Evolution de Kamrailid Lagprat

généralités
IDENTITÉ - Kamrailid Lagprat
NAISSANCE - 23/01/1902
NATURE DU SANG - Sang de Selkie, 1er degré.
FAMILLE - Son père, Feron, était un selkie et sa mère, Irikah, une sorcière gitane de la communauté des Travellers. Une rencontre pas si fortuite, les deux communautés travaillant souvent ensemble pour des échanges commerciaux. Si son père était toujours bien vivant au dernière nouvelle, sa mère est décédée en le mettant au monde et il fut élevé par ses grand-parents. Il a eu l’occasion de voir son père quelquefois lorsqu’il était enfant mais aujourd’hui il est bien trop éloigné de ses terres d’origine pour espérer le revoir et de toute façon, c’est à peine s’il se souvient de lui. Il n’a ni frère, ni sœur, il a d'innombrable cousins et cousines et chaque membre des travellers étaient comme des membres de sa famille. Il est marié, non officiellement, à une femme du nom de Maleia, ensemble, ils ont trois enfants. Deux fils, Robikin et Grīto, ainsi qu’une fille, Lašūl. Il ignore ce que sa famille est devenue et cherche à les retrouver, bien que ça soit plus complexe que ça.
ROMANCE - En théorie marié, voilà dix ans qu'il n'a plus vu sa femme ni ses enfants. Son mariage n'a d'ailleurs rien d'officiel aux yeux de la loi. A sa connaissance, il est hétérosexuel et ne sait jamais poser la moindre question à ce sujet.
ORIGINE(S) -  Il a l'âme des Travellers. Communauté gitane d’origine irlandaise qui aime à raconter qu’ils sont les premiers sorciers de ces terres à qui on a tout spoiler. Ces légendes n’ont aucune valeur historique et les histoires sur l’origine de ce peuple sont nombreuses.
LIEU DE VIE - Fraîchement débarqué à Londres, il vit dans un hôtel miteux de muggleborn town qu'il a du mal à payer mais il est difficile de trouver un appartement à Londres en ce moment, encore plus lorsqu'on est un hybride et un gitan.
MÉTIER - Conscrit à la LDV.
PARTICULARITÉ(S) - Soyons honnête, en tant que sorcier Kamrailid’ est vraiment médiocre. Les bases lui sont connues, mais c’est loin d’être facile, sa magie ayant plutôt tendance à répondre à ses émotions et à ses instincts. En revanche, il a toujours été accepté en tant qu’hybride et la communauté a énormément encouragé les capacités inhérentes à ce sang qui coule dans ses veines. En tant qu'Hybride selkie au 1er degré, L’eau reste donc sa meilleure alliée et le type de magie qu’il maîtrise le mieux. Capable de pouvoir ressentir la présence de l’eau, c’est une sensation qu’il apprécie tout particulièrement, surtout lorsqu’il s’agit de l’arrivée d’une averse. C’est quelque chose qu’il adore ressentir, c’est indescriptible, mais cela l'appelle et l’excite. L’eau lui parle, elle chante pour lui, elle est sa meilleure amie. Cela lui paraît bien plus naturel de la manipuler que de pratiquer quelconque autre magie.

Vivre de voyage dans une communauté nomade à fait de lui un excellent chasseur même si, franchement, ça n’est d’aucune utilité dans Londres. Il connaît également de nombreuses plantes aquatiques comme terrestres même si ces connaissances ont vécu un coup dur à cause de ces années de captivité, il a rapidement retrouvé ses marques lors de son voyage entre Birmingham et Londres. Connaissant très bien la pharmacopée naturelle. C’est également et surtout un excellent combattant en combat rapproché bien que cette affinité semble être innée chez lui et serait explicable de par sa nature hybride. Il la met également sur le compte de dix années à survivre dans des combats clandestins.

éducation magique
Éducation magique - Il a été éduqué par la communauté gitane : les Travellers. A ce titre, son savoir est donc surtout pratique. Il ne sait pas lire, ni écrire et ne possède aucun diplôme.

informations magiques
Baguette - En bois de gainier rouge, en son cœur réside de la soie d’araignée. Elle mesure 23 centimètres. Ce n’est pas sa baguette originelle, mais c’est celle qu’il a acquise durant son voyage vers Londres. L’histoire de son acquisition diffère à chaque fois qu’il la raconte.
Epouvantard - Il s’agit de bracelets épais et lourds traînant derrière elles de longue chaîne, à l’image des artefacts que son bourreau utilisait pour inhiber sa magie. Les bracelets serpentent jusqu’à lui en essayant de venir à nouveau entourer ses poignées ou ses chevilles.
Miroir du Risèd - Lui-même, à l'âge exact de 28 ans.
Patronus - la forme que prend le patronus de ton personnage et le souvenir utilisé pour le former.
Particularité - Il s’agit de bracelets épais et lourds traînant derrière elles de longue chaîne, à l’image des artefacts que son bourreau utilisait pour inhiber sa magie. Les bracelets serpentent jusqu’à lui en essayant de venir à nouveau entourer ses poignées ou ses chevilles.
Animaux de compagnie - N'en possède pas encore.
Inventaire - Ne possède rien.

trivia, anecdotes
écrire ici les anecdotes et détails divers de ton personnage

rps en cours
titre du rp - ft. pseuso
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rps terminés
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rps inachevés
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A quel point ces combats clandestins sont-ils connu ?
Surtout connu du milieu fortuné, sang pur et masculin. Ca brasse pas mal d'argent en terme de paris. Généralement pour y assister, il faut être invité (un peu comme un club secret). Donc je pourrai pas trop dire à quel point c'est connu parce que ça cible surtout une population précise pour les spectateurs, mais dans cette population précise, oui c'est connu. Bien évidemment, c'est bien connu des familles qui trempes dans les trucs pas net (coucou les Nott et les Crabbe)

Où se déroulait les combats ?
Généralement, ça se passait en sous sol d'un club très sélecte, en terme de géographie cela se situait essentiellement à Londres et dans les villes se situant entre Birmingham et Londres.

Où était-il lorsqu'il ne combattait ?
Enfermé dans l'une des demeures appartenant à un certain Grégoire Goyle qui se trouvait à Birmingham. Il était enfermé en sous-sol. Ca arrivait que pour certains invités, le propriétaire des lieux fassent visiter son "mini zoo" pour impressionner et obtenir certaines alliances.

Garde-t-il une certaine défiance/colère envers les sorciers ?
De base, il n'est pas fana des citadins, il y a toujours eu une certaine défiance entre les sorciers sédentarisés et la communauté gitane dont il fait partie. Il a une grande colère pour les sang pur, en particulier les hommes, qu'il aura tendance à provoquer pour le plaisir de leur casser la gueule (ou de se faire casser la gueule). Avec le temps cependant, le traumatisme de ces dix années enfermé et le fait qu'il commence à doucement processer ça le rend beaucoup plus violent à ce sujet et il commence à avoir envie d'une vengeance sanglante et mortel contre tout ceux qui ont participer, de près ou de loin, à son enfer.

Comment vit-il sa nouvelle "captivité" au sein de la LDV ?
Sujet complexe, mais je dirais qu'ironiquement, il le vit plutôt bien. Il en est encore au stade où pour le moment, ça l'arrange bien d'être à la LDV parce que ça lui permet de survivre et de se cacher derrière une excuse pour ne pas continuer ses recherches pour retrouver sa famille. Bien qu'il ne se l'avoue pas, Kamrailid' ne veut pas retrouver sa famille et les siens, pour des tas de raisons qu'il a pas encore process' et dont il n'a pas vraiment conscience. Alors la LDV ça l'arrange bien et il croit encore que lorsqu'il en aura marre, il pourra partir sans demander son reste (oui, c'est pas une lumière).
Pour l'instant, il le vit plus comme un job que comme une véritable captivité. Parce que, disons le, ça n'a rien avoir avec le cauchemar qu'il a vécu.

Où est-il lorsqu'il n'arpente pas la Tamise ?
Par ordre de priorité :
- Au pub quand il a de quoi se payer quelques bières ! A gueuler, chanter ou se battre.
- Dans les rues de la ville à désaouler en chantant des chants d'ivrogne en shelta.
- Sur les rives de la tamise parce qu'il aime vraiment ça.
- Dans sa minuscule chambre d'hôtel à pioncer.
- Potentiellement dans les rues de la ville, sobre cette fois (même s'il fait penser le contraire), pour jouer les pickpockets.

A quelle fréquence combattait-il ?
Cela variait, car la mise en place de ces combats demandait beaucoup d'organisation pour éviter de se faire attraper ou que les combattants se tirent. En moyenne, c'était un combat tous les deux mois. Selon les blessures qui en résultaient, le temps de convalescence pouvait retarder le prochain combat.

Dernière mise à jour : 16/09/2021