- FELIX FELICISAlfie Barjow
- Avatar : Elijah Wood
Gallions : 193
Sang : mêlé
Statut social : Célibataire - père sans le savoir
Etudes : Poudlard - Serpentard
Opinion Politique : sympathisant à la LMD
Particularité magique : Comme tous les membres de ma famille, je suis maudit, petit cadeau transmit par mon père. De ce fait, mon sang est noir. Sans voix (ou presque). Chaque mot formulé est une véritable torture. Imaginez-vous en train d’avaler une boite entière d’épingles à chacune de vos syllabes. J’ai malgré tout une certaine chance dans mon malheur puisque je suis légilimens au stade avancé (je frôle l’optimal). Cependant, ce dont me fatigue à chacune de mes utilisations, et c’est bien pire quand l’échange traîne en longueur. Ne pouvant donc que très peu parler, j’ai fini par avoir une réputation de solitaire (et c’était chose vraie, bien que ce n’était pas par choix). Toujours à cause de la malédiction, j’ai dû apprendre à lancer mes sors sans catalyseur (niveau optimal). J’ai malgré tout conservé ma première baguette, je ne sors jamais sans et ne me demandez pas pourquoi, je l’ignore moi-même… Peut-être est-ce par simple désir de vouloir ressembler aux autres sorciers, à ceux capable de formuler en toute aisance un banal windgardium leviosa.
Jeu 5 Jan - 1:48 (Δ)
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Alfie Barjow
Elijah Wood
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Magie sans catalyseur. Je garde malgré tout ma première baguette avec moi, même si je n'en ai plus l’utilité.
Un sombral.
Mon propre père hors de lui, m’accusant d’avoir été celui qui a gâché sa vie.
Un savant mélange de tabac, de muguet et de terre qui annonce la pluie.
- FELIX FELICISAlfie Barjow
- Avatar : Elijah Wood
Gallions : 193
Sang : mêlé
Statut social : Célibataire - père sans le savoir
Etudes : Poudlard - Serpentard
Opinion Politique : sympathisant à la LMD
Particularité magique : Comme tous les membres de ma famille, je suis maudit, petit cadeau transmit par mon père. De ce fait, mon sang est noir. Sans voix (ou presque). Chaque mot formulé est une véritable torture. Imaginez-vous en train d’avaler une boite entière d’épingles à chacune de vos syllabes. J’ai malgré tout une certaine chance dans mon malheur puisque je suis légilimens au stade avancé (je frôle l’optimal). Cependant, ce dont me fatigue à chacune de mes utilisations, et c’est bien pire quand l’échange traîne en longueur. Ne pouvant donc que très peu parler, j’ai fini par avoir une réputation de solitaire (et c’était chose vraie, bien que ce n’était pas par choix). Toujours à cause de la malédiction, j’ai dû apprendre à lancer mes sors sans catalyseur (niveau optimal). J’ai malgré tout conservé ma première baguette, je ne sors jamais sans et ne me demandez pas pourquoi, je l’ignore moi-même… Peut-être est-ce par simple désir de vouloir ressembler aux autres sorciers, à ceux capable de formuler en toute aisance un banal windgardium leviosa.
Jeu 5 Jan - 1:49 (Δ)
story of my life
once upon a time
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Ce fut le jour de mon premier cri. Moi, Alfie Barjow, premier fils de la famille et petit frère d’Elizabeth, je venais de voir le jour.
Début 1910 :
Mon père s’aperçoit qu’il peut entendre ma voix, non pas avec ses oreilles mais dans sa tête. Là, commence mes débuts en legilimens. Bien évidement, c’est assez laborieux au vu de mon jeune âge. Je ne contrôle rien et ça devient rapidement la pagaille pour moi. Toutes ses voix mélangées ont tendance à me fatiguer. Il m’arrive de m’isoler dans ma chambre pour obtenir un minimum de silence. Avec mon isolement, suivent rapidement des tensions avec mon paternel qui se sent délaissé par son si jeune fils…
Courant 1912 :
À mesure que je progresse en legilimens, une toute autre chose se produit en parallèle. Une chose loin d’être positive : je suis en train de perdre ma voix. Je ne suis pas seulement atteint d’une forme de mutisme banale, si je puis dire. Non… Du haut de mes 7 ans, je comprends que quelque chose cloche vraiment. Quelque chose d’assez grave : je l’ai lu dans le regard de mes parents… Ils étaient inquiets… En effet, il m’était devenu difficile de m’exprimer sans ressentir une vive douleur dans ma gorge… Le diagnostic tombe : je suis maudit.
1915 – 1920 :
La relation avec mon père se dégrade si bien que je me mets à apprendre la langue des signes pour ne plus avoir à user de mon don de legilimens, le punissant ainsi en le privant de ma voix. En effet, on a de plus en plus de mal à se comprendre, nos opinions divergent de plus en plus et des tensions s’installent. En parallèle, les symptômes de la malédiction s’aggravaient au fil des mois puis des années. D’abord, mes phrases se raccourcirent. Il m’était devenu impossible d’enchaîner plus de cinq mots sans que cette douleur ne me ronge la gorge. J’en avais les larmes aux yeux… Mais je ne me plaignais jamais, sans doute parce que « j’étais un garçon et que les garçons devaient rester fort »… Alors, quand la douleur devenait vraiment insoutenable, je me taisais, me rabattant sur mon don de legilimens pour avoir une chance de m’exprimer sans mot. Mais là encore, la malédiction se manifesta pour me faire taire. Lire et parler dans l’esprit d’autrui me fatiguait. C’était à un point que si j’enchaînai six ou sept phrases, j’étais pris de vertiges. Il m’était nécessaire de m’asseoir. Et s’il m’arrivait d’insister, de vouloir continuer une conversation sans verbaliser les choses, je pouvais perdre littéralement connaissance… Chose qui m’était arrivé une fois, lorsque mon père et moi nous étions pris le bec pour une raison qui m’échappe aujourd’hui, peut-être quelque chose lié à la politique…
Septembre 1916 :
C’était le grand jour, celui de ma première rentrée à Poudlard. Je sentais l’inquiétude de mes parents, (un jeune garçon muet qui allait devoir lancer des sorts… C’est impensable sans voix ! ) Mais le Choixpeau m’accueillit comme si de rien était, m’envoyant sans la moindre hésitation dans la maison du serpent. Sans surprise, les sortilèges furent la matière la plus difficile pour moi, si bien que le professeur me convia aux cours de soutien qui se tenaient chaque fin de journée. De là, il m’apprit les rudiments des sortilèges informulés. Vous vous en doutez certainement, mais les premiers essais ne furent pas concluent… Les mois s’enchaînaient bien trop vite…
J’étais si démuni que lorsque vint mon premier cours du dernier mois de l’année, je pensais que j’allais une nouvelle fois échouer… Quelle ne fut pas ma surprise, lorsque après 2 heures à m’entraîner sans relâche, un windgardium leviosa fit s’envoler une plume blanche, plume qui vint caresser le plafond haut de la salle. J’étais si fier, mais également si épuisé qu’il me fallu un tabouret pour reprendre mes forces.
Pour les autres matières, je me rattrapais en potion, en botanique et en divination ou le silence n’était pas un frein.
1918 :
Epaulé par mon oncle, j'apprends à contrôler peu à peu mon don de Legilimens.
Novembre 1919 :
Jour du mariage de ma sœur, Elizabeth. J’étais heureux pour elle. Malgré le fait que je gardais le silence, je ne pouvais m’empêcher de sourire tout le temps de la cérémonie.
14 juin 1921 :
Je devenais tonton pour la première fois. J’étais si heureux pour ma sœur. Ash avait une tête d’ange, malgré son petit caractère. Ignorant l’état d’esprit d’Elizabeth, il m’arrivait de la charrier à ce sujet, lui disant que son fils ressemblait davantage à son oncle (et parrain) qu’à elle.
1923 :
Fin d’études à Poudlard.
J’obtenais les félicitations en divination et en potions.
Janvier 1933 :
Ma route croisa celle d’une femme prénommée Narcisse… Elle était tellement envoûtante… Sans même m’en rendre compte, je finis par tomber sous ses charmes de vélane… Son aura m'obseda au point de me pousser à la rejoindre au sein de la Mandragore... Ce fut elle qui m’ouvrit les portes de la Licorne, me proposant un poste en tant que prostitué… Aveuglé par son aura, j’acceptais.
Avril 1934 :
J’avouai à ma sœur mon véritable emploi. Je lui fis jurer de ne rien dire.
Depuis cette date, Elizabeth tenta de m’avertir que Narcisse était une vélane, que je devais faire très attention… Mais il était déjà trop tard, j’étais déjà envoûté par elle.
1935 – 1937
Ma sœur était au plus mal. Internement, perte de la garde de ses enfants, mariage qui vole en éclat… J’aurais tant voulu l’aider mais… J’ignore comment et… Le travail me prenait tellement de temps…
1938 : - TW homophobe + violence pour cette date -
Un soir, j’ai été sérieusement agressé. Tout s’était passé durant mes heures de travail à la licorne.
J’avais accueilli et mis à l’aise ce nouveau papillon de nuit, me pliant à ses demandes sans rechigner… J’étais dans mon plus simple appareil et l’homme était quant à lui quasiment nu. Je me trouvais à califourchon au-dessus du client un brin trop alcoolisé. Tout se passait bien, jusqu’au moment où il se mit à débiter des paroles injurieuses et menaçantes. Je me rappelle avoir eu un bref mouvement de recul, mouvement stoppé par l’autre qui me saisit à la gorge. Il ne jouait plus… J’eus seulement le temps de froncer les sourcils d’incompréhension, qu’en un mouvement de balancier, il inversa nos positions respectives. J’étais maintenant assis sur le lit, dos au mur, et lui au-dessus de moi. Ses yeux s’obscurcirent. Mes mains se posèrent sur celle qui me maintenait. L’homme paraissait dégoûté, comme si… JE le dégoûtais. De là, il m’insulta de « tapette » entre autres, ponctuant chacun de ses mots en frappant l’arrière de ma tête contre le mur, en y mettant toujours un peu plus de force. Lorsque les premiers vertiges firent tourner la pièce, il se mit à me donner des coups directement en plein visage, tout en poursuivant, disant que je n’étais pas normal…
Je sais que j’aurai dû lancer un sors, mais… Il ne m’en avait pas laissé le temps. Crier ? Impossible, il me maintenait toujours à la gorge… Alors dans un ultime espoir, je me mis à crier en usant de mon don de legilimens…
Je savais qu’il y avait un sorcier pas loin de la porte, qui surveillait les employés qui utilisaient les pièces des alentours. Une chance !
Il perçut mon appel au secours et maîtrisa le client qui fut envoyé ailleurs.
Au vu de mon état, je fus renvoyé chez moi…
Je pensais que j’allais pouvoir me regarder dans un miroir, ou m’allonger simplement dans mon lit en oubliant un tant soit peu mes blessures mais… Je fus très vite bloqué par mon père, au beau milieu du couloir qui menait à ma chambre et ce, malgré l’heure tardive. Je lui fis comprendre que mes quelques blessures étaient dues à une banale rixe dans un pub du coin… Mon mensonge ne fonctionna pas. Pire, il me saisit par ma chemise mouchetée de tâches rubis, et me balança être au courant de ma vie secrète. Je me sentis bien vite misérable à ses yeux…
Un nom me passa à l’esprit : Elizabeth ! Elle était l’unique membre de la famille à qui j’avais fait part de cet emploi qui aurait dû rester secret. Je me sentis aussitôt trahi par celle en qui j’avais le plus confiance.
Mon père m’entraîna à l’extérieur non sans me gifler au passage avant de refermer la porte derrière lui, me laissant là, debout, dehors, dans le noir, le visage encore maculé de sang séché… Qui contrastait avec le coin de ma lèvre fraîchement ouverte.
Profondément choqué par ce qui venait de se passer, je finis par me retourner pour m’en aller, mais… Une silhouette m’arrêta. Elizabeth. Elle était là… Elle avait tout entendu. Je le voyais bien à l’expression de son visage. Ce fut lorsqu’elle entrouvrit les lèvres que mon regard devint noir. Là, à cet instant, je pris la parole :
« Tu as toujours été sa fille unique ! »
Ma voix était brisée et mon dernier mot se coupa contre ma volonté. La douleur s’empara de mon gosier. Je pouvais presque sentir le goût de mon sang au fond de ma gorge. La mâchoire serrée, je me mis en marche, bousculant l’épaule de ma sœur, sans rajouter le moindre un mot, ou pensée supplémentaire à son égard.
1939 :
Après tant d’année à travailler en tant que prostitué à la Licorne, j’appris pas mal de choses concernant certains clients grace à mon don le legilimens. Mes connaissances attisèrent la curiosité de mes employeurs qui trouvèrent plus judicieux de me changer de post. Ainsi, je devenais employé de sécurité pour l’établissement, sous les ordres de Cieran.
Je devais surveiller avec plus d’attention toute une liste de clients qui étaient potentiellement à risque afin d’éviter toute potentielle rixe.
7 septembre 1940 :
Début du Blitz. Le Ministère de la Magie est détruit par une bombe en plein milieu des primaires sorcières. Ce jour-là, je travaille à l’abri à la Mandragore.
24 décembre 1940 :
Les artefacts de la zone protégée de Londres tombent en panne en plein milieu du marché de Noël. Un bombardement ravage une partie de ce dernier. Un Protego Maxima est établi pour remplacer les artefacts. Ce jour-là, j’étais sur place. J’ai pu profiter par chance des stands et m’en aller juste avant les bombardements.
1941 :
Suite au départ de Caecilia, et après la prise de pouvoir de Cieran, ce dernier me fit Pivoine pour la Mandragore. Mon rôle ? Surveiller les comptes et les finances de la Mandragore. Ainsi, je n’avais pas à user de la parole, ni même de la pensée. Un post fait pour moi.
- FELIX FELICISJeremiah Barjow
- Avatar : keanu reeves
Crédits : avatar : boite à idées
Gallions : 1175
Sang : sang-mêlé qui n'est jamais sorti du lot et s'en est toujours contenté, masse silencieuse dont il fait partie.
Statut social : marié depuis des années à l'impitoyable Edith Barjow, son épouse. Père de deux enfants, Elizabeth et XX Barjow. Grand-père d'Ash Leroy et XX Leroy.
Etudes : poudlard, serpentard, promotion 18xx-18xx, aucun club, aucune distinction, élève médiocre.
Opinion Politique : pro-cmp, anti-hybride et pro-sang-pur, particulièrement tolérant envers les maudits (vampires, loup-garous et autres maudits).
Particularité magique : maudit par le sang suite à une erreur de jeunesse. Son sang est épais et noir, affliction qu'il partage avec les Beurk. Jeremiah est également devenu sourd à cause de cette malédiction et a transmis sa malédiction à ses enfants.
Ven 6 Jan - 11:15 (Δ)
bienvenue
protego maxima
there's just no time to die
omg mon petit coeur Je m'excuse au nom de Jeremiah qui est pas fin quand même Alfie me fait si mal au coeur Si hâte de voir la famille entière réunie
Toutes nos félicitations , tu viens de passer les vérifications de tes papiers d'identité et tu es maintenant validé. Maintenant que tu es officiellement des nôtres, avant d'aller commander une bierraubeurre, on t'encourage à aller ouvrir tes sujets d'évolution, de liens et de hiboux pour pouvoir te faire des petits copains ou des grands ennemis. Tu as l'opportunité aussi d'aller réclamer des gallions dans la boutique, participer à l'animation drink me et le rp roulette. Si tu recherches des liens spécifiques, tu peux poster dans le sujet recherches de liens ou tout simplement passer par le discord du forum pour contacter directement les autres joueurs. Enfin, si tu te sens un peu perdu, la partie parrainage pourra t'aider. N'hésite pas à demander à avoir un parrain ou une marraine.
Encore bienvenue parmi nous et on te souhaite un bon jeu, et une longue vie sur Protego Maxima !
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