- AdminProtego Maxima
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Sang : Il est la destinée, immatérielle et incorporelle.
Dim 31 Juil - 13:03 (Δ)
Parkinson
protego maxima
Virtus sine faco (La valeur sans faux éclat)
La famille Parkinson est une des vieilles familles d’Angleterre. Soigneusement préservée dans leur coffre à Gringrotts, se trouve une lettre officielle datant de 1214 et signée de la main d’Henri III, Roi d’Angleterre, Lord d’Irlande et Duc d’Aquitainte, offrant une baronnie à John Russell. Ils recevront plus tard le comté de Bedford, qui deviendra un duché moldu après la séparation des deux mondes. Tout cela était cependant bien avant que le Code International du Secret Magique soit ratifié en 1689 et, si la famille possèdent toujours un domaine caché des moldus à North Cadbury, il y a bien longtemps que leur titre de noblesse est devenu caduque.
Les Parkinson ne prirent ce nom qu’au début du XVIe siècle par le mariage d’Agatha Russell - fille du Comte de Bedford, John Russell, conseiller de Henri VIII - avec un chevalier sans le sou, le sorcier William Parkinson. Ils possédaient alors les terres du Covent Garden depuis 1552 et en gardèrent la partie magique suite à l’installation du Secret Magique.
Plus proches du monde moldu que beaucoup de familles, les Parkinson observent une prudente neutralité en politique. S’ils n’ont aucune envie de faire tomber le Secret Magique, convaincus que leurs mondes sont devenus trop différents, ils n’ont pas non plus de mépris pour ces cousins sans magie. Il existe par ailleurs un accord entre le duc de Bedford et la matriarche Parkinson depuis la mort d’Elisabeth Parkinson en 1895 : leurs enfants cracmols seront confiés aux Russell et les Parkinson prendront à leur charge tout enfant sorcier. Le statut de leur sang leur tenant toujours à cœur, ceux-ci ne sont non pas adoptés comme membre de la famille mais envoyé dans l'orphelinat Greengrass ou élevé comme pupille de la famille ; deux options qui leur assureront une éducation irréprochable.
- Peter Parkinson
†Xīnrán Parkinson
Prise- Alice Yaxley
libreAmos Yaxley
libre- XX Yaxley
- XX Yaxley
- Brigid ??
libre (jumelle)époux
libre- enfant
- enfant
-
- Caitlin ??
libre (jumelle)époux
libre- enfant
- enfant
- enfant
- enfant
- enfant
-
- Dana Parkinson
† - Deirdre Greengrass
† (jumelle)Allan Greengrass
libre- Minos Greengrass
pré-lien - @Caecilia Potter
prise
-
- Elisabeth Parkinson
† (jumelle) - Finn Parkinson
libreépouse
libre- ?? Parkinson
- ?? Parkinsn
- ?? Parkinson
- ?? Parkinson
-
- POLYJUICEXīnrán Parkinson
- Avatar : Zhao Shuzhen
Crédits : Maanae
Gallions : 0
Sang : sang-pur
Statut social : veuve
Etudes : promotion 1870-1877 - Poufsouffle
Opinion Politique : conservatrice, CMP
Particularité magique : la chair se transforme en jade sous les mensonges, elle est maudite à mourir statue.
Aventures :
Ruwa | Caecilia | Tiyi | Gabrielle | Isidore
Dim 31 Juil - 15:37 (Δ)
évolution
famille parkinson
Virtus sine faco (La valeur sans faux éclat)
C’est durant le XVIIe siècle que fut fondée l’entreprise familiale. La Parkinson Botanic Wonders débuta comme une entreprise sans prétention, un moyen pour Gertrude Parkinson, belle-fille de William et Agatha Parkinson, de tromper l’ennui de son mariage.
Elle vendit tout d’abord les fleurs les plus belles du domaine de North Cadbury, puis installa des serres pour en faire pousser des espèces plus rares. C’est son fils, James, qui lui conseilla de vendre des herbes utiles en potion et cuisine. Les serres s’agrandirent.
Lorsque Lewis Parkinson décida qu’il ne supportait plus cette invasion dans ses jardins, Gertrude et James décidèrent de se tourner vers le Covent Garden, alors un élégant mais simple parc londonien. Ils le transformèrent en un parc botanique réputé dans toute la capitale ; on pouvait alors trouver toutes sortes de plantes, anglaises comme étrangères, certaines délicieusement exotiques et d’autres admirablement moldues.
Le Covent Garden devint le
Ce fut le fils de James, Barnabas Parkinson, qui eut le premier l’idée d’ouvrir une filiale française. La Wonders était alors devenue une entreprise reconnue auprès des potionnistes et herboristes en tout genre en Angleterre. Sous l’égide de Barnabas, des filiales française, espagnole, allemande, polonaise et finnoise furent créées les unes après les autres et couronnées de succès. La filiale russe ne put faire concurrence avec les herboristes locaux et dût fermer peu après la mise en place du Secret Magique.
En
Une cinquantaine d’années plus tard, une
Se reposant jusqu’alors sur les propriétés des plantes qu’on leur garantissait, William Parkinson deuxième du nom fit face à un
En 1847 furent ouvertes les premières filiales hors-Europe. L’une aux Etats-Unis, l’autre en Chine.
Une cinquantaine d’années plus tard, Peter Parkinson décida d’enrichir leur catalogue - jusqu’ici très européen et asiatique - de plantes venues des Amériques sous le conseil de sa femme, Xīnrán Parkinson, alors exploratrice.
Précédemment basée dans le Covent Botanic Garden, au centre de Londres et de son marché le plus populaire, les activités de la Wonders se concentrent à présent dans le domaine familial de North Cadbury, rapidement accessible grâce un portoloin.
En effet, peu après le Blitz, le Covent Botanic Garden s’est vu dépouillé de ses espèces les plus rares et précieuses et transformé en une succession de jardins participatifs ; ainsi qu’il l’a été durant la Première Guerre Mondiale. Si les Parkinson sont politiquement peu présents, ils n’ont pas eu à y réfléchir à deux fois ; la population a besoin de manger et ils ont les moyens de les aider. Ainsi fut donc fait.
Les Parkinson ont toujours fait parti du paysage politique, que ce soit chez les moldus ou les sorciers. Ainsi leur famille a produit un ministre de la magie et de nombreux ministres au fil des années. Pour autant, ils sont plutôt discrets et connus pour leurs opinions conservatrices et traditionnalistes.
Cela ne veut pas dire qu’ils sont fermés au changement mais qu’ils en sont méfiants. Ils sont persuadés qu’un changement aussi drastique que se révéler aux moldus résultera dans un effondrement politique et sociétal sans précédent. Ils sont plus souples quant à la place des hybrides et des né-moldus bien qu’ils soient d’avis que certains ne devraient pas se voir accordés trop de droits ; tels que ceux maudits par le vampirisme ou la lycanthropie, par exemple.
Contrairement à ce à quoi on pourrait s’attendre d’une famille aussi discrète, ils ont de l’influence à l’étranger. Particulièrement développées ces cinquante dernières années, la famille a ainsi des relations dans les gouvernements indien, chinois et égyptien.
On peut noter que si leurs relations avec l’Egypte magique étaient auparavant amicales, ce n’est plus le cas depuis le coup d’état qui agité le pays. Etant amis et ouvertement défenseurs des Besada, l’ancienne famille régnante, ils sont devenus persona non grata à la cour du nouveau Pharaon ; ce qui n’empêche pas Xīnrán Parkinson d’y avoir toujours une certaine influence.
Depuis deux générations, la famille est très active au sein de la communauté historique. En effet, la matriarche a fait du vol de reliques et artefacts le combat de sa vie. Elle se bat pour que les oeuvres volées à leurs pays leur soient rendus et qu’il existe une réelle discussion entre historiens de différentes institutions afin de coopérer et non se voler.
Ainsi la matriarche possède un siège au conseil d'administration de la Congrégation de la mémoire de la magie universelle et la future madame Parkinson, Gabrielle Selwyn, est une historienne connue pour ses nombreux livres historiques malgré son jeune âge ; pour n'en citer que deux.
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