- WEEDOSOROSDevi Zabini
- Avatar : Simone Ashley
Crédits : hoodwinkme
Gallions : 575
Sang : Sang-pur
Statut social : Mariée
Etudes : Serpentard Poudlard
Opinion Politique : CMP
Particularité magique : Magie sans catalyseur - Occlumens
Ven 1 Juil - 23:42 (Δ)
mysoginie - mort - choses liées au métier de thanatopracteur - peur - torture
DEVI ZABINI
ft. Simone Ashley
Don't Poison someone who you can kill with sweets
Occlumens Intermédiaire - Occlumens depuis le jour où elle a appris que Vihaan était Legilimens, il était clair pour elle que son frère n'était pas le bienvenu dans sa tête, et au fil des années, il est également devenu clair que son frère n'aurait absolument aucun scrupule à s'y infiltrer. Ce don a également été celui qui lui a permis de survivre à la mort de sa fille, et depuis cet évènement, elle s'est entraînée à maîtriser tous les secrets de l'occlumencie.
Fais de la broderie
Potionniste aguerrie
Danseuse Bollywood
Sa baguette est faite en bois d'if, en son coeur bat un ventricule de dragon, elle mesure 34 centimètres, plutôt fine et souple. En revanche, Devi ne l'utilise qu'en de très rares occasions, préférant sa magie sans catalyseur ainsi que des catalyseurs bijoux qu'elle garde sur ses poignets et ses doigts.
Paon Bleu, il n'est pas rare qu'elle matérialise plusieurs paons au lieu d'un seul, les années à voyager a Azkaban comme entraînement
Le corps de sa fille sans vie dans ses bras et la douleur qu'elle a étouffé
Bien qu'elle ne s'abaisserait jamais à l'avouer, l'odeur émanant de l'amortentia est un doux mélange de cerises, de vin rouge et de l'amande. Odeur qui lui rappelle directement son époux
- WEEDOSOROSDevi Zabini
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Crédits : hoodwinkme
Gallions : 575
Sang : Sang-pur
Statut social : Mariée
Etudes : Serpentard Poudlard
Opinion Politique : CMP
Particularité magique : Magie sans catalyseur - Occlumens
Ven 1 Juil - 23:43 (Δ)
story of my life
once upon a time
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Princesse née, les cris de sa naissance ont résonné plus fort que ceux de tous les autres enfants qui ont vu le jour dans les rangs de la famille Patil. Devi n'a jamais manqué de rien, bien au contraire, quelques clins d'oeils, quelques sourires lui obtenaient tout ce qu'elle désirait, une moue légère et un non se transformait en oui, quelques larmes au coin des yeux et les réprimandes de son père se changeaient en étreinte chaleureuse.
Cette vie fut la sienne pendant des années, et Devi savait en tirer le meilleur, en apparence elle n'était rien de plus qu'une fille de bonne famille, dont les vertus et les mœurs n'étaient pas remises en question. La réalité cependant était tout autre, elle brulait d'un feu particulier, le feu du changement, de l'indépendance, cette odeur ravissante qu'avait le danger. Elle était de celles qui repoussaient les limites imposées, qui se fichait ouvertement des convenances quand personne dans son sillage n'était là pour rapporter ses actes à son père. Et elle faisait en sorte que ce soit toujours le cas, gardant toujours un pouvoir sur ceux qu'elle fréquentait, des secrets lâchés sans prendre garde qu'elle gardait sous clé dans son esprit. Calculatrice au possible, elle compte sur les doigts d'une main ceux qu'elle n'avait jamais cherché à blesser, détruire ou humilier. Et ceux-là, ceux-là avaient trouvé en Devi une alliée de taille, loyale et forte, n'hésitant pas à tout faire pour aider ceux qui comptaient vraiment.
Mais cette vie lui fut arrachée, de la pire manière que ce soit, dans ce bal où elle s'était éclipsée, persuadée d'être discrète, persuadée d'avoir échappé à la vigilance de son frère aîné nouvellement patriarche. " Je te pensais plus gentleman Dameon " s'échappait en murmure de ses lèvres quand l'homme qui lui faisait face l'attirait contre lui. C'était un jeu depuis des années entre eux, la séduction, le charme avant de tout arrêter et de s'éloigner de nouveau pour mieux se retrouver la fois prochaine. Cette fois deux mois s'étaient écoulés depuis leurs dernières retrouvailles, marquée par le feu de la passion d'un amour interdit. Elle souriait légèrement quand leurs lèvres se croisaient, elle y goûtait la saveur particulière du Zabini, celle qu'elle n'avouerait jamais aimer plus que d'autres, bien trop attachée à son indépendance pour admettre qu'un homme puisse avoir sur elle l'effet que lui avait. Ellee lui rendait son baiser, sa main glissant sur sa chemise pour en défaire les premiers boutons dans cette danse où ils étaient tous deux experts. Elle était emportée par la luxure, par l'ivresse du moment, et n'entendit pas la porte du vieux bureau s'ouvrir, mais elle entendait clairement la voix de Vihaan qui entrait dans la salle. " Devi ? " Elle se retournait, la fautive prise en flagrant délit, s'écartant brusquement de Dameon, son regard croisait celui de son frère. " Bhaiyya...ce n'est pa..." Elle n'eut pas le temps de reprendre que son frère levait la main pour la faire taire. " Tu es allée trop loin Devi. Mr Zabini, je ne vous laisserait pas déshonorer ma soeur ainsi. Considérez-vous fiancés. " Et le coeur de Devi se changeait en glace. " Non...Non tu n'as pas le droit Bhaiyya " Elle commençait à user des stratagèmes de son enfance, alors que des larmes perlaient au coin de ses yeux, mais elle comprit en voyant le regard que Vihaan lui lançait que cette fois cela ne changerait rien. " Je ne l'épouserait jamais. " Et sans même un regard pour celui qu'elle désirait quelques minutes plus tôt, elle sortait en trombe de la pièce, ajustant son sari et repoussant Vihaan de sa magie sans catalyseur.
Long live the newly weds
Ruwa fut la première a apprendre ce qui était arrivée, parcequ'à Ruwa, Devi racontait tout, parce que Ruwa ne jugeait pas, elle comprenait, elle vivait elle aussi cette vie libre dont Devi avait toujours rêvé, créant ses propres attaches sans jamais se les voir forcées. Ruwa était une comète et Devi profitait de sa chaleur, Devi profitait de sa folie et selon leurs humeurs, Devi et Ruwa devenaient un duo que tous pourraient craindre. " Je refuse de l'épouser, je ne l'aime pas, je ne l'aimerais jamais. Vihaan ne peut m'y obliger. " Ruwa venait poser une main sur celle de Devi "Vous vous êtes simplement embrassés Devi, il ne peut pas forcer quoi que ce soit, et tu es chez toi ici tant que tu le souhaites. " Même ces quelques mots ne purent arracher de sourire à Devi, non Devi brûlait d'un feu qu'elle ne savait pas éteindre, et Vihaan se tenait au centre des flammes, Dameon aussi, ces deux hommes responsables de son état, pourquoi devait-elle tout perdre, s'abandonner à un ordre alors qu'eux ne risquaient rien si les choses étaient inversées. Elle attrapait sa tasse de thé et la portait à ses lèvres avant qu'une vieille main ne vienne la retenir. Ses yeyux glissaient vers Salma, la mère de Ruwa " Non non fille d'Inde, pas de Ginseng pendant la grossesse " Et si le sourire de Salma était doux et chalereux, sa phrase elle fit bondir Devi qui lachait la tasse qui s'écrasait sur le sol. " Comment ? Non je ne suis pas enceinte. Je le saurais. " Elle tournait les yeux vers Ruwa qui se contentait de la regarder. " A quand remontent tes dernières règles Devi ? " Et les choses s'enclenchaient finalement dans son esprit. Deux mois. Deux mois sans règles. Deux mois depuis lui. Le visage de Dameon revenait dans son esprit. " Oh non...non ça ne peut pas arriver..." Vihaan ne pouvait pas gagner, pas comme ça, elle ne pouvait pas finir enfermée, trophée d'un homme, amputée de son nom et de sa propre identité. " Ca ne t'oblige à rien Devi. Tu n'as pas besoin de lui pour ça, et il y a d'autres solutions. " Devi levait la tête vers Ruwa mais son visage n'avait plus rien de calme, la colère et les larmes naissantes. " Non tais toi Ruwa...Es-tu sûre ? Es-tu sûre qu'elle a raison ? " Ruwa glissait les yeux vers sa mère. "Il y a un moyen d'en être sûre, suis moi " La main de Ruwa se glissait doucement dans la sienne, et Devi acceptait de la suivre à travers le manoir des Besada, le majordome apparaissait, mais Ruwa lui fit signe de se tenir à l'écart, il était bien trop familier pour un majordome selon Devi, mais son esprit était bien trop occupé pour s'en soucier; La bibliothèque se dessinait, et Ruwa fit entrer Devi, elle reconnu le sphinx des Besada et eut un mouvement de recul, Ruwa prenait la parole. " Dédale, présente lui une énigme je te pries. " Le sphinx s'approchait et Devi tournait les yeux vers Ruwa, un air interrogateur dans le regard. "Je ne peux pas ma Reine. Elle porte un enfant " Et sur ces simples mots, ces simple mots lachés avec tant de désinvolture, le sphinx se retournait, ces simples mots qui fixaient l'avenir ded Devi, une main glissant sur son ventre. Elle le détestait. Elle détestait cet enfant, et ce qu'il représentait. Les larme s'arrêtaient, le visage se figeaient dans une expression qui n'augurait rien de bon. " Je dois aller voir Dameon"
Even the gods feared that day
"A tout à l’heure, Mrs Zabini." Sa voix était insupportable, sa présence, son visage, tout lui donner envie de hurler, et c'est ce qu'elle fit, alors que le flacon de parfum qu'elle tenait dans sa main s'écrasait contre la porte. " Miss Patel pendant encore quelques minutes sale enfoiré " Oh elle ne contrôlait pas ses mots, la violence qui émanait d'elle était inhabituelle même pour la Princesse à qui l'on ne disait jamais non, la jeune femme qui aimait plus que tout, le contrôle. Et elle se voyait privé de tout contrôle. Dans quelques minutes elle deviendrait Mrs Zabini. Elle serait son épouse, piégée à jamais. Sa main glissait sur son ventre, elle serrait la mâchoire. Tout ça à cause de cet enfant. Comment pourrait-elle l'aimer, comment pourrait-elle supporter de n'être rien d'autre qu'une mère. Elle s'asseyait devant la coiffeuse, observant sa tenue, ses bijoux et son maquillage. Tout ce qu'elle aurait put vouloir un jour. Quand elle s'imaginait marié à un riche et puissant héritier. Ridicule, des souhaits ridicules d'une gamine idiote. Rien n'était mieux que l'indépendance, rien n'était mieux que de vivre sa propre. vie. Une transaction entre familles. Le regard de Devi se couvrait de noir, son visage se fermait à toute expression et les larmes menaçantes disparurent. " Oh Didi, tu es magnifique " Son regard se tournait vers la jeune fille qui s'approchait. "Moins que toi Behen" Elle glissait sa main sur la joue de sa sœur. "Daadi (grand-mère) arrive pour le henné. Elle m'a dit de te prévenir." Devi soupirait un peu, sa petite soeur observait la porte et le flacon brisé au sol, s'approchant pour le réparer en sortant sa baguette. "Un jour moi aussi je me marierai à quelqu'un d'aussi beau et gentil que Dameon Didi. " Devi lâchait un souffle profond. Elle ne voulait pas que sa soeur ai peur du mariage à cause d'elle, elle ne voulait pas que sa soeur cesse de croire en l'amour le vrai, parce que Ezhil méritait d'y croire, de garder cette innocence ridicule. " Tu n'as pas à te marier à un homme pour être heureuse Ezhil...mais je te souhaites d'épouser un homme bon...et riche. " Elle souriait et Ezhil la repoussait gentiment. La porte s'ouvrait à nouveau. " Oh tu as mis beaucoup trop de parfum beeti " Devi haussait un sourcil. " Peut-être que mon époux tournera de l'oeil comme ça " Elle tournait la tête pour s'observer dans un miroir, tendant les mains à droite et à gauche, sa soeur et sa grand-mère prenant un bras chacune pour commencer à dessiner le henné sur sa peau. "Ton frère te protéges Beeti. Toi et ton enfant. Tu as fais un choix et tu dois en assumer les conséquences." Elle soupirait. " J'aurais put me trouver un époux. Choisir ma propre vie Dadii" Sa grand-mère lui attrapait le menton entre deux doigts. " Et tu peux encore le faire Devi, tu peux encore choisir ta propre vie. Tu es belle, forte, indépendante. Dameon est un homme bon et je sais qu'au fond tu le sais, ou si tu ne le sais pas encore tu apprendras. Il est rare de se marier par amour ma fille. L'amour vient avec le temps, ou il ne vient pas du tout, et on apprends à aimer autre chose. " Et la main de sa grand-mère glissait sur son ventre pas encore arrondi. " Et si vous chantiez pour moi. Cela fait longtemps " Devi glissait son regard vers sa sœur. Pour elle. Pour eux. Mais pas pour Vihaan, peu importe ce qu'elle disait, Vihaan n'était plus qu'un ennemi aux yeux de sa sœur. Elle l'aimait probablement, mais elle se ferait un plaisir de lui faire regretter cette décision jusqu'à la fin de ses misérables jours. Elle observait son reflet, cet air grave marqué sur son visage alors que sa sœur entonnait quelques notes qu'elle finissait par rejoindre.
My son is a blessing in everyway
La douleur, la douleur était insupportable, elle avait l'impression que son corps tout entier menaçait d'exploser, elle ne retenait pas ses cris, ni les tremblements de son corps. Elle serrait les draps de toutes ses forces "Respire Beeti" Comme si c'était aussi facile, elle avait envie de dire à sa grand-mère d'arrêter de parler mais seules des plaintes s'échappaient de ses lèvres. "Pousse ma fille pousse" Et elle poussait, elle poussait de toute ses forces pour expulser cet enfant, s'en libérer, le détacher d'elle. Cet enfant responsable de tout ça, de cette prison, de cette vie dont elle ne voulait pas, du moins elle se le répétait comme un gospel. Et les cris retentissaient, elle ne levait pas les yeux alors que son corps se relâchait. Elle ne retenait pas les larmes qui cette fois s'échappaient. Elle l'entendait parler Dameon et il s'approchait, posant l'enfant sur elle sans lui demander son avis, elle voulait le repousser, mais elle voyait son fils pour la première fois, ses yeux glissant sur cet enfant. C'était ridicule, idiot, et jamais personne n'avait su, su qu'à ce moment là elle avait aimé, elle avait aimé du premier regard, elle avait aimé sans retenue. Son regard avait croisé celui de Dameon, elle n'avait rien dit, elle gardait son fils contre lui. "Salim Zabini" Elle souriait une demi-seconde avant de reprendre un air glacial. " Salim Raja Zabini" Corrigeait-elle sans vraiment lui laisser le choix.
Grief is the price we pay for love
Elle ne quittait pas la chambre de sa fille, elle ne quittait pas son chevet. Son cœur saignait en silence, et Devi n'avait pas mangé depuis quelques jours. Et pourtant elle avait laissé les docteurs l'emmener, pour la sauver, pour qu'ils lui ramènent sa fille, parce qu'il n'y avait pas d'autres solutions, pas d'autres possibilités. Ils allaient la soigner, ils allaient la ramener. Elle attendait, et Dameon était là également. " Tu n'as pas mieux à faire que d'être ici ?" Oui c'était froid, oui c'était violent, mais il lui fallait un échappatoire, il lui fallait quelqu'un sur qui lâcher ses nerfs en fusion. Il ne répondait pas, il ne répondait jamais, peu importe ce qu'elle disait. Elle soupirait tournant la tête pour ne pas le voir. Claquant nerveusement ses ongles sur les bras de sa chaise. " Pourquoi prennent-ils autant de temps ? " Elle se levait, croisant les bras en le regardant, le ragrd lançant des flammes elle voulait lui dire qu'il ne servait à rien, qu'il ne bougeait pas et elle allait le faire quand le médicomage entrait. Elle sentit son cœur s'emballer et un sourire naître sur ses lèvres quand elle espérait voir sa fille suivre l'homme. Mais elle ne vint pas. Les mots du médicomage, elle ne s'en souvenait plus, elle ne se souvenait de rien aujourd'hui. Que de la douleur, de cette impression qu'on lui arrachait le cœur, qu'on le serrait jusqu'à l'écraser jusqu'à ce qu'il n'en reste rien. Elle était tombé en hurlant, tombée dans ses bras à lui, lui qui hurlait aussi lui qui gueulait sa colère quand elle s'étouffait avec sa peine, avec cette douleur qu'elle ne voulait plus jamais connaître.
Les jours passaient, les nuits à se reveiller en sursaut, le réveillant lui aussi, et il la prenait dans ses bras, et il la gardait contre lui quand elle pleurait la mort de sa fille. Et le matin au réveil, elle l'ignorait, elle disparaissait, elle ne vivait plus Devi, elle survivait à peine, ne parlait pas tant sa colère, sa peine étaient profonde. Et c'était au bout de trois mois qu'elle se rendit compte qu'elle ne parviendrait jamais à en sortir, qu'elle n'irait jamais mieux.
Silencieusement elle s'était installé dans les sous-sols du manoir des Zabini. La pièce était sombre, l'humidité prenait au nez, mais Devi s'en foutait, elle était là pour une raison, une seule. Elle fermait les yeux, se glissant dans son propre esprit, les murs de son occlumencie bien placés elle traversait le labyrinthe de ses émotions, de ses souvenirs. Et sans hésiter, elle glissait tout ce qui concernait Isebel dans un coin, et elle y construisait des murs plus solides qu'aucun autre, ignorant la douleur de l'exercice, la fatigue physique. Elle ne savait pas combien de temps ça allait durer, combien de temps ça tiendrait. Mais elle finissait par ouvrir les yeux, et elle se sentait soudain légère, et son esprit avait enfermé toute la peine, toute la douleur. Elle s'était levée, transplanant jusqu'au Queen's Ann, lachant ses cheveux en avançant vers Ruwa " Et bien tu ne m'offres pas un verre princesse ? " Un sourire traversait son visage, un sourire froid, un sourire distant, un sourire glacial et qui ne présageait rien de bon. Mais elle avait survécu.
Elle maintint la prison d'émotion jusqu'à l'annonce de sa troisième grossesse, cette annonce, la présence d'un nouvel enfant fit exploser les murs qu'elle avait bâti. C'est grâce à Ruwa qu'elle a réussi à ne pas s'éffondrer à ce moment-là. Ruwa qui a utilisé la pensine des Besada pour extraire les souvenirs, du moins ceux qui étaient trop lourds à porter. Devi se souvient toujours de sa fille, mais pas de la douleur de sa mort.
I understand personnal vengeance.
"Je rétablis l’ordre des choses." Et cette seule phrasse suffisait à faire courir des frissons dans le dos de Devi, cette phrase, pas les hurlements de cette catin, de la coupable, de celle qui avait contaminé sa fille. Devi observait, sans baisser les yeux la transformation arriver. Et elle observait son mari se transformer à son tour. Elle restait immobile en le regardant disparaître. Elle observait les restes du rituel. Il avait fait ça, sachant les risques, sachant les dangers. Alors Devi fit ce qu'elle n'aurait jamais pensé faire. Elle avançait vers la fiole brisé et les instruments. Sa main balayait l'air et les restes disparaissaient. Elle fit venir à elle des bâtons d'encens qu'elle allumait d'un claquement de doigt, murmurant en hindi quelques formules de purifications que sa grand-mère lui avait transmis, qu'elle aurait dut transmettre à sa fille, les laissant s'envoler autour d'elle et dans toute la pièce. Pour purifier l'endroit, parce que ces malédictions sont vicieuses, et qu'elle ne laisserait jamais l'une d'entre elle causer quoi que ce soit à sa famille, à son époux. Et que jamais, une cellule à Azkaban ne porterait son nom. Elle fit ensuite venir à elle un papier et une plume, la plume écrivait sur le parchemins quelques mots. Elle se levait ensuite, attendant, elle s'asseyait au piano, jouant doucement sur les touches, une mélodie qu'elle voulait forte, puissante, pour couvrir ce qui revenait, Ruwa avait fait un travail incroyable sur ses souvenirs, mais ils étaient toujours là, elle savait au fond qu'elle les avait simplement cachés mais qu'ils faisaient partie d'elle, cette douleur, la présence de sa fille comme un membre fantôme. La musique s'intensifiait, comme chaque émotion revenait. Elle méritait son destin cette catin, cette moins que rien. Elle méritait pire encore que ce que son mari lui avait fait subir. Elle entend un grondement sourd. Le reconnaissant entre mille. " Personne ne sait qu'elle était là ? " Elle regarde le Guépard s'approcher, glissant une main sur le haut du crâne de l'animal. Elle se levait quittant le tabouret du piano. Ses doigts claquaient, faisant venir le parchemin. Elle le regardait. " je t'amènerais le docteur. " Sa voix était froide. Mais claire. Ensemble ils vengeraient leur enfant, ensemble ils guériraient cette douleur, ensemble ils iraient mieux. Enfin, ils seraient plus forts.
I'm my brother's sister
La soirée s'annonçait chargée, par miracle, Devi avait réussi à convaincre Salim d'abandonner sa peluche déchirée et grignotée de toute part. Le petit était habillé et elle était enfin prête à partir. Se demandant qui de Vihaan ou Ezhil serait maintenant le plus long à se préparer. Elle venait prendre son Jazeel dans ses bras, posant sur son front un baiser avant de sourire au bambin. Dameon ne tardait pas à apparaître et De I lui lançait un regard mécontent. " Tu aurais put prendre encore plus de temps je t'en priés." Encore une fois il ne réagissait pas, ce qui avait le don d'enerver plus encore Devi qui se demandait alors si Arcturus Black serait là ce soir. Rien de mieux pour s'amuser un peu. Son époux s'approchait alors malgré tout. Posant un baiser sur ses lèvres. Elle le laissait faire, en réalité pour une fraction de seconde elle accentuant le baiser. Mais un cri strident la fit sursauter, il venait de l'étage, et les instincts de Devi partaient au quart de tour. Son neveu également et elle tendait Jazeel à Dameon avant de se précipiter vers les escaliers, son mari et les enfants derrière elle. Elle entendait Ezhil descendre et une part d'elle fut rassurée. Juste pour quelques secondes. Elle ouvrait la porte de la chambre de Vihaan d'un geste de la main. Et ce qu'elle voyait lui glaçait le sang. Elle n'eut pas le temps de réagir que Prem se frappait un chemin, gardant un poing serré sur le bas de sa robe. Le cri de Vihaan lui arrachait le coeur. Son regard vers Dameon. Ce cri elle l'avait poussé quelques années plus tôt. Un regard suffisait au Zabini pour récupérer le fils de Vihaan dans ses bras libre. Ezhil elle attrapait Salim pour le faire descendre. Et Devi restait seule, observant Vihaan. Elle s'approchait doucement, là où il avait l'habitude maintenant de voir de l'animosité, il y avait maintenant de la peine, de la tristesse, et une pointe d'amour qui malgré tout subsistait. Il était accroché à son épouse, et comment pouvait-elle lui en vouloir. Il l'aimait son épouse il avait eu ce mariage qu'elle n'avait pas eu, et si elle avait été bien longtemps jalouse, maintenant elle ne l'était plus que pour la forme en réalité. Parceque admettre qu'elle ne l'était plus, c'était admettre qu'elle serait probablement dans le même état si quelque chose arrivait à Dameon. Alors elle s'approchait, glissant une main sur l'épaule de Vihaan, elle s'agenouillait à ses côtés. " Viens Bayyha..." pour le première fois depuis des années elle l'appelait ainsi, ce mot qui avait dû sens pour eux, pour leur famille. Elle le prenait contre lui, le laissant aller à ses sanglots. Ses yeux glissaient sur le visage de l'épouse, marqué par l'horreur, la douleur, l'effroi et la magie noire. L'équipe d'urgence mandaté par Dameon ne tardait pas à arriver. Et si Devi savait que leur intervention était inutile, au moins parvenaient-ils à séparer Vihaan du corps. Elle le soutenait, lui se lâchait dans ses bras, et pour une fois aucune remarque acerbe, aucune violence n'emanait d'elle, elle se contentait de le garder contre lui. Elle écoutait les suppliques, et elle restait silencieuse. Elle savait qu'il n'y avait rien à dire. Ils connaissaient la mort, savaient tous deux que les mots ne changaient rien.
Les jours suivant furent complexes, Vihaan n'était pas en état de faire quoi que ce soit, et Devi prit sur elle de faire tourner l'entreprise familiale. Sans se plaindre, bien au contraire, elle se découvrait un talent naturel pour les affaires et pour la gestion de Patil's&Sons. Les mois passaient, elle s'occupait de l'entreprise, elle s'occupait souvent de Prem et de la maison de Vihaan avec l'aide de Ezhil. Les deux sœurs savaient parfaitement que Vihaan se relèverait, mais pas encore. Et ni l'une ni l'autre n'avait à cœur de brusquer les choses. Il méritait qu'on lui laisse faire son deuil à sa façon. Et puis un jour il était revenu. Devi était assise au bureau qu'il occupait jusque là. Elle levait les yeux de ses dossiers pour le regarder entrer. Prem dans ses bras, il était rasé, et glissait sur elle un regard léger. Elle lui adressait un regard tendre en retour. Pour quelques secondes. " Comment vas-tu Bayyha ?" Il semblait touchait par ce surnom qu'elle avait continué à utiliser depuis ce jour. "Mieux..." Elle hochait la tête. Se levant en ecrasant sa cigarette dans un cendrier en cristal. Elle s'approchait de lui. Glissant une main sur son visage. " T'en as mis du temps Vihaan. " Et le regard de Devi reprenait sa froideur habituelle. Elle s'éloignait de lui. Oui Vihaan, cela ne changeait rien, ces quelques mois ne changeaient rien. La trêve était passée. Devi restait la même qu'avant, elle ne s'était jamais vengé de sa trahison. Jamais assez. Elle retournait alors s'asseoir sur le bureau de son frère qui avait été le sien depuis quelques mois. " J'ai à faire à Azkaban. Je suppose que tu peux te débrouiller avec Prem ce soir. " Elle relachait ses cheveux, les laissant tomber sur son dos, d'un geste de la main elle lâchait un peu les fils de sa robe, dévoilant ses omoplates alors que la robe sérieuse se transformait en dos nu au décollé plongeant. Elle s'approchait de lui. " Souris Vihaan. Tu ressembles à rien quand tu fais la gueule. Oh... une dernière chose, je veux plus de responsabilités ici, et je garde le bureau. " Et sur ses mots elle glissait un baiser sur le front de son neveu. Et un regard glacé sur son frère. Bienvenue à la maison Vihaan, maintenant tout pouvait simplement redevenir comme avant
|center]So you wanna star a war, in the age of icons [/center]
Elle connaissait les couloir d'Azkaban, son mariage avec Dameon avait offert aux Patil l'exclusivité quand il s'agissait d'offrir une sépulture aux condamnés. Elle s'y sentait étrangement à sa place. Et ce soir autour d'elle pesait une atmosphère particulière. Devi était vêtue d'une robe légère, épousant parfaitement les contours de sa peau, on entendait alors qu'elle avançait, tinter les bracelets en or qui ornaient ses bras. Elle était là pour une raison particulière, voilà des années qu'ele prévenait Dameon, des années qu'elle murmurait à son oreille, lui faisait voir le rêve qu'elle tenait au creux de son corps, faire de lui l'héritier qu'elle était destinée à épouser. Du moins, c'était la raison qu'elle se répétait, bien que la réalité soit différente. Depuis leur mariage, bien trop rares étaient les fois où elle avait vu Dameon en colère, mais cette dispute avec son père avait réveillé en elle un instinct particulier. Si le vieux Zabini refusait de voir la véritable valeur de son mari, sa véritable valeur à elle, elle ne lui lasserait pas le choix. Elle était comme ça Devi, elle n'hésitait jamais à se glisser dans les extrêmes dangereux. Les murs d'Azkaban étaient froids. Devi se glissait jusqu'à l'arène des exécutions, elle l'y trouvait, comme prévu, un parchemin entre les doigts. "Je vois que tu as reçu mon message. " Il se retournait en entendant sa voix, et Devi ne ratait pas la manière dont il l'observait, son regard glissant directement sur ses formes et son décolleté, les hommes étaient tous les mêmes, fragiles face aux charmes d'une femme. Elle souriait un peu, s'avançant, féline et provoquante. " Devi, je pensais que je retrouvais mon frère ce soir. " Il tendait le parchemin, elle n'avait pas besoin de le lire, forger l'écriture et la signature de Dameon était devenu une habitude pour l'épouse. " Je suis désolée de te décevoir Cain..." Sourire léger sur les lèvres, elle s'approchait encore, et encore, jusqu'à n'être qu'à quelques centimètres de lui. Sa main glissant sur son bras. " Devi...mon frère..." Elle glissait un doigt sur ses lèvres, tentatrices réclamant son dû "Ton frère ne me satisfait pas Cain, il n'a même pas tenu tête à votre père et me condamne à une vie sans magie...toi...toi tu as tant à offrir. " Elle souriait doucement, s'approchant un peu, jusqu'à ce que leurs lèvres s'effleurent. "Impero" Le sortilège fit son effet avant même que Cain ne puisse réagir, et déjà Devi s'éloignait, cet imbécile avait vraiment cru qu'elle était intéressée par lui...ridicule. " Brise ta baguette. " Il obéissait. Elle le fixait quelques secondes. " Pour ce que ça vaut...sache que je te méprise au plus haut point Cain..." Et elle tournait le dos, s'éloignant un peu, le froid mordant sa peau. Elle sentait son esprit se vider, elle devait les appeler, les faire venir pour réclamer leur pitance, et si le désespoir et la douleur réveillent les détraqueurs, alors elle n'avait qu'un nom à prononcer. "Isebel..." La douleur vint, elle était moins forte, ou peut-être que les stratagèmes pour la dépasser avaient fini par faire leur effet. Mais repenser au visage de sa fille lui brisait chaque fois un peu plus le cœur. Et le froid s'intensifiait, son impero toujours actif, elle se retournait, observant les détraqueurs fondre sur Cain, aspirer son âme sans retenue aucune, sans qu'ils ne rencontrent aucune résistance. Ce ne fut que quand l'un d'eux s'approchait d'elle qu'elle serrai les poings, relâchant l'impero alors que Cain tombait au sol. Le détraqueur s'approchait de plus en plus, et le temps d'une seconde, elle hésitai à le laisser faire, mais les visages de Salim et Jazeel revenaient à son esprit, le visage de Dameon aussi. Et la sorcière levait la main, trois paons argentés s'échappaient de ses doigts, leur aura vibrante fit reculer les détraqueurs sans aucun difficulté. Elle s'approchait alors de Cain qui tremblait de froid, qui ne pouvait articuler un mot. " Chut...tout va bien. " Sa main glissait sur les yeux de l'homme. " Oubliettes " Et elle fit également brûler le parchemin qu'il avait entre ses doigts jusqu'à présent. Le visage de Devi ne quittait pas celui de Cain, elle soupirait légèrement, la soirée n'était pas terminée. Elle levait les mains vers le ciel. Des feux d'artifices rouges éclatant pour attirer l'attention. Quand les employés arrivaient, baguette à la main, ils retrouvaient Devi accroché au corps de Cain, hurlant une peine qui n'était pas la sienne, les larmes coulant, factices mais l'artifice était parfait.
Pretty little liar
Devi était assise, sa baguette posée sur la table alors que l'officier la glissait dans un étui marqué de runes. Son regard était encore couvert de larmes, ses lèvres tremblaient légèrement. Rien de tout ça n'était vrai, mais elle savait tenir son rôle, elle savait ce qu'on voyait en la regardant, une femme, une faible femme détruite par la mort affreuse de son beau-frère. Une femme et rien d'autres. Et ce jeu elle y était devenue maîtresse. " Rappelez moi ce qui est arrivé Mrs Zabini. ". La jeune femme levait les yeux vers l'officier. " Je...c'est si difficile..." Sa voix se brisait légèrement et l'auror lui tendait un verre d'eau ainsi qu'un mouchoir, elle en buvait une légère gorgée avant de se redresser légèrement. " Il y a eu une exécution à 19h45, je devais retrouver Cain pour récupérer le corps...Lorsque je suis arrivé, les détraqueurs étaient au...ils étaient en train de..." Elle éclatait de nouveau en sanglots. "C'était affreux..." L'auror soufflait un peu, en réalité ce n'était pas la première fois que ce genre d'incidents arrivaient à Azkaban, nul ne pouvait vraiment contrôler les détraqueurs, peu importe ce que la famille Zabini semblait croire. La porte du bureau s'ouvrait sur le visage d'un jeune Arcturus Black " Mrs Zabini, tout va bien ? " Et Devi se levait sans gêneaucune, fondant dans les bras d'Arcturus saglots forts entrecoupés d'un murmure " Sors moi d'ici et je te le revaudrais Black " Leurs regards se croisaient. Quelques minutes plus tard, Dameon arrivait, ils resteraient silencieux jusqu'à rejoindre l'intimité de leur manoir.
I thought i didn't love you, i didn't realised hate and love have the same roots
Elle tremblait sous ses caresses, légèrement, de manière presque imperceptible, elle imaginait goûter sa peau, mais dans leur combat incessant, il ne pouvait y avoir de perdants. Devi refusait en tous cas d'être celle qui perdrait la première. Mais les mots qui se liaient aux gestes étaient forts. Fatiguée ? Oui, elle l'était peut-être un peu, mais pouvaient-ils vraiment en être autrement, c'était ainsi qu'ils fonctionnaient, qu'ils allaient toujours fonctionner, se battre contre la nature des choses était bien plus épuisant que de suivre le cour du fleuve. Elle se tendait doucement contre lui, laissant les mains de Dameon tourner son visage, ses yeux se glissaient dans les siens "Pourquoi as-tu fait ça ?"" Elle avait un sourire léger sur son visage. Laissant ses yeux se perdre dans ceux de son époux. Elle se redressait un peu, se foutant d'envoyer de l'eau par dessus la baignoire pour se glisser contre lui, assise sur ses jambe, son corps émergeant trempé " Parce que " Elle s'approche de son visage, de ses lèvres, quelques centimètres les séparent, leurs souffles se mélangent. "Je t'aime Dameon" Et c'était à peine murmuré que ses lèvres emprisonnaient les siennes. C'était dit, et pour une fois, elle le pensait, à sa manière, elle l'aimait Dameon, elle l'aimait sauvagement, elle l'aimait assez pour le détester plus encore, et surtout, surtout elle l'aimait assez pour détruire quiconque osait s'approcher, quiconque osait se mettre sur son chemin. Elle régnerait sur cette maison, sur ce nom, elle régnerait à ses côtés. Et si le frère aîné était tombé, Devi savait, dans quelques temps, que ce soient des mois, des années, le roi chuterait et Dameon récupérerait ce qui leur revenait de droit. Ce qui lui avait été promis à elle, cette vie de Reine. Elle tisserait sa toile jusqu'à étouffer son père, et dans son baiser un sourire traversait son visage. Ils étaient dangereux, et le monde ne le savait pas, ils étaient signe de violence et de chaos cachés derrière des sourires enjoués. Ensemble. Mais elle restait Devi, elle restait insupportable, têtue et provocatrice, et quand elle caressait le corps de Dameon, elle finissait par se lever, quittant la baignoire en se séchant d'un geste de la man, s'éloignant sans dire un mot avant de se retourner. " Et bien ? Tu vas me laisser attendre toute la nuit ou dois-je aller voir ailleurs pour jouir ?" Sourire provocateur, elle disparaissait, à lui de la rattraper, ou de l'ignorer, de danser cette danse qui en réalité plaisait à Devi bien plus qu'une de ces histoires d'amour sans piment.
- FELIX FELICISDameon Zabini
- Avatar : Charles Michael Davis
Gallions : 810
Sang : pur
Statut social : Marié à Devi Zabini. Père de trois enfants, Salim, Jazeel et Isebel (décédée en 1933 de la dragoncelle). Heterosexuel.
Etudes : Il a fait ses études à Poudlard (Serpentard) de 1917 à 1921, a terminé ses études à Uagadou (1921 - 1924). Membre du club d'échec et du chœur des grenouilles.
Opinion Politique : Par défaut, CMP, sans être un fervent du parti.
Particularité magique : magie sans catalyseur (avancée) | animagus (optimale | guépard géant d'Eurasie, enregistré au ministère)
Aventures :
Dim 3 Juil - 17:09 (Δ)
Je te déteste, avec beaucoup d'amour.
Rebienvenue
Rebienvenue
- InvitéInvité
Mar 5 Juil - 9:06 (Δ)
She's badass and I like it
Re(x je sais plus combien) bienvenue chez toi
Re(x je sais plus combien) bienvenue chez toi
- FELIX FELICISVihaan Patil
- Avatar : riz ahmed
Crédits : andthesunrisesagain
Gallions : 2050
Sang : sang-pur même si les patil ne figurent pas sur les registres et que ce fait en étonne souvent plus d'un.
Statut social : veuf de Bérénilde Rowle depuis trois ans, père d'un petit garçon de 11 ans, Prem Patil. Sentiments développés pour Sierra Fawley.
Etudes : poudlard, serdaigle, préfèt et club de duel.
Opinion Politique : nouveau leader de la CMP en campagne ministérielle.
Particularité magique : legilimens stade avancé, occlumens stade intermédiaire.
Mar 5 Juil - 10:07 (Δ)
bienvenue
protego maxima
there's just no time to die
Ma dramaqueen de sister Elle est géniale, badass, un peu effrayante aussi mais tellement à l'image des Patil et Zabini J'ai hâte que Vihaan transpire avec elle
Toutes nos félicitations , tu viens de passer les vérifications de tes papiers d'identité et tu es maintenant validé. Maintenant que tu es officiellement des nôtres, avant d'aller commander une bierraubeurre, on t'encourage à aller ouvrir tes sujets d'évolution, de liens et de hiboux pour pouvoir te faire des petits copains ou des grands ennemis. Tu as l'opportunité aussi d'aller réclamer des gallions dans la boutique, participer à l'animation drink me et le rp roulette. Si tu recherches des liens spécifiques, tu peux poster dans le sujet recherches de liens ou tout simplement passer par le discord du forum pour contacter directement les autres joueurs. Enfin, si tu te sens un peu perdu, la partie parrainage pourra t'aider. N'hésite pas à demander à avoir un parrain ou une marraine.
Encore bienvenue parmi nous et on te souhaite un bon jeu, et une longue vie sur Protego Maxima !