- WEEDOSOROSCorvus Lestrange
- Avatar : Hugh Dancy
Crédits : kaotika
Gallions : 387
Sang : Sang pur
Mer 23 Fév - 22:33 (Δ)
violences parentales, subies et infligées, mort d’un parent, mort d’une épouse, parricide, bombardements, homophobie, sexisme
CORVUS LESTRANGE
ft. Hugh Dancy
If I could, I'd protect you from the sadness in your eyes. Give you courage in a world of compromise.
Magie sans catalyseur (Expert) : entraîné par ton père, lui-même entraîné par le sien, tu n'as eu une baguette que pour la gloire d'en posséder une
- Habitude presque agaçante de passer ta main dans tes cheveux continuellement
Actuellement possédée par Lux, ton plus jeune fils en attendant qu'Augustus soit en âge d'en hériter, elle est en bois de prunellier, idéale pour les duellistes, plume de phénix, 30 centimètres
Un loup blanc
Le reflet de ton père dans le miroir, le signe ultime d'un échec auquel tu te refuses
Une odeur de whisky, de désinfectant, l'odeur de la neige, tu jures que la neige a une odeur et des bûches enflammées.
- WEEDOSOROSCorvus Lestrange
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Sang : Sang pur
Mer 23 Fév - 22:33 (Δ)
story of my life
once upon a time
citation citation citation
.
Pourquoi pour plaire à leurs maris tant de femmes comme elle oublient qu'elles ont fait des enfants
(1891) - Il pleuvait ce jour-là. Tu ne sais pas vraiment pourquoi, c’était toujours des détails insignifiants comme ceux-là qui marquaient ta mémoire.
Tu te souviens encore même des décennies plus tard de la pluie qui battait le pavé, qui plaquait tes mèches de cheveux trop longs contre ton visage et qui collait ton costume sombre à ta peau, le costume qu’il avait acheté spécialement pour ce jour. Tu te souviens aussi des odeurs, celles de l’humidité bien évidemment mais aussi celles de tous ceux qui se pressaient pour te transmettre leurs condoléances, les vieilles tantes aux parfums luxueux qui te serraient contre leurs poitrines et tu te souviens aussi, surtout, de sa main qui paraissait simplement tenir la tienne, figure du veuf et de l’orphelin contre la nature déchaînée, innocent portrait, élégant, alors qu’en réalité il te serrait bien trop fort, plantait ses ongles pourtant coupés à ras dans ta peau enfantine.
“Pleure”
Derrière le visage grave, emprunté, ce qu’on attendait de lui, il tempêtait dans ton esprit, le patriarche Lestrange.
"Pleure Corvus. Espèce de monstre”
Tes yeux restaient secs pourtant. Tu ne savais pas quoi pleurer, qui pleurer, elle t’avait mis au monde, il paraît, un soir de Février au cœur de la capitale française huit années auparavant mais sitôt de retour au pays t’avait expédié dans les bras de nourrices, elle était une inconnue pour toi et les larmes ne venaient pas.
“Par Merlin, je vais te donner une bonne raison de pleurer.”
La menace se formait à peine dans ton esprit que le maléfice de torture venait te frapper silencieusement, les larmes roulant cette fois le long de tes joues, les sanglots muets échappant à tes lèvres, ils te regardaient tous, avec pitié, pauvre enfant à qui on avait arraché trop tôt l’amour d’une mère, sans savoir que ces larmes là étaient pour la cruauté d’un père.
J'ai peur d'être vieux avant l'âge, d'aimer un jour sa cage
(1910) - “Tu rentres Corvus. Immédiatement. Tu reprends ton poste au ministère sinon je te jure que je vais te le faire regretter.”
C’était les mots qu’avaient craché une beuglante un matin d’octobre, après deux années à suivre Gellert à travers l’Europe. C’était les mots qui t’avaient obligé à te mettre en quête rapidement d’un portoloin, le cœur au bord des lèvres d’être si faible, si soumis lorsque le patriarche criait, le cœur au bord des lèvres qu’il n’ait qu’à claquer des doigts pour te faire revenir, pour te faire obéir, le cœur au bord des lèvres d’être un homme qui ne restait qu’un enfant face aux menaces du père, incapable d’oublier les années de violence, terrifié à l’idée de ce qu’il pourrait faire, terrifié par ce qui pouvait se cacher derrière un simple : je vais te le faire regretter.
Le retour en Angleterre avait été insoutenable, loin de ton seul ami, à la merci du bourreau, tu avais baissé la tête, baissé les yeux, subi dans la souffrance et en silence les accusations, les conséquences de la fuite qu’il n’avait pas approuvée.
“Tu l’as baisé le bulgare hein ? Et t’as aimé ça ? Avoue. Corvus, avoue.”
Mais tu n’avouais jamais rien. Tu travaillais la journée en sachant que le soir les portes de l’enfer et des cachots s’ouvriraient à nouveau pour toi, honteux d’être un homme incapable de se défendre, tu te fermais juste à tout, t’enfermant dans ton propre esprit, attendant sans savoir quoi, quelque chose, le moment, ton heure et elle vint, un soir de plus où il exerçait l’infinité de sa cruauté sur toi. C’était comme un picotement, comme quelque chose grattant à l’intérieur, cherchant à s’échapper, quelque chose qui avait grandi, grandi encore et encore et soudain tu avais entendu ta voix plus forte que jamais claquer dans le silence.
“Assez.”
Tu t’étais senti te relever d’un coup, le dominer de toute ta hauteur et les souvenirs étaient soudain devenus flous. Tu te souviens juste de l’explosion, la lumière verte, son corps sans vie, tu te souviens juste d’avoir envoyé un message urgent à Héloïsa, ta meilleure amie d’enfance, celle qui comme Gellert savait tout, tu te souviens de lui avoir dit de raconter que tu étais avec elle ce soir-là, un rendez-vous, n’importe quoi, le patriarche était suffisamment haï à Londres, par delà les frontières même, pour que son assassin soit n’importe qui d’autre que toi et au milieu du chaos, dans le cachot dévasté, devant le corps sans vie du père et bourreau, tu te souviens de t’être mis à genoux devant elle pour lui demander de t’épouser.
Fils de la violence
(1916) - Ils avaient trois et quatre ans, tu es incapable de te souvenir ce qu’ils avaient fait exactement ce jour-là une bêtise d’enfant probablement, suffisamment importante pour que tu la sentes couler dans tes veines : la colère et si tu savais ce que t’avait fait ton père, ce que tu avais pensé, si tu te souvenais parfaitement de ce qu’avait pu te faire la cruauté, la violence, jusqu’où elle t’avait mené, tu avais réalisé pourtant que tu ne savais rien faire d’autre alors que tes mains attrapaient les bras de tes deux fils, ignorant Victoria qui après tout n’était jamais qu’une fille, pour les descendre de force au cachot, lieu de ton propre parricide, comme l’ironie d’un cycle qui se répète, l’enfant né de la violence qui reproduit ce que ses yeux ont toujours vu bien qu’il l’exècre, comme l’ironie d’un cycle qui se répète, les enfants qui regardent avec crainte le père, qui crient alors qu’il les plaque au sol, les regarde se débattre sans pouvoir se relever.
“Silence.”
Tu répétais ses mots à lui, son ton à lui, comme si son ombre qui rodait toujours prenait possession de toi, glissait les phrases toutes faites dans ta bouche, la sensation grisante d’avoir le pouvoir au bout des doigts.
Tu aurais pu le faire sans le prononcer mais tu voulais qu’eux aussi connaissent la formule qui t’avait fait obéir tant d’années, la formule qui faisait exécuter même ce qu’on refusait par peur de sentir à nouveau le corps brûler, se déchirer.
“Crucio”
Leurs cris, même étouffés en se souvenant de l’ordre claqué plus tôt, montaient à tes oreilles, tu regardais leurs petites mains qui cherchaient désespérément une prise, quelque chose à accrocher, tu voyais l’horreur dans les yeux, l’innocence arrachée et soudain, ce fut comme si son ombre à lui reculait pour ne laisser place qu’à ta propre personne, les larmes montant sans que tu ne puisses les retenir en réalisant ce que tu faisais.
Tu cessais immédiatement, les laissant là, fuyant les cachots, passant devant Héloïsa qui essayait pourtant de t’appeler, fuyant comme si tu pouvais te fuir toi-même, t’effondrant juste, secoué de sanglots dans le jardin du manoir.
Tu ne savais pas comment élever des enfants autrement mais tu le décidais à cet instant précis, tu le hurlais à la nuit, tu préférais mille fois avoir des petits sauvageons mal élevés entre les doigts plutôt que ça, encore une fois, même une seule fois. C’était la promesse que tu faisais au monde, que tu faisais à toi-même, à tes deux fils qui venaient de souffrir, à tes autres enfants qui viendraient après, la promesse signée de tes larmes dans le jardin, dans la neige, dans le froid.
Parfois cependant, au plus noir des nuits, tu te disais que le Premier aurait mérité d'y repasser bien des fois.
Comment lui dire
(07/09/1940) - Mauvais endroit, mauvais moment, c’était ce qu’on dirait plus tard.
Tout était allé si vite, une seconde tu discutais avec Héloïsa, tenant Augustus, le dernier né de la famille, l’enfant que personne n’attendait, l’enfant que personne n’avait vu arriver, l’enfant surprise, l’enfant miracle dans tes bras puis l’instant d’après tout avait sombré dans le chaos. Les souvenirs étaient flous, morcelés, fracturés, tu te rappelais surtout le bruit, le bruit insoutenable et les odeurs aussi, tu avais perdu connaissance, quelques secondes à peine probablement, fermant les yeux sur un monde pour les rouvrir sur un autre qui ne serait plus jamais le même.
Toussant, suffoquant, dans la poussière, tu avais appelé leurs noms, Héloïsa, Augustus mais tu avais l’impression qu’ils se noyaient dans tous les autres cris.
Cherchant du regard autour de toi, tu avais remarqué, par chance, le petit garçon aux grands yeux bleus complètement hébété au milieu de l’horreur, tu t’étais relevé, boitant péniblement vers lui pour l’attraper, remerciant qui voulait bien t’entendre, qui existait, d’avoir épargné ce que tu avais de plus précieux sur cette Terre mais tes remerciements s’étaient évanouis en voyant quelques pas plus loin Héloïsa, inconsciente.
“Faut sortir. Faut sortir. Tout va s’écrouler.”
Les mots parvenaient à tes oreilles, leur sens aussi mais tu t’étais soudain senti glacé de l’intérieur devant le choix qui s’imposait à toi, jamais Augustus qui marchait depuis si peu de temps, bambin loin d’être pressé, n’arriverait à courir à l’extérieur à temps et Héloïsa…
Rien ne semblait pouvoir tirer Héloïsa de son sommeil éternel.
“Ma femme. Ma femme est inconsciente et…”
Tu suppliais, essayais d’expliquer mais personne n’écoutait vraiment, cherchant plutôt à sauver sa propre vie sans que tu ne puisses les en blâmer.
Tu essayais d’utiliser ta magie sans catalyseur alors, pour la faire léviter derrière vous deux, pour la sortir d’ici, mais la tête te tournait immédiatement, le monde vacillant doucement autour de toi, tu avais dû perdre trop de sang, tu le sentais de couler sur ton visage, dans ton cou, tu sentais la douleur de ta jambe, ton épaule, peut-être était-ce le choc aussi, tu ne savais pas, ne saurais jamais l’expliquer même si tu revivrais en pensée, en rêves, en cauchemars cet instant où ta magie t’avait trahie, ce dernier regard pour la femme qui avait si longtemps partagé ta vie et tes secrets, les yeux clos, la tête comme auréolée de ses longs cheveux blonds.
“Pardonne moi.”
Et, sentant l’urgence te saisir, tu serrais plus fort Augustus, t’extirpant des décombres in extremis pour voir, quelques minutes plus tard, le reste du bâtiment s’écrouler alors que le bambin commençait à pleurer.
- InvitéInvité
Jeu 24 Fév - 9:19 (Δ)
rebienvenue chez toi
tellement hâtede ruiner le monde d'écrire de nouveau avec toi
il a l'air d'avoir un tempérament tout doux et à la fois de feu, je suis intriguée
(et j'en reviens toujours pas de ce nombre d'enfant, jpp )
à tantôt dans la magicobateau !
tellement hâte
il a l'air d'avoir un tempérament tout doux et à la fois de feu, je suis intriguée
(et j'en reviens toujours pas de ce nombre d'enfant, jpp )
à tantôt dans la magicobateau !
- POLYJUICEMetys McGonagall
- Avatar : zendaya coleman
Crédits : avatar ( lumossolemstuff), gif profil (non exeris)
Gallions : 1085
Sang : mêlée, métissage aimé et sans importance.
Statut social : mère d'arden mcgonagall-ollivander (né le 4 novembre 1940), ex-fiancée de gale ollivander (disparu officiellement le 6 décembre 1940), coeur en cours de réparation par louis fawley.
Etudes : poudlard, gryffondor, promotion 1921-1927, capitaine de l'équipe de gryffondor au poste de batteuse de 1925 à 1927.
Opinion Politique : ancienne membre de la WSU depuis avril 1941, officieusement, elle donne toujours ses conseils, créatrice de l'Ordre du Matagot, société terroriste et non officielle travaillant contre Gellert Grindelwald.
Particularité magique : maîtresse de la métamorphose animagus chat tabby depuis ses dix-sept ans, occlumens.
Magie
Points:
(200/200)
Jeu 24 Fév - 9:24 (Δ)
qu'il est grave intéressant va falloir qu'on cause pour hector
Rebienvenue
Rebienvenue
- InvitéInvité
Jeu 24 Fév - 9:36 (Δ)
Tant de plot twist, j'adore déjà
J'ai hâte de dévorer la suite de cette fiche, puis tous tes futurs rps aussi Re-bienvenue à la maison !
J'ai hâte de dévorer la suite de cette fiche, puis tous tes futurs rps aussi Re-bienvenue à la maison !
- AMORTENTIARuwa Besada
- Avatar : sherouk farid
Crédits : avatar : dyonissas, gif profil : sandraclyde
Gallions : 15735
Sang : considérée comme sang-pure, mais cela n'a aucune importance pour Ruwa qui se considère comme sorcière avant tout.
Statut social : Le coeur qui bat fort pour le scorpion (isidore) et premiers battements de coeur marins (kamrailid). Célibataire officiellement, enceinte d'un futur petit garçon (fils d'isidore).
Etudes : ugadou, promotion 1915-1920, Poudlard, promotion 1920-1922, serdaigle, club d'échecs sorciers
Opinion Politique : apolitique, Ruwa n'est dans aucun parti politique. Anti-puriste notoire, elle ne comprend pas cette notion. Anti-secret magique bien qu'elle soit plus flexible sur cette question.
Particularité magique : atteinte de la malédiction du coeur brisé, condamnée à se faire briser le coeur et devenir hideuse - magie sans catalyseur, stade expert.
Aventures :
Magie
Points:
(154/250)
Lun 28 Fév - 18:36 (Δ)
bienvenue
protego maxima
there's just no time to die
quel plaisir de voir un lestrange joué grand hâte de le voir évoluer rebienvenue chez toi
Toutes nos félicitations , tu viens de passer les vérifications de tes papiers d'identité et tu es maintenant validé. Maintenant que tu es officiellement des nôtres, avant d'aller commander une bierraubeurre, on t'encourage à aller ouvrir tes sujets d'évolution, de liens et de hiboux pour pouvoir te faire des petits copains ou des grands ennemis. Tu as l'opportunité aussi d'aller réclamer des gallions dans la boutique, participer à l'animation drink me et le rp roulette. Si tu recherches des liens spécifiques, tu peux poster dans le sujet recherches de liens ou tout simplement passer par le discord du forum pour contacter directement les autres joueurs. Enfin, si tu te sens un peu perdu, la partie parrainage pourra t'aider. N'hésite pas à demander à avoir un parrain ou une marraine.
Encore bienvenue parmi nous et on te souhaite un bon jeu, et une longue vie sur Protego Maxima !
- InvitéInvité
Lun 28 Fév - 21:59 (Δ)
reBienvenue !
(comment tu fais pour pas te perdre entre eux tous ? )
(comment tu fais pour pas te perdre entre eux tous ? )
- WEEDOSOROSAntarès Black
- Avatar : Timothée Chalamet
Crédits : avatar lost tales
Gallions : 2406
Sang : Always Pure
Statut social : Marié à Astoria Black, un mariage d'amour caché par des raisons politiques, solidifiant l'alliance entre les Potter et les Black.
Etudes : Serpentard jusqu'au bout des doigts, il a achevé Poudlard avec les honneurs, quelques titres du club de duel dans les poches.
Opinion Politique : Il vit pour le chaos, brûle d'envie de voir les murs tomber et la haine déferler sur les moins que rien qui se cachent sous la protection des sorciers
Particularité magique : Magie sans Baguette et Occlumens
Magie
Points:
(200/200)
Lun 6 Nov - 18:21 (Δ)
bienvenue
protego maxima
there's just no time to die
Welcome back chef (j'avais trop de persos contents de te voir du coup j'ai utilisé celui qui était déjà connecté because flemme) Hâte de retrouver Corvus et de voir les Lestrange traumatiser le monde (you guys are weird)
Toutes nos félicitations , tu viens de passer les vérifications de tes papiers d'identité et tu es maintenant validé. Maintenant que tu es officiellement des nôtres, avant d'aller commander une bierraubeurre, on t'encourage à aller ouvrir tes sujets d'évolution, de liens et de hiboux pour pouvoir te faire des petits copains ou des grands ennemis. Tu as l'opportunité aussi d'aller réclamer des gallions dans la boutique, participer à l'animation drink me et le rp roulette. Si tu recherches des liens spécifiques, tu peux poster dans le sujet recherches de liens ou tout simplement passer par le discord du forum pour contacter directement les autres joueurs. Enfin, si tu te sens un peu perdu, la partie parrainage pourra t'aider. N'hésite pas à demander à avoir un parrain ou une marraine.
Encore bienvenue parmi nous et on te souhaite un bon jeu, et une longue vie sur Protego Maxima !
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