- WEEDOSOROSGellert Grindelwald
- Avatar : Michael Fassbender
Crédits : ava: avatarsandcrap gif: crackshipandcrap
Gallions : 1110
Sang : Ichor imparfait, sang-mêlé pour l'enfant du démon
Statut social : Le coeur n'est plus à prendre, un seul être y a marqué son passage. Eternel célibataire qui ne connaît de répit que dans les soupirs partagés
Etudes : Jeune sorcier prodigieux qui a marqué à jamais les murs de Durmstrang
Opinion Politique : Embrassant une idéologie travaillée et sculptée pendant des années, c'est de ses rêves qu'est née la Ligue, Pour le plus grand bien
Particularité magique : Occlumens avancé, Legilimens extrême (illégal)
Aventures :
Lun 30 Aoû - 10:52 (Δ)
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GELLERT GRINDELWALD
ft. nikolaj coster-waldau
For the greater good
legilimens (avancé) - Se glisser tel un serpent dans les méandres de l'esprit, glisser dans les pensées, connaître les secrets et les mensonges, les intentions de ceux qui l'entourent. Très rapidement Gellert s'est tourné vers cet art, conscient que cette magie était une arme non négligeable, l'entraînement fut douloureux mais il s'y est plongé corps et âmes, il est rapidement devenu maître en la matière, usant de ce don pour s'assurer tant de la loyauté de ses partisans les plus proches que pour déloger des cervelles ennemies quelques informations utiles à son rêve, récoltant faveurs et usant de chantage pour s'assurer la protection de certaines familles, de certains sorciers à travers le monde.
Baguette de Sureau entre les griffes. L'arme de la mort qu'il utilise à sa guise bien que peu connaissent l'identité réelle de la baguette.
N'a été capable d'en produire un que quelques années, un Aigle qui s'échappait en filaments argentés
Borislav se retournant contre son père.
Des bûches enflammées, une odeur de whisky ancien, une touche de métallique rappelant l'odeur du sang.
- WEEDOSOROSGellert Grindelwald
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Gallions : 1110
Sang : Ichor imparfait, sang-mêlé pour l'enfant du démon
Statut social : Le coeur n'est plus à prendre, un seul être y a marqué son passage. Eternel célibataire qui ne connaît de répit que dans les soupirs partagés
Etudes : Jeune sorcier prodigieux qui a marqué à jamais les murs de Durmstrang
Opinion Politique : Embrassant une idéologie travaillée et sculptée pendant des années, c'est de ses rêves qu'est née la Ligue, Pour le plus grand bien
Particularité magique : Occlumens avancé, Legilimens extrême (illégal)
Aventures :
Lun 30 Aoû - 10:52 (Δ)
story of my life
once upon a time
I'm a straight up villain
TW: violences paternelles
Juin 1883 - Naissance de Gellert en Bulgarie d’un père moldu et d’une mère sorcière.
1893 - Mort de Mathilda Grindelwald après une explosion de magie de Gellert lorsqu’il se faisait frapper par son père
1894 - Entrée à Durmstrang. Heureux d’être loin de son père, il sera au début un élève exemplaire. Rapidement il montrera des talents innés et un intérêt morbide pour la magie Noire à laquelle il s'adonne sans retenue
Janvier 1899 - Renvoyé de Durmstrang après avoir usé de Magie Noire sur d’autres élèves de l’école, occasionnant des blessures graves et dégats matériaux importants. Il ne retournera pas chez lui en Bulgarie mais voyagera pendant plusieurs mois avant de poser bagages chez sa grand-tante Bathilda Tourdesac.
1899 - Mort de Kendra Dumbledore, alors qu’il était face à la tombe d’Ignotus Peverell, il rencontrera Albus, rapidement les deux jeunes hommes seront inséparables, partageant les mêmes intérêts et des idéaux qui les rapprochent.
1901 - Plus que des frères, la relation entre Albus et Gellert prends une autre forme, les sentiments dévoilés, les idées se rejoignent, les jeunes sorciers commencent à mettre en place une idéologie de domination des sorciers sur les moldus, désireux de briser le secret magique qu’ils perçoivent comme une prison empêchant les sorciers de s’élever. Pour le plus grand bien.
1905 - Après avoir eu vent de révolte de la communauté des sorciers Vodun contre le MACUSA et le sorcier magique, il se rends en amérique pour s'intéresser à la situation, ayant déjà commencé à formuler des plans de renversements de l'ordre établi avec Albus. Il y rencontrera Sogbéhindé Lanuit, avec lequel il se liera d'amitié, curiosité piquée par cet homme hors du commun. Ils entretiendront au fil du temps une relation épistolaire et Sogbéhindé sera l'un des premiers conseillers de Gellert
1906 Convaincu que leur histoire était plus forte que l’univers. Les deux amants se livrent à un pacte du sang.
Mars 1908 Une dispute éclate entre Gellert et Abelforth, ce dernier refusant qu’Albus parte avec Gellert rassembler des partisans à leur cause. Gellert agacé par le manque d’ambition et par la difficulté d’Abelforth à adhérer à leurs idées, Gellert s’emporte. Albus tente de s’interposer mais un duel à trois commence. Sous les sorts et les bruits, Ariana voulant empêcher les sorciers de s’entretuer intervient, mais se fait frapper par un sortilège mortel. Face à ça, Gellert décide de fuir l’Angleterre, de peur d’être accusé du meurtre étant donné sa réputation et ses méfaits en Bulgarie.
Octobre 1908 Continuant ses recherches sur les reliques de la mort, il retrouve la trace de la Baguette de Sureau, qui serait en la possession de Mykew Gregorovitch. Un soir, Gellert s’introduit dans l'atelier du fabricant de baguette, et lui dérobe la baguette en le stupefixiant avant de s’enfuir. Sans jamais se vanter de l’avoir, et Mykew ne laissant pas courir le bruit du vol, couvert de honte, Gellert devient le possesseur de la plus puissante baguette jamais créée et le voit comme un signe de supériorité.
1915 rencontre avec Carmen Herrera, lors de discussions politiques engagées par Gellert afin d’avoir le soutien du père de Carmen. Ils se lient d’amitié autour de l’art et des talents de la sorcière. Ils entretiendront une relation épistolaire, Carmen se révélant être un soutien de taille pour Gellert lors de son ascension.
1917 Rencontre avec Stasya en Amérique alors qu’elle est chargée de l’arrêter pour le meurtre d’Ariana. Elle assiste à un des ralliements et discours de Gellert. Début de l’alliance avec les Apraxine
1920 Plusieurs décès en Europe de l’Est sont imputés au mage noir. Gellert sème chaos et panique sur son passage, rassemblant des partisans en usant d’une théorie de “droit de règne” des sorciers sur les moldus. Il utilise aussi la phrase trouvée plusieurs années plus tôt par Albus Dumbledore, Pour le plus grand bien, comme signature et cri de ralliement.
juin 1920 Après avoir visité un orphelinat Bulgare, dans le but de gagner quelques points de sympathie auprès du peuple en leur offrant des sommes d’argents conséquents et supervisant la remise à neuf de l’établissement, il y croisera le jeune Borislav Sevov. Un Orphelin tenant dans sa main une copie des contes de Beedle le Barde, se revoyant plus jeune il prend la décision d’adopter l’enfant. Devenant le père d’un enfant de trois ans. Le petit gardera son prénom mais deviendra un Grindelwald.
Automne 1920 Rencontre avec Valère Fabergé, Gellert se lie d’une relation forte avec Valère, comprenant bien rapidement l’intérêt que lui porte le jeune homme, Gellert ne voit en lui qu’un moyen d’avoir un appui financier et une influence agrandie. Il commencera alors à jouer avec les sentiments de Valère pour le plus grand bien.
1926 Quittant le bastion de Nurmengard dans lequel croupissent des opposants aux idéaux qu’il juge dangereux, il fait résonner son nom à travers différentes capitales magiques, rassemblant toujours plus de fervents à sa cause.
1931 Entrée de Borislav à Poudlard, il y fera ses études sous le nom de Borislav Tourdesac, Gellert désirant le protéger de sa réputation ambiguë en Grande-Bretagne. Après avoir voyagé avec son père au fil des années, Gellert confie son éducation à Carmen Herrera et Stasya Apraxina, sachant que les prochaines années ne seront pas assez stables et désirant apporter une vie confortable à son fils.
1934 Suite à un ralliement de sorciers en Louisiane pour attaquer et dissoudre une communauté religieuse anti-sorciers d’Amérique, Gellert force le MACUSA à intervenir. Les aurors débarquent pour arrêter les sorciers impliqués et effacer la mémoire des moldus survivants aux attaques de Gellert et des siens. Gellert utilisera ces arrestations pour faire passer un message selon lequel les gouvernements magiques préfèrent protéger les moldus que les sorciers. Il se fera arrêter après un long combat. Il préviendra cependant Carmen avant de se lancer, lui demandant de prendre soin de Borislav si quelque chose venait à lui arriver.
1936 Blanchi de ses crimes par le MACUSA avec l’aide de Sauveur Lanuit, il est relâché. Apparu comme un martyr par ceux qui le suivent, cette aventure ne fait que renforcer sa réputation à travers le monde sorcier.
1936 Mets fin à sa relation avec Valère, ce dernier s’étant détaché des Fabergé et de l’influence des siens, il n’a plus aucune valeur aux yeux de Gellert. De plus, Grindelwald s’était lassé de l’attention du Fabergé, ce dernier voulant toujours ce que Gellert ne pourrait lui offrir. Des sentiments réels.
Juillet 1936 Borislav termine ses études, reprends le nom de son père malgré les réticences de ce dernier, et s’engage en tant qu’Auror en Angleterre tout en étant entraîné par Stasya pour pouvoir rejoindre le mouvement de Gellert.
1939 Il revient en Angleterre, apportant avec lui une prophétie faîte par un membre de la famille Trelawney, il fera voir au monde sorcier britannique la prévision d’une attaque à la bombe nucléaire, détruisant tout sur son passage. C’est à ce moment-là qu’il crée la LMD, usant de son influence pour prôner une politique anti-moldue et de domination sorcière.
07 septembre 1940 - Début du Blitz. Le Ministère de la Magie est détruit par une bombe en plein milieu des primaires sorcières. Voyant cela comme une opportunité pour faire grandir son parti, Gellert s'installe sur la scène politique de manière plus directe. Gérant la LMD et faisant naître des dissidence en Angleterre.
{ Et le serpent danse alors que l'on s'enferre dans les erreurs d'hier. J'accuse mon père } - 1889/1893
Le vent frappait sur la baraque moldue, les cri de la mère crachant de son antre un gamin maudit. Le mois sombre d'août aux grandes promesses, sous les yeux d’une mère attendrie, d’un père dégoûté. C’était le genre d’histoire qui fait froid dans le dos, qui cause ces frissons et qui fait détourner le regard, quand on passe un chapitre d’un livre de peur qu’on ne puisse plus jamais le sortir de sa tête, gravés dans les mémoires d’une enfance désolée. Il avait tout pour réussir au début, quelques sourires, quelques embrassades paternelles auraient probablement changé le destin, auraient sûrement changé le monde. C’était ces souvenirs d’enfance que d’autres chérissaient et que lui essayait d’enfouir dans des recoins cachés, alors qu’il ne pouvait oublier les cris et l’odeur bien particulière de l’alcool bon marché et de tabac froid. Il ne se rappelait plus exactement quand ça avait commencé, il se rappelle pourtant du regard paternel, le regard froid, le regard tempête, les mêmes yeux bleu qui perçaient le cœur comme des lances dans un champ de bataille. Il se rappelait les réveils en sursaut, sous les cris de la mère qui tentait de protéger son louveteau,
{ Never had a soul so you ain't taking nothing with you when you go } 1899
Les murs de Durmstrang étaient connus pour être sombres et froids, pourtant il se sentait chez lui dans les couloirs glacés éclairés par quelques flammes timides. Il se sentait à l’abri du monde extérieur, particulièrement du monstre qui l’attendait de l’autre côté du rideau, dans cet autre chez lui qu’il ne voulait plus jamais voir. Il était à Durmstrang depuis cinq ans déjà, pas du genre très bavard, le visage fermé et suffisant, il était peu intéressé par ce qui intéressait les autres gamins de son âge, lui était plongé dans des livres bien abstraits, leur vrai titre caché par quelques charmes pour les confondre avec des livres de classes, mais des ouvrages sombres subtilisés sans qu’on s’en aperçoive, il se baignait chaque jours un peu plus dans les expérience douce de cette branche de magie crainte de ses pairs et adorée par lui. Il était destiné à de grandes choses, il le savait alors qu’il gravait doucement du bout de sa baguette en bois de chêne la marque des reliques sur les murs anciens, une marque comme une signature qu’il glissait partout où ses pas l’emmenaient, promesse silencieuse d’un jour les serrer dans sa main, d’en faire des armes puissantes et de plier sous son regard les corps bâtards de ceux que la magie avaient oublié. Des impurs assassins qui grouillaient indifférents, inconscient presque de leur ingratitude que d’être considéré comme égaux aux autres sorciers. C’était bien avant Durmstrang qu’il avait commencé a détester ceux qui l’entouraient alors dans ce village moldu ou sa magie et celle de sa mère étaient tenues secrètes. Eux qui estimaient qu’il n’était rien d’autre qu’un gamin oublié, qu’un gamin vagabond alors qu’il fuyait parfois quelques jours le courroux du démon. Et ces années à Durmstrang n’avaient pas adoucis ses idées, au contraire, déjà le plan prenait forme et les plaisirs de la magie s’offraient à lui d’une facilité déconcertante, au grand damne du corps professoral, inquiets de ses affinités si étrange avec une magie trop dangereuse. Ce jour là, alors qu’il gravait encore ce signe, un autre gamin le bousculait au passage, s’excusant confus de ne pas avoir vu le chétif Grindelwald que la plupart fuyaient plutôt que d’essayer de le comprendre. Il n’avait pas fallu grand-chose, un regard, quelques mots et ce sourire hautain bien particulier, il avait semé les graines de la discorde et l’ombre s’était agrandie frappant de sortilèges oubliés. Ils s’en étaient sortis les gamins attaqués par la bête d’ombre, quelques blessures profondes, mais pas de morts dans les couloirs marqués par l’horreur. Pourtant la sentence était tombée, et baguette à la main, de quoi se vêtir dans un sac balancé nonchalamment sur l’épaule il avait quitté les murs de l’école. Pourtant il n’était pas retourné en Bulgarie, la danse macabre avait commencé et il allait à la recherche des gammes symphoniques permettant de la compléter. Avide de ses recherches et des secrets appris des voyages divers, il voyageait quelques temps, sans savoir où aller dans les contrées où l’hiver noyait les chagrins, pour venir finalement poser ses valises légères à Godric’s Hollow. Sur les pas de ses recherches le menant à la tombe des Peverell, sa grande tante Bathilda lui offrant hospitalité sans vraiment le connaître, gamin cachant son jeu avec ses courbettes et sourires électriques, en quelques mots vendant les étoiles et volant la lune pour la cacher de son ombre. Il avait grandit, juste en quelques mois, se voulait être un homme, quelque chose de ce style en tous cas, et si l’ombre dansait il la gardait cachée, les secrets enfouis bien profondément. C’était un pro dans son art, c’était un érudit dans ses recherches, et c’était ces mêmes recherches, et peut-être quelque part le destin farceur qui l’avait placé sur une tombe ce jour-là, la tombe d’Igniatus Peverell.
{ He was charismatic, magnetic, electric and everybody knew it. He was like this hybrid, this mix of a man who couldn't contain himself } - 1899
Le regard était perdu, perdu dans des pensées trop anciennes, des pensées presque pénibles, il griffonnait le même signe encore et encore dans un vieux carnet, alors que les oiseaux pleuraient le nouveau macchabé rejoignant la collection de la ville de Godrics Hollow, il était assis sur une tombe, rien d’anormal en apparence, outre le fait qu’un jeune homme vienne sur la tombe d’un inconnu, les lettres argentées sur l’asphalt brillaient en reflet dans ses yeux océans, la vieille tourdesac ignorait sûrement où se trouvait son réfugié de neveu, alors qu’il avait fuit ses voyages pour la terre britannique de certains des siens. Ses yeux fixaient les lettres, leur courbure particulière et ce nom qui résonnait, ses doigts fins glissaient sur le signe qui semblait tout dominer, le triangle le cercle et le trait, une promesse lointaine d’un conte oublié de tous, mais pas de lui, comment aurait-il pu oublier ce conte qui l’a fait tenir toutes ses années, quand l’ombre malfaisante rodait, qu’il était caché quelque part dans la maisonnée pour éviter que le poing du père ne rencontre ses joues encore tendres, pour éviter d’ajouter une cicatrice à la collection déjà trop avancé. C’était les trois frères qui étaient toujours là, a ses côtés, les trois frères qui murmuraient à ses oreilles leur tendre mélodie assourdissante. Un besoin, plus qu’un besoin, une obsession grandissante, un besoin de prouver, de prouver quoi ? Tout et rien, de prouver qu’il était là, qu’il existait simplement, et qu’il brûlait de rêves et d’ambitions. Il était perdu dans ses pensées, ses rêves éveillés et chimères aguicheuses. Un chant de sirène qui occultait calmement le monde qui vibrait autour de lui, la vie qui continuait ou plutôt la mort qui frappait de nouveau, il tournait la tête, légèrement sur la gauche, apercevant entre deux arbres une famille près d’un grand caveau. Ils devaient être importants, ils semblaient importants. Lui l’étranger les observait silencieusement, encore nouveau dans ce village, sans en connaître les mœurs et les usages. Il n’avait jamais pleuré un mort lui, il n’en avait jamais eu besoin, les yeux secs et pas torrents, canicule des iris qui n’avaient que rarement connu la pluie. Il observait alors calmement, cherchant à découvrir leur histoire, qui ils étaient, qui était dans cette tombe, et combien de temps allait-il falloir aux fleurs pour crever comme ce qu’il y avait sous terre. Il observait les visages, aujourd’hui inconnus, sans même s’imaginer qu’un jour ils seraient des visages habituels. Il restait pourtant immobile, ses réflexions mises en pause par ce tableau qu’il peignait mentalement, ils semblaient proches, les trois présents, ils semblaient jeunes. Et alors qu’il observait la jeune femme, il voyait l’un des hommes s’approcher de lui. “Ignotus Peverell, un des trois maîtres de la mort. Clairement, il n’a pas fait long feu.” Gellert levait les yeux, plongeant son océan bleuté dans celui qui lui faisait face, c’était presque étrange, comme si les yeux se répondaient l’un à l’autre, comme si les âmes se reconnaissaient en ne s’étant jamais vu. Et en quelques secondes il mémorisa le teint clair de la peau, les cheveux qui encadraient un visage délicatement dessiné, à la mâchoire sortant légèrement, la présence légère d’une barbe qui s’installait. Sans le savoir il n’oublierait jamais ce moment, au dessus d’un cimetière, eux qui un jour régneraient sur une mer de squelettes. Il se contentait alors de racler doucement sa gorge. « Il était probablement trop prudent » Il répondait au sourire, simplement poli, sa voix claquant doucement l’air, envoûtante et électrique de celui qu’on écoutait trop facilement, qui glissait ses doigts autour du coup sans qu’on s’en aperçoive, jusqu’à le serrer si besoin [color=goldenrod)“Albus Dumbledore. Tu n’es pas d’ici, n’est-ce pas ?”[/color] La question arrachait un rire léger, alors qu’il se redressait sur ses deux jambes, se mettant à hauteur du vis à vis et verrouillant leur regard, il saisissait fermement la main de l’autre, un sourire léger sur le visage, cicatrice bien étrange et trop honnête pour ce visage « Gellert Grindewald» Il marquait une pause, encore froid et couvert de carapaces de glace, alors qu’il sentait comme un choc quand la peau sur la peau se reposait, un contact de quelques instants semblant sceller un pacte pour l’éternité, il était intrigué, curieux de l’histoire derrière les yeux qui se montraient forts, mais qui cachaient un océan de tourments. Des yeux comme les siens, deux visages racontant une histoire différente que celle qui se cachait sous leurs épidermes. « Non je suis arrivé il y a peu, je loge chez Mrs Tourdesac » Il souriait de nouveau, Un silence léger s’installait, et pourtant il était presque apaisant, comme si sans vraiment de raison valable, Gellert semblait attiré par cet étranger, deux aimants qui cherchaient à se retrouver. Et c’était étrange comme sensation, pourtant, il savait que s’en priver ferait revenir les démons, ferait revenir les idées noires qui cavalaient éblouis par la lumière de Dumbledore de ses pupilles brillantes et ses iris enchantés. Il se raclait la gorge le Grindelwald « Je ne voudrais pas t’importuner, ta famille t’attends. J’espère te revoir bientôt...Albus. » Un autre sourire s’envolait, libre à qui voulait de le récupérer, un sourire fauché aussi tôt qu’apparu mais qui restait incroyablement sincère, sans le savoir vraiment peut-être. C’était le début d’une longue histoire, d’une tragédie à la Rimbaud Verlaine, dont ils venaient de s’approprier le rôle des antagonistes maudits, courant à leur propre perte sans même le voir.
Les lettres sont tracées avec finesse, bien qu'à quelques endroits des taches plus épaisses laissent imaginer les larmes qui sont venu s'échouer sur le parchemin arraché d'une page des contes de Beedle le Barde.
Albus,
Je ne sais pas par quoi commencer. Te dire que je suis désolé ? Te promettre que tout ira bien ? Tout ça semble bien ridicule à mes yeux. Pourtant mon cœur saigne, être loin de toi, de tes bras, de tes yeux, de ton cœur, m'apporte plus de peine que rien d'autres. Ce duel était une erreur, je me suis laissé emporter, par amour pour toi, par amour pour notre cause. Je n'ai jamais voulu la blesser, ta douce sœur, et je n'ai jamais voulu te blesser toi.
Je ne ferai pas l'affront de te présenter des excuses, elles n'auraient aucun sens aujourd’hui, car rien ne ramènera la belle Ariana. Rien sinon cette pierre que je trouverai pour toi. Que j'amènerai en offrande sur l'autel de notre amour.
Ton cœur est grand Albus, et j'espère que tu trouveras en toi la force de pardonner mon départ. Tu connais mon passé, car pour toi je n'ai jamais eu besoin de secret, de mensonges. Ils n'auraient pas hésité à m'enfermer à Azkaban, c'est pour ça que je suis parti. Je ne comptais pas t'écrire. Mais je ne peux pas m'imaginer que tu ne garde de moi que ce moment de lâcheté.
J'aimerais tellement te dire ce que veux mon cœur, mais je n'ai plus les mots. Alors prends cette promesse comme une prière.
Albus, j'accomplirai notre destiné. Je ferai renaître notre avenir.
Pour toi.
Pour le plus grand bien.
Et peut être après pourront nous nous retrouver.
Toujours tien,
Gellert Grindelwald
Je ne sais pas par quoi commencer. Te dire que je suis désolé ? Te promettre que tout ira bien ? Tout ça semble bien ridicule à mes yeux. Pourtant mon cœur saigne, être loin de toi, de tes bras, de tes yeux, de ton cœur, m'apporte plus de peine que rien d'autres. Ce duel était une erreur, je me suis laissé emporter, par amour pour toi, par amour pour notre cause. Je n'ai jamais voulu la blesser, ta douce sœur, et je n'ai jamais voulu te blesser toi.
Je ne ferai pas l'affront de te présenter des excuses, elles n'auraient aucun sens aujourd’hui, car rien ne ramènera la belle Ariana. Rien sinon cette pierre que je trouverai pour toi. Que j'amènerai en offrande sur l'autel de notre amour.
Ton cœur est grand Albus, et j'espère que tu trouveras en toi la force de pardonner mon départ. Tu connais mon passé, car pour toi je n'ai jamais eu besoin de secret, de mensonges. Ils n'auraient pas hésité à m'enfermer à Azkaban, c'est pour ça que je suis parti. Je ne comptais pas t'écrire. Mais je ne peux pas m'imaginer que tu ne garde de moi que ce moment de lâcheté.
J'aimerais tellement te dire ce que veux mon cœur, mais je n'ai plus les mots. Alors prends cette promesse comme une prière.
Albus, j'accomplirai notre destiné. Je ferai renaître notre avenir.
Pour toi.
Pour le plus grand bien.
Et peut être après pourront nous nous retrouver.
Toujours tien,
Gellert Grindelwald
le signe des reliques est tracé à l'encre sous la lettre
{ It is not flesh and blood, but our hearts that makes us father and son ] - 1920
Un jour comme les autres, dans l’hiver Bulgare qu’il connaissait bien trop. Les yeux posés sur la maison de fortune, à ses côtés plusieurs notables de ce pays qu’il avait concquis comme bien d’autre dans l’Est de l’Europe. Ici si sa réputation avait éclos lors de son renvoi de Durmstrang, il était désormais reconnu, craint autant qu’apprécié. Son nom résonnant à travers les couches de neiges et les vents nordiques. Il était l’homme qu’il fallait apprécier, qu’on écoutait, s’accrochant à ses lèvres sans jamais les lâcher. Il était aussi dangereux, beaucoup le savaient, Nurmengard était emplie des cris des opposants, prison construite, forteresse ancrée dans les montagnes. Et pourtant aujourd’hui il prenait le rôle de bienfaiteur. Sachant bien que sa réputation tenait aussi à la manière dont il était vu par la masse, la foule qui se rassemblait de plus en plus grandes à ses meetings interdits. Alors aujourd’hui se tenait-il au centre d’un orphelinat, les poches pleines de pièces d’or lourdes. Promesse de don qu’il faisait aujourd’hui, bien entendu utilisant les fonds récoltés par ses partisans. On lui présentait les lieux dont il avait commandé la restauration quelques mois plus tôt, travaux terminés dans cet orphelinat magique dans lequel la plupart des jeunes habitants étaient probablement là par sa faute. Mais cela ne touchait pas Grindelwald, après tout aujourd’hui il leur venait en aide, cette génération oubliée. C’était là que son regard avait croisé celui d’un petit garçon, les yeux directements arrivés sur un vieux livre jaunis et corné par le temps que le gamin serrait contre lui. Il en reconnaissait la devanture, pour l’avoir vu tant de fois. Il s’approchait, lui l’homme craint et redouté, vers cet enfant qui n’avait rien de bien particulier aux yeux du commun des mortels. Mais lui y voyait un reflet perturbant, se souvenant serrer ce livre contre lui pendant de trop nombreuses nuits d’hivers. ”Monsieur Grindelwald, je vous prie de l’excuser s’il vous a importuné” La vieille femme s’apprétait à chasser le gamin quand Grindelwald levait la main pour l’interrompre. Il fit signe au gamin d’approchr, le visage bien plus doux qu’à son habitude. Quelques mots envoyés à l’attention du gamin, à peine chuchoté que lui seul puisse les entendre, dans son bulgare natal. Quelques secondes avaient suffi pour que ce petit être se plante un chemin dans le cœur de pierre de Gellert. Se redressant, sa décision était prise. Cet enfant l’accompagnerait. Aux yeux de beaucoup, cela n’était qu’une nouvelle décision politique, bien se faire voir auprès du peuple. Pour Gellert c’était beaucoup plus, alors que ce gamin s’endormait contre lui, en l’écoutant lui parler des trois frères. Qu’il le voyait grandir au fil des jours, des semaines, des mois. Raison de plus à son combat, pour que cet enfant connaisse un monde dans lequel il pourrait vivre à cent pour cent. Sans retenue, sans se cacher. Être maître d’un monde enchaîné. Il l’a élevé, lui a appris à marcher, courrir, voler, parler. Il l’a écouté quand il apprenait à lire avec ce livre dont il ne s’était jamais séparé, même quand les pages commençaient à s’arracher et que Gellert lui avait offert une version originale des contes. C’était le token de son passé, et Gellert ne lui avait jamais caché ses origines, son nom Borislav Sovev, l’orphelinat, et qui il était. Alors que l’enfant grandissait avec un nom tantôt craint, tantôt admiré.
{ Is it really a surprise if i'm playing with your mind } - 1940
Les yeux brûlaient, l’océan d’habitude calme et impassible se faisait tempête. Alors que les doigts venaient froisser le papier, venaient écraser le journal et son entête. Le visage souriant d’un traître, d’une ombre du passé. Il rugissait Gellert, envoyant avec fureur la gazette dans les flammes, regardant en retenant les tremblements incontrôlables le visage d’Albus se calciner, effacer de son visage ce sourire satisfait. Il le regardait brûler comme il voulait tout brûler, que le feu s’étende jusqu’au trou à rat dans lequel se cachait Dumbledore. La blessure était violente, profonde, peut-être plus que jamais. Ne voyait-il pas que tout ce qu’il mettait en place il le faisait pour lui ? Pour ce monde qu’ils avaient rêvés à deux, pour ces rêves qui résonnaient encore si fort dans son crâne. Oh les années étaient passées, les rides s’étaient amoncelées sur le visage des sorciers. Mais plus brillante que jamais était la flamme qui réchauffait le givre de Gellert, l’idée simple qu’un jour Albus le retrouverait, sous les bannières de son parti, de ce nouvel ordre dans lequel ils n’auraient plus à vivre cachés, dans lequel ils seraient maître d’un monde se prosternant à leurs pieds. Et le voilà qui osait tout gâcher, qui osait se placer sur son chemin. La main allait d’elle même au collier toujours autour du cou, en toutes circonstances, les doigts serrés, phalanges blanchies par la pression. La baguette dans l’autre main, et les yeux rivés sur le papier qui semblait vouloir refuser de brûler, comme provoquant le mage noir qui sans rien contrôler pointait le Sureau sur la cheminée, cri de rage mêlé à une magie qui débordait, des flammes comme un dragon qui s’échappaient, qui emplissaient le bureau de leur chaleur dangereuse et leur lueur vive. Qui venaient avaler le journal, qui venait brûler son visage, détruire les traits qu’il avait appris par cœur, qui hantaient ses jours et ses nuits. Et venues de nulle part, des larmes orphelines qui coulaient sous la haine, qui brûlaient en sillons des canyons de colère sur les joues abîmées. Traître, mot qui résonnait en boucle dans la céphalée torturée. L’impression que plus rien n’importait, que le monde tout entier ne valait plus la peine de se maîtriser. Il lui fallu rassembler tout le peu de raison qu’il lui restait pour ne pas partir à l’instant même le trouver, le briser, le détruire. Quitte à en mourir après, quitte à se détruire par la même occasion, la main qui arrachait le collier, l’envoyait s’échouer dans les flammes, que le pacte rejoignent les cendres puisqu’Albus semblait s’obstiner à vouloir tout détruire. La douleur qu’il avait ressenti lors de son départ, au dessus du cadavre d’Ariana, revenait comme si elle n’était jamais vraiment partie, rappelant à la réalité le mage noir, le ramenant à ses années de jeunesse, fragilité visible, honteuse qu’il avait pendant des années réussi à cacher, à couver, dans l’espoir de le retrouver, sans jamais vraiment le dire il n’avait cessé d’espérer, comme un idiot, comme un enfant. Pouvoir recoller les morceaux, pouvoir reprendre ce qu’ils avaient commencé à construire. Et pourtant tant de fois voulait-il oublier, tout détruire à son tour. Mais comme d’habitude il s’élançait, récupérant le bijoux des flammes agressives, ignorant la douleur vive et la peau qui se blessait sous la chaleur et le feu pour le placer de nouveau près du cœur. Assis sur le sol, le dos reposant sur le mur, la colère qui laissait place à la tristesse, la force qui se muait en faiblesse, il n’avait à ce moment là rien du grand mage noir rassemblant les troupes. Seul face à l’obscurité, toujours seul quand bien même était-il bien trop souvent accompagné.
{ Now you're coming at the king, you better not miss } - to be continued
- Possède un collier représentant les reliques de la mort qui ne le quitte jamais. Ce signe est d'ailleurs désormais appelé marque de Grindelwald dans beaucoup de pays de l'Est.
- Possède un collier dans lequel reposé son pacte du sang fait avec Albus. Il ne s'en sépare jamais et estime que c'est sa plus grande possession.
- à réussi à dénicher une version originale des contes de belle le barde qu'il a annoté en fonction de ses recherches.
- propriétaire de la baguette de sureau, peu de personne le savent et il compte bien faire en sorte que ce secret soit conservé.
- dispose d'une fortune assez significative issue de "dons" volontaires ou non de ses partisans. Si une grande partie de l'argent reçu va à sa cause et son parti, il a amassé au fil du temps une somme confortable qui sera transmise à Borislav.
- A en horreur les mondanités et les soirées regroupant la haute société sorcière. Il voit en ces soirées une perte de temps et d'énergie. Mais il n'est en revanche pas rare de le croiser, il sait bien que cela est important pour Ob image en Angleterre.
- Il a toujours sur lui des cigarette qu'il fume régulièrement. Dans son bureau en revanche il a une grande collection de cigare, grand amateurs de tabac de qualité.
- Son alcool préféré est la rakyia, une eau-de-vie à base de poire. Il en importe de Bulgarie.
- A fait construire une forteresse en Bulgarie, le château de Nurmengard, base d'opération lors de son ascension en Europe du Nord, le château dans lequel il a vécu plusieurs années à son fils fait également office de Prison dans laquelle sont enfermés des opposants politiques à sa cause. Le gouvernement Bulgare est évidemment au courant, et considère tout opposant à Grindelwald comme un opposant au régime.
- Il n'est pas rare de le voir griffonner le symbole des reliques de la mort un peu partout lorsqu'il réfléchit ou à l'esprit ailleurs.
- Ne fais pas confiance aux pensines, il refuse de s'en servir quand bien même avec le temps certains souvenirs deviennent moins clairs. Il estime cela trop dangereux d'avoir ses souvenirs dans des flacons.
- Très mauvais potionniste, il a toujours eu du mal avec la précision requise par cet art. Et se lassé bien trop vite pour essayer.
- Maîtrise de la magie noire avancée. Il n'a jamais vu la magie noire comme un danger mais comme une branche de la magie à part entière. Il estime d'ailleurs que tous devraient la connaître et l'apprivoiser. Elle peut être une arme incroyable quand maîtrisée.
- InvitéInvité
Lun 30 Aoû - 10:56 (Δ)
GELLERT
je suis si enchantée de voir mon ami, mon chef arriver
j'ai hâte de me prendre la tête avec toi, de te juger, et de comploter pour conquérir le monde ensemble
tant de choses à rattraper et à faire !
Tellement contente de pouvoir enfin jouer une dynamique pareille, et surtout de recroiser ta plume de dingue avec ce vieux fou
plein de courage à toi et réserve moi deux rps merci.
je suis si enchantée de voir mon ami, mon chef arriver
j'ai hâte de me prendre la tête avec toi, de te juger, et de comploter pour conquérir le monde ensemble
tant de choses à rattraper et à faire !
Tellement contente de pouvoir enfin jouer une dynamique pareille, et surtout de recroiser ta plume de dingue avec ce vieux fou
plein de courage à toi et réserve moi deux rps merci.
- POLYJUICEMetys McGonagall
- Avatar : zendaya coleman
Crédits : avatar ( lumossolemstuff), gif profil (non exeris)
Gallions : 1125
Sang : mêlée, métissage aimé et sans importance.
Statut social : mère d'arden mcgonagall-ollivander (né le 4 novembre 1940), ex-fiancée de gale ollivander (disparu officiellement le 6 décembre 1940), coeur en cours de réparation par louis fawley.
Etudes : poudlard, gryffondor, promotion 1921-1927, capitaine de l'équipe de gryffondor au poste de batteuse de 1925 à 1927.
Opinion Politique : ancienne membre de la WSU depuis avril 1941, officieusement, elle donne toujours ses conseils, créatrice de l'Ordre du Matagot, société terroriste et non officielle travaillant contre Gellert Grindelwald.
Particularité magique : maîtresse de la métamorphose animagus chat tabby depuis ses dix-sept ans, occlumens.
Lun 30 Aoû - 10:57 (Δ)
IL EST LA
Je suis SI CONTENTE que tu reprennes le perso fjkdshfd meilleur Gellert du monde Je t'accueille avec ta meilleure amie t'as vu (spoiler : non) t'es beau comme toujours et j'ai si hâte de lire la suite
Rebienvenue chaton
Je suis SI CONTENTE que tu reprennes le perso fjkdshfd meilleur Gellert du monde Je t'accueille avec ta meilleure amie t'as vu (spoiler : non) t'es beau comme toujours et j'ai si hâte de lire la suite
Rebienvenue chaton
- InvitéInvité
Lun 30 Aoû - 18:07 (Δ)
quel magnifique second compte j'approuve
bon courage pour finir cette fiche héhé
bon courage pour finir cette fiche héhé
- WEEDOSOROSGellert Grindelwald
- Avatar : Michael Fassbender
Crédits : ava: avatarsandcrap gif: crackshipandcrap
Gallions : 1110
Sang : Ichor imparfait, sang-mêlé pour l'enfant du démon
Statut social : Le coeur n'est plus à prendre, un seul être y a marqué son passage. Eternel célibataire qui ne connaît de répit que dans les soupirs partagés
Etudes : Jeune sorcier prodigieux qui a marqué à jamais les murs de Durmstrang
Opinion Politique : Embrassant une idéologie travaillée et sculptée pendant des années, c'est de ses rêves qu'est née la Ligue, Pour le plus grand bien
Particularité magique : Occlumens avancé, Legilimens extrême (illégal)
Aventures :
Lun 30 Aoû - 20:03 (Δ)
@Stasya Apraxina jtm toi, le sang de la veine, la vraie de vrai ! merci huhu hâte d'en découdre en rp !
@Metys Mcgonagall tu rigoles ou quoi ? Tu m'dois un resto déjà
@Sahar Shafiq oooh mais merci beaucoup
@Valère Fabergé ton sugar-baby magueule
@Albus Dumbledore nianiania c'est la ligue des exs en colère vous deux là tsss
@Metys Mcgonagall tu rigoles ou quoi ? Tu m'dois un resto déjà
@Sahar Shafiq oooh mais merci beaucoup
@Valère Fabergé ton sugar-baby magueule
@Albus Dumbledore nianiania c'est la ligue des exs en colère vous deux là tsss
- Willow Jones
- Avatar : Kang Yeosang
Crédits : forevertry79
Gallions : 405
Sang : Sang mêlé, hybride
Statut social : Célibataire
Etudes : Ancien Serdaigle
Opinion Politique : Les paroles d'un certain Gellert Grindelwald charment ses oreilles et son ego (LMD)
Particularité magique : Demi-vélane
Lun 30 Aoû - 22:19 (Δ)
UN GELLERT Ma vie est complète c'est bon (et celle de Willow aussi)
Du coup bah rebienvenue, c'est cool d'être faible et j'ai si hâte de te voir en jeu làààà
Du coup bah rebienvenue, c'est cool d'être faible et j'ai si hâte de te voir en jeu làààà
- WEEDOSOROSGellert Grindelwald
- Avatar : Michael Fassbender
Crédits : ava: avatarsandcrap gif: crackshipandcrap
Gallions : 1110
Sang : Ichor imparfait, sang-mêlé pour l'enfant du démon
Statut social : Le coeur n'est plus à prendre, un seul être y a marqué son passage. Eternel célibataire qui ne connaît de répit que dans les soupirs partagés
Etudes : Jeune sorcier prodigieux qui a marqué à jamais les murs de Durmstrang
Opinion Politique : Embrassant une idéologie travaillée et sculptée pendant des années, c'est de ses rêves qu'est née la Ligue, Pour le plus grand bien
Particularité magique : Occlumens avancé, Legilimens extrême (illégal)
Aventures :
Mar 31 Aoû - 0:26 (Δ)
@Albus Dumbledore tu m'épuise. voilà.
@Adonis Apraxine c'est lui qui a commencé
@Willow Jones on aime la faiblesse d'esprit ici merci à toi, j'aime ce genre d'accueil hehehe
@Adonis Apraxine c'est lui qui a commencé
@Willow Jones on aime la faiblesse d'esprit ici merci à toi, j'aime ce genre d'accueil hehehe
- AMORTENTIARuwa Besada
- Avatar : sherouk farid
Crédits : avatar : dyonissas, gif profil : sandraclyde
Gallions : 15795
Sang : considérée comme sang-pure, mais cela n'a aucune importance pour Ruwa qui se considère comme sorcière avant tout.
Statut social : Le coeur qui bat fort pour le scorpion (isidore) et premiers battements de coeur marins (kamrailid). Célibataire officiellement, enceinte d'un futur petit garçon (fils d'isidore).
Etudes : ugadou, promotion 1915-1920, Poudlard, promotion 1920-1922, serdaigle, club d'échecs sorciers
Opinion Politique : Ruwa n'est dans aucun parti politique. Anti-puriste notoire, elle ne comprend pas cette notion. Anti-secret magique bien qu'elle soit plus flexible sur cette question.
Particularité magique : atteinte de la malédiction du coeur brisé, condamnée à se faire briser le coeur et devenir hideuse - magie sans catalyseur, stade expert.
Aventures :
Mar 31 Aoû - 15:36 (Δ)
bienvenue
protego maxima
there's just no time to die
Que dire ? C'est toujours un plaisir de lire ta plume mais avec Gellert là Tu sais déjà tout ce que je pense de notre Gege national si hâte de rp avec toi encore
Toutes nos félicitations , tu viens de passer les vérifications de tes papiers d'identité et tu es maintenant validé. Maintenant que tu es officiellement des nôtres, avant d'aller commander une bierraubeurre, on t'encourage à aller ouvrir tes sujets d'évolution, de liens et de hiboux pour pouvoir te faire des petits copains ou des grands ennemis. Tu as l'opportunité aussi d'aller réclamer des gallions dans la boutique, participer à l'animation drink me et le rp roulette. Si tu recherches des liens spécifiques, tu peux poster dans le sujet recherches de liens ou tout simplement passer par le discord du forum pour contacter directement les autres joueurs. Enfin, si tu te sens un peu perdu, la partie parrainage pourra t'aider. N'hésite pas à demander à avoir un parrain ou une marraine.
Encore bienvenue parmi nous et on te souhaite un bon jeu, et une longue vie sur Protego Maxima !