour que Xīnrán se morfonde d’ennui. Son mari est enfermé dans la serre à étudier les plantes qu’ils ont ramené de leurs voyages et elle… est là. A s’occuper d’un bébé. D’un bébé qu’elle aime de tout son coeur, certes, mais s’il y a une chose qu’elle a apprit c’est qu’elle n’est pas faite pour l’inaction.
Un après-midi d’un calme morose, elle prend le parti de s’intéresser d’un peu plus près au sort de ces oeuvres ‘retrouvées’ aux quatre coins monde. Elle rencontre puis entame une relation épistolaire avec la femme de l’un des membres du conseil d’administration de la Congrégation jusqu’à, enfin, être invitée aux conférences avec Peter — qui s’intéresse au combat de sa femme parce qu’il l’aime mais se serait bien passé des conférences. Malheureusement pour lui, il lui faut un homme alors un homme elle a. Ce qu’elle observe ne lui plu que très moyennement. Tout comme ce qu’elle avait vu durant cette première enchère aux côtés de sa mère, les sorciers et sorcières avaient une affreuse tendance à s’approprier des objets historiques qui ne leur appartiennent pas et à s’en servir comme trophée, comme preuve de leur richesse. Elle en est vaguement écoeurée.
Elle continue de construire son petit réseau dans le milieu, au travers des femmes bien sûr, qu’elle régale de ses récits de voyage. Elle apprend, au milieu d’une de ces tea parties, que la famille royale égyptienne est techniquement propriétaire de la Congrégation mais a laissé les rênes au gouvernement anglais. D’un coup Xīnrán a un plan bien plus solide qu’infiltrer la Congrégation.
Elle n’allaite pas et ses pertes de couches se sont arrêtés tôt. Elle est chanceuse, lui disent les femmes de son entourage. Pas tant que ça, en conclut-elle quand elle se découvre de nouveau enceinte 6 mois après la naissance d’Alice. Elle est condamnée à rester en Angleterre encore un an minimum. Ce n’est pas le cas de Peter qui doit retourner à l’étranger pour Parkinson Botanic Wonders mais il a la gentillesse de privilégier les voyages courts. Elle a pourtant conscience de ne pas être un rayon de soleil.
Lorsque sa grossesse en est à six mois, on leur annonce des jumelles. Peter est fou de joie, Xīnrán aussi même si elle préférerait ne pas être clouée au lit parce qu’elle est à risque. Elle a toujours dessinée, surtout durant ses voyages, et elle couvre des carnets entiers de ses pensées et de croquis durant ces mois d’alitement. Elle a également une correspondance nourrie avec à peu près quiconque lui répond. Elle s’ennuit.
Heureusement les jumelles finissent par naître ! Brigid et Caitlín sont de superbes bébés d’hiver, potelés comme des chérubins d’église.
Elle est toujours plongée dans son petit complot avec le gouvernement égyptien et ils font des progrès. Ses amies, les femmes des membres du conseil d’administration, se plaignent que les égyptiens se mêlent de ce qui ne les regarde pas après des décennies de négligence. Les hommes, aussi, sont plus agités. Elle cache sa satisfactions derrière les tasses de thé ouvragées.
C’est toujours en deuil qu’elle accueille un envoyé du gouvernement égyptien, un membre d’une branche secondaire de la famille royale, Ahmès Besada, en Angleterre quelques mois plus tard. Elle est plus décidée que jamais à voir ces civilisations récupérer leurs artefacts volés (c’est une distraction bienvenue). Xīnrán reste dans l’ombre, fournissant les informations et documents nécessaires pour que Ahmès ait l’avantage. C’est long et les résultats ne sont pas immédiats mais les membres du conseil d’administration commencent à s’incliner.
Xīnrán est contactée par les Soeurs Rousses peu après cet événement. Elle accepte de devenir Voleuse Rousse, les yeux brillants à l’idée de pouvoir aider (vraiment aider) les civilisations que les pays européens écrasent. Elle entame une longue formation de un an.
Elle attend neuf mois avant de reprendre ses voyages et ses vols, voulant s’assurer de la santé de ses filles et passer du temps avec sa famille.
A présent à la tête de Parkinson Botanic Wonders et de la gestion du Coven Botanic Garden, Peter ne peut plus s’absenter. Cela n’arrange pas Xīnrán mais elle refuse de rester coincée en Angleterre à cause du travail de son mari. Elle se fait embaucher comme consultante et organisatrice d’expéditions à la Congrégation en forçant la main à quelques membres du conseil d’administration avec l’aide d’Ahmès Besada — qui est devenu un ami en dix ans. C’est scandaleux pour une femme de travailler, eh bien tant pis !
Alors que Virgo est endormie, Xīnrán devient archiviste en chef. Elle ne pourra plus voler, elle en a bien conscience, mais elle n’est pas encore bonne à mettre à la poubelle. Sa main gauche se transforme en pierre lorsqu’elle ment à son entourage sur l’origine de la malédiction. Peter lui interdit de reprendre les voyages, c’est l’une de leurs plus grosses disputes. Xīnrán en fait tout de même un, aux Indes, pour régler des affaires laissées en suspens et dire adieu à ses amis — également pour prouver à son mari qu’elle n’est pas à ses ordres. Elle fait encore deux voyages, un en Chine et un aux Amériques, avant de retourner son tablier et se consacrer entièrement aux archives et à la Congrégation. Elle met du temps à s’habituer à la sédentarité mais elle n’a pas beaucoup le choix — elle a perdu un pied dans l’affaire.
Le reste de son bras gauche se pétrifie jusqu’à l’épaule quand elle ment en disant qu’elle va bien. Tout comme pour son pied, elle y appose un sort d’allègement ; elle le porte en écharpe — une très jolie écharpe d’ailleurs, noire avec de petites fleurs jaunes qui fleurissent et fanent à un rythme connu d’elles seules. Une écharpe Poufsouffle ! Elle l’adore.
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Opinion Politique : conservatrice, CMP
Particularité magique : la chair se transforme en jade sous les mensonges, elle est maudite à mourir statue.
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Mer 26 Oct - 15:57 (Δ)
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Mer 26 Oct - 15:58 (Δ)
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