- Lysander Addams
- Avatar : Lucas Lynggaard Tønnesen
Crédits : andthesunrisesagain
Gallions : 35
Sang : Sang pur, sang noble, maudit
Statut social : Célibataire, Don Juan en puissance, prenez votre ticket
Etudes : Une seule année à Ilvermorny avant la transformation
Opinion Politique : Désabusé
Particularité magique : Vampire
Mer 5 Juin - 21:54 (Δ)
Guerre, Meurtres, Tentative de meurtre sur un enfant, Sang, jalousie/possessivité/relation toxique mère-fils, self harm, mort, slight dérives sectaires
LYSANDER ADDAMS
ft. lucas lynggaard tønnesen
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L’enfant, l’humain était plutôt timide, obéissant et effacé, répétant et écoutant les paroles d’une mère qui avait trouvé son unique refuge dans les morceaux d’une religion qui lui appartenait, vestiges probable d’une des moldus lue dans un livre quelconque, lors d’un voyage quelconque.
Le vampire, lui, a commencé par être le même, rejeter en bloc le cadeau qu’on lui offrait puis s’est révélé être bien plus curieux, bien plus extraverti, bien plus éveillé loin de son emprise (ou plutôt enchaîné à une autre diraient certains). La part plus sombre est là pourtant, sous la surface, celle des doutes et des peurs, la jalousie qui gratte pour se libérer, mais Elle en est l’unique cible à présent.
Quant à la question de la magie des ombres, elle a bien vite pris le pas sur le peu de magie sorcière que tu possédais à un si jeune âge, ton niveau est avancé et si tu possèdes toujours une baguette (probablement, quelque part) ce n’est pas cette magie là qui te répond le plus aisément ni qui te vient spontanément.
presque inutilisable, elle est en bois de chêne, 28 centimètres avec en son coeur un crin de Sombral
Il n’en a jamais produit
Sa petite soeur, ou plutôt le pire scenario de vie à laquelle il a pu la condamner
rhum, cigares et nuits d’été
- Lysander Addams
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Crédits : andthesunrisesagain
Gallions : 35
Sang : Sang pur, sang noble, maudit
Statut social : Célibataire, Don Juan en puissance, prenez votre ticket
Etudes : Une seule année à Ilvermorny avant la transformation
Opinion Politique : Désabusé
Particularité magique : Vampire
Mer 5 Juin - 21:55 (Δ)
story of my life
once upon a time
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Elle fera le premier choix finalement, le sauvera, le fera passer pour mort avant de l’entraîner dans son sillage pour un semblant d’éternité.
Cuba lui ouvre les bras et il goûte les prémices d’une vie solitaire ou plutôt d’une vie dans d’innombrables bras.
12/10/1918
Tout est flou de cette nuit là mais tout est flou de la vie d’avant en vérité, des images qui s’effacent lentement dans les affres du temps, des sensations qui se délitent, des noms qui disparaissent au fur et à mesure comme si rien n’était fait pour durer, comme s’il ne fallait vraiment croire qu’en l’éphémère. La seule raison pour laquelle tu te souviens encore vaguement de cette nuit-là, trois ans à peine, enfoncé dans les draps quand des mains te secouent, te tirent de l’agréable engourdissement des rêves, est probablement parce qu'elle est liée au sang. Tous les souvenirs les plus marquants, ceux qui ne s’envolent pas sont liés au sang.
Aux sens.
La vue, ici.
Tu te rappelles encore après les mains puissantes, les mots balbutiants, hésitant entre le danois et le hongrois, les yeux encore trop fermés pour savoir qui était celui ou celle qui te tirait de la sorte du sommeil (Papa ou Maman ?) des bras qui te soulevaient. Tu voulais te rendormir, tu voulais ce moment où tu avais presque l’impression de flotter au-dessus du sol mais tu remarquais rapidement que quelque chose n’allait pas. La personne qui te serrait contre elle était trop grande pour être Papa, bien trop pour être Maman, pas plus que la nourrice qui venait parfois s’occuper de toi et tu entendais leurs voix plus loin justement, le mélange du danois, du hongrois, du croate, les accents paniqués sans bien comprendre jusqu’à une phrase spécifique, une phrase que tu entends parfois, dont tu rêves, quand tu rêves encore.
”Cache les yeux de Misha. Cache lui les yeux, il ne doit pas voir ça”
Misha c’était toi et évidemment tu as ouvert les yeux brutalement à ces mots, à la faible lueur des quelques réverbères des rues de la première colline de Zagreb, celle des gens comme toi, celle de ceux qui ont eu de la chance à la loterie de la vie, sang purs et sang nobles, tu as ouvert les yeux et tu as vu à la lueur de la lune et des étoiles, des dizaines de corps mutilés, la neige ensanglantée, les yeux fixes sur un visage que tu reconnaissais parfois, un ami de la famille, un ami tout court. Tu l’ignorais mais c’était la nuit où la seconde colline décida de se rebeller, soudoyant les proxénètes de la rue qui vous séparait d’eux pour venir réclamer vengeance, pour les années, les décennies, les siècles de soumission à vos lois et vos règles.
”Mama ?” Tu essayais d’appeler mais la réponse n’était pas pour toi, toujours pas. ”Miroslav ! Cache lui les yeux ! Miroslav ! Il voit ! Il voit tout”
Ensuite une main sur ton visage, contre ta joue, le silence et le noir.
15/08/1927
Douze ans, l’été.
Au fil des ans, à force de glaner ça et là des informations, d’essayer de comprendre ces souvenirs de ton passé qui ressemblaient à des rêves et dont personne ne parlait jamais vraiment, tu avais réussi à comprendre l’essentiel, à comprendre du moins qu’il était arrivé quelque chose de terrible à ta famille en Croatie qui attirait à l’époque tant de sang pur de l’Est pour le semblant de pouvoir qu’elle mettait entre leurs doigts, cette colline qui dominait l’autre, faisait sa loi, donnait l’impression de pouvoir être roi. Tu avais réussi à comprendre que par une chance que tous n’avaient pas eu, lorsque la seconde s’était soulevée, lorsque la révolution avait déferlé dans vos rues, ta famille avait une porte de sortie, parfois tu te demandais si les autres là bas avaient senti qu’ils vivaient leur dernier jour, si ce matin là en se levant ils s’étaient dit quelque chose de particulier, face à la glace, face aux gestes répétitifs, la brosse dans les cheveux, le trait de maquillage parfait, s’étaient-ils dit que quelque chose différait, clochait, avaient-ils senti le vent tourner avant la nuit ?
Probablement pas.
Du moins le jour de ta mort, la mort de Misha Andersen, pas celle de Racokzi, Lysander Addams, Benedikt ou qu’importe les noms que tu porterais, avais porté, tu n’avais rien senti, tu n’avais pas vu une seule seconde venir la réponse à une autre des questions qui flottait parfois dans ton esprit : Etiez-vous toujours recherché ? Pouvaient-ils vous retrouver même ici au beau milieu du Texas ?
Douze ans, l’été, c’était probablement le dernier été de l’enfance, le dernier été à jouer à l’extérieur, à courir dans les grands jardins de la résidence, s’inventer des courses poursuites imaginaires, réussir à faire venir à la vie tes mondes intérieurs, l’été suivant tu serais probablement trop grand pour tout ça, perdrait ce pouvoir unique de l’imaginaire que seuls avaient les enfants.
L’été prochain, en vérité, tu ne serais plus.
Ils étaient arrivés au crépuscule, à l’heure où le soleil se couchait lentement derrière les arbres, par derrière comme des lâches alors que tu t’amusais à tresser des brins d’herbes ensemble, à la moldu, à la barbare, une simple dague plantée au bon endroit, un de ces endroits qui apportait la mort en quelques minutes à peine. Tu ne te rappelles ni avoir eu mal, ni avoir eu peur, à peine avoir poussé un petit cri de surprise alors que le fer se plantait dans ta peau, venait ravager tes rêves, mettre un terme à ta vie, te figer dans l’enfance, tu ne te rappelles de rien du tout si ce n’est de l’odeur du sang, l’odeur métallique, insoutenable, celle qui l’a alertée, l’a fait te retrouver. Elle. Ta mère. Ton tout. Ta vie entière. Celle qui le deviendrait du moins. Greta.
22/08/1927
C’était des jours plus tard, des jours après le sauvetage, après la seconde fuite de ton existence et tu refusais encore fermement de te nourrir alors que la soif incendiait tout ton être, qu’il n’aurait suffit que d’une petite goutte, d’un petit rien pour te faire perdre tout contrôle de toi-même, chasser tes belles valeurs et tes fermes convictions pourtant tu refusais encore, les mâchoires serrées, l’air vaguement boudeur comme s’il ne s’agissait là que du caprice d’un enfant refusant de manger ses haricots verts et pas des conséquences d’un acte innommable, d’un acte qui s’il n’était pas techniquement interdit était de ceux les plus tabous.
Tu ne lui en voulais pas au fond, tu savais qu’elle avait agi dans l’urgence, qu’elle n’avait eu devant elle que quelques secondes pour décider, choisir entre te laisser mourir, laisser l'hémorragie te tuer ou te sauver tout en te condamnant et elle n’avait pu se résoudre à te laisser partir, elle avait fait de toi l’enfant qu’elle n’avait jamais eu mais qui avait l’esprit saturé de tout ce qu’on avait pu lui dire avant.
Tu ne voulais pas être un monstre, tu ne voulais pas être une de ces créatures de la nuit qui surgit de l’ombre pour tuer, pas comme eux finalement, tu ne voulais pas boire de sang. Maman disait que la vie était une chose sacrée, que toute chose en déjouant les règles les plus simples devait être exterminée. Maman te faisait prier. Maman t’avait mis un médaillon autour du cou en te promettant qu’il te protégerait et pourtant tu te retrouvais loin d’elle, loin de tout ce que tu avais connu jusque là, face à une nouvelle vie qui te terrorisait, un nouveau nom auquel tu refusais de répondre, des mots qui refusaient de quitter tes lèvres, des larmes qui ne cessaient de couler sur tes joues, des heures à essayer de te forcer à te réveiller de ce qui ne pouvait être ta nouvelle réalité sans jamais y arriver alors que la soif te torturait. Maman t’avait promis. Maman avait menti, peut-être même oui que pour t’avoir confié si longtemps aux soins des autres, pour ne pas avoir su te protéger, pour t’avoir laissé mourir aux mains d’ennemis qu’elle n’avait pas vu venir, qu’elle n’avait peut-être même pas cherché à voir, elle ne t’avait jamais vraiment aimé, contrairement à Elle, qui s’excusait encore, qui tentait de te convaincre, de continuer, de ne pas arrêter, d’accepter le cadeau de cette vie là.
Ton premier geste fut de glisser ton médaillon sous ta chemise, comme on l’enterre dans une part invisible aux yeux de son cœur, le second d’essuyer tes joues trempées puis de river tes grands yeux gonflés de larmes sur Elle.
”Je suis prêt” Un silence. ”Je suis prêt Mama.”
Et le goût incendia tes lèvres, tes sens, comme jamais rien auparavant, comme jamais rien après. Signant de ses gouttes rouges sur tes lèvres le début d’une autre vie.
22/07/1935
Tu n’avais jamais aimé la voir s’occuper d’autres enfants, poser sur eux des regards qui ne devraient exister que pour toi mais longtemps les mots qu’elle murmurait à ton oreille, ceux qui promettaient que tu étais le seul, l’unique, son seul fils, celui que la vie lui avait offert quand elle n’y croyait plus et que personne dans ce monde -elle insistait sur ce mot, appuyait sur les consonnes à sa manière bien spécifique- ne pourrait jamais changer cela suffisait à apaiser la jalousie que tu sentais monter en toi, une bête féroce qui plantait ses griffes à l’intérieur, qui ravageait tout, te donnait l’impression qu’il ne t’en faudrait pas beaucoup plus pour simplement exploser sans aucune idée de ce qu’il en serait des dommages collatéraux, l’impression de n’être qu’une bombe à retardement…Une bombe qu’elle ne put retarder que jusqu’à ce soir là d’un été ordinaire, d’une soirée ordinaire, après l’avoir vu s’occuper d’un bambin pas si ordinaire et une fois seuls, une fois face aux mots rien ne réussit à endiguer les flots de ta colère, comme une vague qui déferle, que rien n’arrête. Tu te rappelles avoir frappé les murs, envoyé au sol chaque objet qui avait le malheur d’arriver sous tes mains et hurlé toutes les pires choses que tu ne pensais pas, ou peut-être qu’à moitié dans l’espoir de la blesser au moins autant qu’elle te blessait elle en toute insouciance.
”Tu m’as tout pris, tu m’as volé ma vie, j’aurais préféré mourir ce jour là plutôt qu’avoir cette vie là avec toi”
”Tu vas m’abandonner maintenant que tu as trouvé ton nouveau jouet, je te déteste”
Je te déteste. Comme je t’aime.
Et dans un dernier recours entre deux hurlements, entre deux supplications, entre deux je te hais suivi de pardonne moi, tu te rappelles avoir attrapé un couteau de cuisine et t’être tailladé les bras. ”Regarde ce que tu me fais faire.”. Le sang était poisseux, trop épais, collant, comme de la mélasse, la sensation sur tes bras, écoeurante et dans un dernier élan, une dernière flamme d’une colère qui commençait à se tarir, tu as fini par claquer la porte, disparaître dans la nuit sans te retourner. A vingt ans tu avais l’air d’en avoir à peine seize mais dans ce monde là c’était suffisant pour qu’on ne se retourne pas sur toi. Tu n’avais pas besoin d’elle, pas autant besoin que ton cœur le hurlait déjà, tu allais te le prouver. Tu allais le lui prouver.
26/07/1935
Rien n’avait vraiment changé en huit ans, la maison se tenait au même endroit que jadis, fière et majestueuse maison victorienne ayant appartenue à tu ne sais trop qui des contacts de ton père, le jardin toujours impeccablement entretenu par les bons soins des elfes de maison que tu avais passé tes premières années de vie à chasser et le village toujours si calme que tu entendais le crissement de tes pas sur le sol avec bien trop de clarté.
Tu ne savais pas vraiment ce que tu étais venu faire ici, pourquoi de tous les lieux c’était celui là dont tu avais donné l’adresse lorsque tu avais demandé un portoloin, peut-être qu’il y avait un fond de vrai dans ce que tu avais hurlé à Imogen, peut-être que derrière les apparences, il y avait toujours une part de toi qui regrettait la vie que tu n’avais pas eu, celle qu’on t’avait cruellement volé dans ces mêmes jardins huit ans plus tôt, peut-être qu’une part de toi espérait en faire le deuil à défaut de pouvoir réellement espérer la récupérer un jour. Même dans un monde où le vampirisme devenait réversible, tu resterais mort à leurs yeux, tu resterais le petit corps qu’ils avaient vu dans cette morgue froide, qu’ils avaient déclaré comme étant toi, incapables de reconnaître leur propre progéniture, pourquoi pleurais-tu encore pour eux ? Pourquoi revenir toujours en arrière à ce jour funeste, cet endroit funeste ? Pourquoi même avoir donné le nom de Misha au passeur ?
Pourquoi ?
Les questions restaient sans réponses alors que tu décidais d’avancer un peu, approcher suffisamment pour être spectateur de leur vie par la fenêtre, tu souris en la voyant elle, presque inchangée à l’exception de quelques mèches plus grises dans les yeux, le temps n’était probablement pas clément pour les mères endeuillées de leurs enfants, même celles qui faisaient semblant mais tu fronçais rapidement les sourcils devant la silhouette d’un homme, inconnu et d’un bébé qu’il tenait entre ses bras d’une manière si pataude que tu devinais que, comme tous ses congénères, il ne devait pas y être habitué.
Si dans un premier temps tu envisageais qu’il ait pu s’agir d’un ami, la nuit venue tu remarquais rapidement qu’ils partageaient la même couche et que les gestes que ta mère avait envers le bébé, les mots que tu lisais sur ses lèvres, ses éternelles prières pour un Dieu qui ne répondait jamais, étaient ceux qu’elle avait pu avoir pour toi, avant, dans un autre monde, dans une autre vie.
La jalousie s’éveilla, différente de celle que tu avais adressée à Imogen, teintée elle de regrets et de nostalgie, pas de possessivité. La jalousie se mit à gratter à la porte alors que tu sortais des ombres pour entrer dans le manoir. Les passages secrets n’avaient jamais eu aucun secret pour toi justement, trop intrépide et curieux dès le plus jeune âge jusqu’à ta fin.
Le premier à tomber fut Lui, l’inconnu qui n’aurait jamais de nom pour toi, dans un bruit d’éclaboussure qui te retourna le coeur et si tu aurais aimé pouvoir dire que sa fin à elle fut théâtrale, la scène finale d’un dernier acte tragique, en réalité tu ne fus même pas certain d’être reconnu, de pouvoir déceler quoique ce soit d’autre que de la surprise dans son dernier regard avant que la vie ne s’éteigne. Ce n’était pas à eux que tu voulais parler, ce n’était pas pour eux que tu avais agi ainsi, c’était pour lui ou pour elle, le bébé qui dormait profondément dans son berceau plongé probablement comme tu l’avais été dans des rêves où le seigneur venait vous sauver, le bébé qui n’avait pas la moindre idée du monde dans lequel il se réveillerait le lendemain. Tu restais un long moment à ses côtés jusqu’à ce qu’iel s’éveille un instant, te fixant de ses grands yeux presque jumeaux des tiens.
”Personne n’aura le droit d’avoir la vie qu’on m’a volé..”
Tu te relevais doucement et un dernier regard pour la chambre, pour le passé te fit échapper un petit bruit à mi-chemin entre rire et sanglot. C’était une soeur que tu avais. Une demi-soeur du moins et ils l’avaient appelée Natacha.
Natacha et Misha.
En quelques heures tu te retrouvais devant une toute autre porte, un tout autre lieu.
”Mama. Mama je suis désolé. Ouvre moi. Je recommencerai pas”
- WEEDOSOROSIsteni Báthory
- Avatar : taylor lashae
Crédits : prettygirl
Gallions : 380
Sang : sorcier, avant, elle n'en sait rien. aujourd'hui il est simplement maudit
Statut social : mariée, techniquement. en pratique célibataire, volage, son cœur donné à ses muses et son corps à ses envies passagères
Etudes : excepté deux ans à koldovstoretz à son compteur, isteni n'a fait aucune études. c'est son père qui lui a tout apprit
Opinion Politique : peu lui importe, leur politique ne l'intéresse pas. pourtant c'est bien sa soif de sang et de chasse qu'ils attisent à force d'exploitation et de travaux forcés
Particularité magique : vampire, le sang chante pour elle et les ténèbres se plient à ses désirs. elle a un niveau avancé.
Aventures : dagmar | jeremiah
Mer 5 Juin - 22:38 (Δ)
Tu l'as faiiiiiiit
Vraiment taré ce gosse (dit Isteni, en jugeant Greta)
Mais il est super cool !
J'ai si hâte de le croise en rp
Vraiment taré ce gosse (dit Isteni, en jugeant Greta)
Mais il est super cool !
J'ai si hâte de le croise en rp
- FELIX FELICISImogen Addams
- Avatar : Lara Pulver
Crédits : - Adhafera
Gallions : 135
Sang : Sublimé par le vampirisme,
Statut social : Néant
Etudes : Durmstrang, il y a longtemps
Opinion Politique : Who care's?
Particularité magique : Vampire (optimal)
Mer 5 Juin - 23:05 (Δ)
*serre son fiston drama queen dans ses bras* Ecoute pas la vilaine dame T'es le plus chouette même quand tu tapes des scandales. Viens égorger la ville avec moi
Très hâte de pouvoir jouer aveeeec
Très hâte de pouvoir jouer aveeeec
- FELIX FELICISMinos Greengrass
- Avatar : Harvey Newton Haydon
Crédits : avatar strange-hell - gif hell0baby
Gallions : 150
Sang : Sang-Pur
Statut social : Son coeur est prit même s'il fait tout pour faire croire que non
Etudes : Serpentard, Promotion 1921-1928 - Préfet, Préfet en Chef, Attrapeur, Club de duel
Opinion Politique : CMP par convictions, Conseiller au pôle de contrôle et régulation des créatures magiques, espère devenir tacticien
Particularité magique : Occlumens, Legilimens
Aventures :
Jeu 6 Juin - 6:12 (Δ)
Il est beau lui y'a de la place pour le manger ?
(je suis clairement pas avec le bon personnage pour ce genre de phrases xD)
Rebienvenue p'tit pouce.
Soon Minos va vous parquer vous serez heureux en famille vous allez voir
(je suis clairement pas avec le bon personnage pour ce genre de phrases xD)
Rebienvenue p'tit pouce.
Soon Minos va vous parquer vous serez heureux en famille vous allez voir
- WEEDOSOROSAntarès Black
- Avatar : Timothée Chalamet
Crédits : avatar rhaliel
Gallions : 2476
Sang : Always Pure
Statut social : Marié à Astoria Black, un mariage d'amour caché par des raisons politiques, solidifiant l'alliance entre les Potter et les Black.
Etudes : Serpentard jusqu'au bout des doigts, il a achevé Poudlard avec les honneurs, quelques titres du club de duel dans les poches.
Opinion Politique : Il vit pour le chaos, brûle d'envie de voir les murs tomber et la haine déferler sur les moins que rien qui se cachent sous la protection des sorciers
Particularité magique : Magie sans Baguette et Occlumens
Jeu 6 Juin - 10:26 (Δ)
bienvenue
protego maxima
there's just no time to die
J'ai pas envie d'être doux moi ! Je rigole, bienvenue avec ce nouveau petit monstre. Croise les doigts pour que ta soeur orpheline vienne pas te hanter un jour
Toutes nos félicitations , tu viens de passer les vérifications de tes papiers d'identité et tu es maintenant validé. Maintenant que tu es officiellement des nôtres, avant d'aller commander une bierraubeurre, on t'encourage à aller ouvrir tes sujets d'évolution, de liens et de hiboux pour pouvoir te faire des petits copains ou des grands ennemis. Tu as l'opportunité aussi d'aller réclamer des gallions dans la boutique, participer à l'animation drink me et le rp roulette. Si tu recherches des liens spécifiques, tu peux poster dans le sujet recherches de liens ou tout simplement passer par le discord du forum pour contacter directement les autres joueurs. Enfin, si tu te sens un peu perdu, la partie parrainage pourra t'aider. N'hésite pas à demander à avoir un parrain ou une marraine.
Encore bienvenue parmi nous et on te souhaite un bon jeu, et une longue vie sur Protego Maxima !