- FELIX FELICISDameon Zabini
- Avatar : Charles Michael Davis
Gallions : 810
Sang : pur
Statut social : Marié à Devi Zabini. Père de trois enfants, Salim, Jazeel et Isebel (décédée en 1933 de la dragoncelle). Heterosexuel.
Etudes : Il a fait ses études à Poudlard (Serpentard) de 1917 à 1921, a terminé ses études à Uagadou (1921 - 1924). Membre du club d'échec et du chœur des grenouilles.
Opinion Politique : Par défaut, CMP, sans être un fervent du parti.
Particularité magique : magie sans catalyseur (avancée) | animagus (optimale | guépard géant d'Eurasie, enregistré au ministère)
Aventures :
Dim 3 Juil - 16:25 (Δ)
tw : Mariage forcé, torture, magie noire, capture.
Dameon Zabini
ft. Charles Michael Davis
La gloire est le résultat de l'adaptation d'un esprit avec la sottise nationale.
Sa baguette mesure 28cm, en bois de noyer, son cœur est une griffe d'hippogriffe.
Son patronus est à l'image de son animagus, un guépard.
Un détraqueur au dessus du corps d'un membre de sa famille.
Si vous deviez tomber sous le charme de Dameon, alors l'odeur que vous sentirez serait celui des cerises, du vin rouge et de l'amande.
Aujourd'hui, les parfums que Dameon peut reconnaître lorsque c'est lui qui fait face à une fiole d'amortentia sont : une odeur d'encens, de miel et de cendre qui n'est pas sans lui rappeler sa femme.
Aujourd'hui, les parfums que Dameon peut reconnaître lorsque c'est lui qui fait face à une fiole d'amortentia sont : une odeur d'encens, de miel et de cendre qui n'est pas sans lui rappeler sa femme.
- FELIX FELICISDameon Zabini
- Avatar : Charles Michael Davis
Gallions : 810
Sang : pur
Statut social : Marié à Devi Zabini. Père de trois enfants, Salim, Jazeel et Isebel (décédée en 1933 de la dragoncelle). Heterosexuel.
Etudes : Il a fait ses études à Poudlard (Serpentard) de 1917 à 1921, a terminé ses études à Uagadou (1921 - 1924). Membre du club d'échec et du chœur des grenouilles.
Opinion Politique : Par défaut, CMP, sans être un fervent du parti.
Particularité magique : magie sans catalyseur (avancée) | animagus (optimale | guépard géant d'Eurasie, enregistré au ministère)
Aventures :
Dim 3 Juil - 16:26 (Δ)
story of my life
once upon a time
Petite citation
Et les défis, il aime les relever.
S’il avait su, le jour où il avait décidé de s’amuser un peu avec Devi Patil, qu’il en arriverait à ce jour, à lui devant une glace, en costume. Il n’aurait probablement jamais posé les mains sur elle. À ses yeux, Devi était une distraction fort appréciable, mais de là à en faire son épouse. Quittant la pièce, il traversa différent couloir pour rejoindre celle où attendait sa future femme, elle s’était tellement opposée à ce mariage qu’il tenait à s’assurer qu’elle ne fuierait pas au dernier moment. Elle pourrait bien en être capable. Elle serait capable de tout si c’était pour l’humilier lui, il en était sûr.
"Qu’est-ce que tu fais ici ? Tu sais très bien que ça porte malheur !" S’énerve-t-elle déjà en le voyant et lui, il ne peut pas s’empêcher de sourire. Elle est à couper le souffle, ça, il veut bien le reconnaître bien qu’il se garde de le lui dire en réalité.
"Je crois qu’il est trop tard pour s’en soucier non ?" Après tout, ils étaient tous les deux ici parce qu’ils y étaient forcés, on ne pouvait pas vraiment dire que ce mariage leur portait chance de base. Et pour le spécialiste en maléfice et sort qu’il était, cela le faisait toujours sourire ce genre de superstition. Le malheur n’existait pas dans son monde, pas sans une source, pas sans un coupable.
"Tu n’as pas répondu à ma question."
"Je venais vérifier que tu étais toujours là." Répondit-il avec le même ton calme malgré la franchise de ses paroles.
"Tu me prends pour qui ?"
"Pour quelqu’un qui n’a pas envie de ce mariage."
"Et donc tu commences à croire que je pourrais en avoir envie parce que je suis toujours là ?" Elle s’approche, féline, elle lui rappelle parfois sa forme animagus lorsqu’elle se déplace ainsi, elle est terriblement sexy.
"Est-ce le cas ?" Demande-t-il, sans y croire, par simple plaisir du jeu et de la provocation.
"Ne te méprends pas sur moi, Dameon, la seule raison de ma présence ici est le bébé que j’attends." Elle marque une pause, elle est à quelques centimètres de lui, la tête levée vers lui et leurs regards se verrouillent l’un dans l’autre. "Et toi ? Est-ce parce qu’une petite partie de toi aurait envie de ce mariage que tu viens vérifier si ta future femme n’a pas pris ses jambes à son cou ?"
Il sourit à cette question, sa langue humectant ses lèvres alors qu’il quitte un instant ses yeux pour sa bouche.
"Le mariage est une suite logique, une transaction entre famille. Que cela soit toi n’est qu’un concours de circonstance Devi. Toi, ou une autre, ça ne change rien."
Et la gifle qu’il se prend à cet instant est foudroyante. La tête tournée sur le côté, sa joue lui brûle. Il sent son regard sur lui, et il sait qu’elle attend une réaction de sa part, mais tout ce qu’il fera, c’est à nouveau lui sourire. "A tout à l’heure, Mrs Zabini." Quittant les lieux. Il entendra quelque chose se briser contre un mur au moment où il ferme la porte derrière lui.
Elle avait beau lui avoir ordonné de quitter la chambre, par fierté plus qu’autre chose, il était resté à ses côtés jusqu’à la naissance de son premier fils. Il n’avait jamais su expliquer pourquoi mais être présent avait été bien plus important pour lui que n’importe quoi d’autre. Premier à tenir l’enfant, il l’avait glissé dans les bras de sa mère le temps de pouvoir couper le cordon ombilical qui les reliait encore. Sa femme, aussi emmerdeuse qu’elle pouvait être, venait de faire la chose la plus incroyable de sa vie. Et si ce mariage n’était qu’une mascarade, cet enfant lui, n’avait pas besoin d’en souffrir.
Elle avait beau lui avoir ordonné de quitter la chambre, par fierté plus qu’autre chose, il était resté à ses côtés jusqu’à la naissance de son premier fils. Il n’avait jamais su expliquer pourquoi mais être présent avait été bien plus important pour lui que n’importe quoi d’autre. Premier à tenir l’enfant, il l’avait glissé dans les bras de sa mère le temps de pouvoir couper le cordon ombilical qui les reliait encore. Sa femme, aussi emmerdeuse qu’elle pouvait être, venait de faire la chose la plus incroyable de sa vie. Et si ce mariage n’était qu’une mascarade, cet enfant lui, n’avait pas besoin d’en souffrir.
Cette histoire là, elle se répétera pour leur seconde enfant, il sera là, le premier à prendre Isebel dans ses bras, à la placer dans ceux de la mère et à couper le cordon. Un fils, une fille, il ne pouvait être plus comblé et au final, l’amour d’un couple était une chose bien secondaire. Du moins, c’est ce qu’il croyait, jusqu’à ce terrible printemps de 1933. Du haut de ses trois ans, Isebel tombe malade. La dragoncelle. Cette période sera la première où ses émotions et son contrôle parfait de celle-ci sera mise à rude épreuve.
Il se souvient encore de la première fois où il est sorti de ses gonds, hurlant contre l’infirmière de faire quelque chose pour sa petite fille qui souffrait terriblement. Il se souvient d’elle qui lui explique que le médicomage en charge est occupé sur une autre urgence, qu’il arrive, il se souvient encore d’avoir fait basculer violemment du matériel médical contre un mur. Il ne voulait pas attendre, sa fille ne pouvait pas attendre. Jamais, avant cet événement, Dameon s’était montré violent d’une quelconque façon.
Incapable d’oublier l’expression du médicomage qui leur annoncera la terrible nouvelle. Encore aujourd’hui, il peut entendre les cris et les pleurs de sa femme. Le poids de son corps contre le sien alors qu’il tente de la maintenir debout. Et la rage.
La rage et la colère qui gronde contre tous ceux qui lui ont fait ça.
Qui ont fait ça à sa femme.
Prenant conscience de l’importance de Devi dans sa vie. De son importance dans son cœur. Lui, il le sait, il peut gérer la douleur mais la voir sur le visage de son épouse sans rien pouvoir faire lui est insupportable et il lui sera impossible de la quitter à ce moment-là. Ebranlé jusqu’au plus profond de son être, il fera tout ce qui est en son pouvoir pour soulager la souffrance de sa femme.
"S’il vous plaît M. Zabini, libérez moi."
Là, dans le manoir familial, profitant de l’absence de son frère et ses parents, il avait fait venir l’une de leur ancienne servante. Celle-là même qui avait contaminé leur fille en préférant venir travailler malgré le tout début des symptômes de la maladie. Elle…Elle avait survécu. Une chance que sa fille n’avait pas eu.
"Ouvrez la bouche." Sa voix est froide, posée, alors qu’il s’approche d’elle. Elle est attachée, dépossédée de sa magie, son visage noyer de larme et ses yeux exprimant une peur terrible.
"Je vous en prie. Pardonnez-moi, je ne savais pas que j’étais malade, je ne savais pas qu’elle…"
"Ouvrez la bouche, s’il vous plaît." Ignorant ses supplications, il ne faisait que la fixer. "Je ne tiens à vous forcer, mais si je dois le faire, je le ferai et ça risque d’être très désagréable pour nous deux." là aussi, il est calme, il lui sourit et ça semble presque bienveillant.
Elle ouvrit la bouche et il glissa dans sa bouche une poignée de feuilles de mandragore.
"Avalez les." et elle obéissait. Il recula, sortant de sa poche une montre à gousset qu’il fixait. La jeune femme reprenant ses supplications qu’il ignorait toujours autant, les yeux rivés sur la montre…12 minutes, il revenait près de sa victime, une bassine entre les mains. 13 minutes, ses doigts se mouvèrent, la jeune femme se retrouva à vomir le contenu de son estomac. Il récupéra les feuilles mêlées de bile et de salive, y ajouta le fruit du muflier des champs avant de placer le tout dans une fiole en cristal. Remontant à l’étage, il exposa la fiole à l’extérieur. Observant la nuit sombre de cette nouvelle. Vendredi 13 Avril 1934, et il en était certain, le hasard n’existait pas.
D’ici, on ne pouvait plus entendre les hurlements de la servante. Les yeux encore posés sur sa montre à gousset, il laissa filer treize nouvelles minutes avant de rentrer. Tombant nez à nez avec son épouse.
"Dameon, que fais-tu ? C’est ton anniversaire et c’est à peine si tu as fait attention à."
Elle fut coupée, pas par de nouvelle parole mais parce que Dameon ne prit pas le temps de s’arrêter ou de lui répondre. Il savait que cela l'agaçait mais il n’avait pas le choix, le rituel était précis. Elle le suivait, Il la laissait faire, ignorant ses questions, ses remontrances, elle allait comprendre, elle comprendrait forcément.
"Mrs Zabini ! S’il vous plaît ! Aidez-moi !"
Mais elle n’eut pas le temps de dire ou de faire quoi que ce soit de plus que Dameon était déjà à ses côtés, l’obligeant cette fois, sans aucune délicatesse, à avaler le contenu de la fiole. Il n’avait pas le temps de la convaincre de lui obéir. Plus maintenant.
Elle essaya de vomir mais il maintenait sa bouche bien fermée et il compta, à haute voix, les secondes qui s’écoulait. Un. Deux. Trois. Quatre. Cinq. Six. Sept. Huit. Neuf.
"Spiritus Veneficus Corpus Captivus" le dernier mot, prononcer à la 13eme secondes.
Il balança la fiole de cristal à ses pieds, l’écrasant sous son talent avant de reculer. La jeune servant pleurait à chaude larme avant d’étrangement se calmer. Pensant, à tort ou à raison, qu’elle n’avait pas avaler de poison. Elle leva les yeux vers le couple Zabini, les interrogeant du regard avant de se remettre à pleurer.
"Je vous en supplie, je suis désolé…"
"Dameon, qu’est-ce qui se passe ?"
"Je rétablis l’ordre des choses." expliqua-t-il à son épouse, un sourire naissant sur ses lèvres.
Sa femme voulu ajouté autres mais les hurlements de la jeune femme à attachées la prit par surprise. Avec ses cris et ses pleurs on pouvait entendre les os se briser, le corps changer sous leurs yeux. En quelques secondes, la sorcière n’était plus, laissant place à une créature. Un raton laveur tout ce qu’il y avait de plus banal. "Intéressant." commenta-t-il alors qu’il leva une main en direction de la porte menant aux étages. Fixant l’animal. "Cours." conseilla-t-il au raton quelques secondes avant de prendre sa forme animale.
L’eau chaude enveloppait son corps, la tête inclinée en arrière, sur le rebord de la baignoire se trouvait un verre de vin, l’eau de son bain était légèrement rosée et une très discrète odeur de cerise semblait venir de la mousse. Respirant doucement, il semblait presque endormi jusqu’à ce qu’il redresse la tête pour se tourner vers l’entrée en reconnaissant le bruit des pas de Devi. Elle se tenait là, à quelques mètres de lui, enveloppée dans de la soie qu’elle laissa glisser le long de son corps avant de le rejoindre dans l’eau, se glissant entre ses genoux. Son dos contre son torse, elle s’appuyait doucement contre lui et il vint naturellement entourer son buste d’un bras.
"Tu es en colère ?" demanda-t-elle, baissant légèrement la tête pour pouvoir sentir l’odeur de miel qui persistait toujours dans les cheveux de son épouse, il souriait discrètement à sa question.
"Non." Malgré ce qu’elle avait fait, il n’était pas en colère contre elle. "Je sais pourquoi tu l’as fait."
"Parce que tu n’en aurais jamais été capable." et au son de sa voix, au léger tressaillement de ses mains contre son bras, il savait qu’elle mentait. Des années à se provoquer, à se chercher, à se blesser mutuellement pour le plaisir, il savait reconnaître certains signes avec le temps.
"N’es-tu pas fatiguée ?"
"De toi ?"
"De ce jeu." Il laissa son nez effleuré la courbe de son cou, remontant jusqu’à son oreille. "De te mentir à toi-même."
Le silence est la seule réponse qu’il obtenait, sa main libre se glissant sous l’eau pour caresser le velouté de sa cuisse nue.
"J’ai arrêté de me mentir il y a des années, Devi." Ses mots ne sont que murmures aux creux de son oreille. "Je t’aime et ce soir, je sais que toi, tu m’aimes."
Le bout de ses doigts se glissant à l’intérieur de sa cuisse, remontant lentement le long de celle-ci.
"Dis-moi la vérité. " Ses caresses se stoppant lorsque sa main quitta l’intimité de l’eau chaude pour rejoindre le visage de son épouse et l’obliger à le tourner pour pouvoir plonger ses yeux dans les siens. "Pourquoi as-tu fait ça ?"
Il n’y a plus de provocation dans sa voix. Il n’y a qu’une simple question, qu’un regard prisonnier de l’autre, que deux souffles qui se mélangent. Il est suspendu à ses lèvres, se noyant dans ses yeux jusqu’à ce qu’elle murmure à peine audible ce terrible secret avant de sceller ses lèvres dans un tendre baiser.
- WEEDOSOROSDevi Zabini
- Avatar : Simone Ashley
Crédits : hoodwinkme
Gallions : 575
Sang : Sang-pur
Statut social : Mariée
Etudes : Serpentard Poudlard
Opinion Politique : CMP
Particularité magique : Magie sans catalyseur - Occlumens
Dim 3 Juil - 18:27 (Δ)
Il est beau mon mari
hâte de saler sur lui hihi
hâte de saler sur lui hihi
- InvitéInvité
Lun 4 Juil - 11:49 (Δ)
Ce personnage est tellement intrigant, j'ai très très très hâte de voir ce que ça va donner en jeu
- Adrei Zamfir
- Avatar : Ben Dahlhaus
Gallions : 469
Sang : mêlé
Statut social : Je suis marié sur le papier.
Etudes : Durmstrang
Opinion Politique : CMP
Particularité magique : Je suis un loup-garou qui a été touché par la malédiction, un soir alors que j’étais en mission pour la Mandragore. J’ai fait cas de rien face à mes employeurs, mais ce soudain changement a comme cassé quelque chose en moi. Je suis plus fréquemment à fleur de peau. j’y pense tout le temps… « Et si j’avais plongé dans la Seine à temps. » « Si le loup n’avait pas eu le temps de me mordre… » « Et si »… Pour ce qui est des transformations… J'en ai subit qu’une seule pour l’instant. Si un mot pouvait la décrire, ce serait « douloureuse »… C’est comme si chacun de mes os se brisait, les uns après les autres… Et cette température qui monte… J’ignore ce que ça fait de mourir, mais au moment où je le souhaite… Tout s’arrête… C’est le trou noir… Je me rappelle le réveil… Mes poignets en sang tant la bête s’était déchaînée… Ce qui s’était passé quand Elle avait le contrôle... Je l’ignore.
Lun 4 Juil - 12:03 (Δ)
Rolala ce perso
J'aime tellement ce que tu as écrit
J'ai déjà hâte de rp avec lui
J'aime tellement ce que tu as écrit
J'ai déjà hâte de rp avec lui
- FELIX FELICISVihaan Patil
- Avatar : riz ahmed
Crédits : andthesunrisesagain
Gallions : 2050
Sang : sang-pur même si les patil ne figurent pas sur les registres et que ce fait en étonne souvent plus d'un.
Statut social : veuf de Bérénilde Rowle depuis trois ans, père d'un petit garçon de 11 ans, Prem Patil. Sentiments développés pour Sierra Fawley.
Etudes : poudlard, serdaigle, préfèt et club de duel.
Opinion Politique : nouveau leader de la CMP en campagne ministérielle.
Particularité magique : legilimens stade avancé, occlumens stade intermédiaire.
Lun 4 Juil - 13:05 (Δ)
bienvenue
protego maxima
there's just no time to die
Qu'il est mystérieux, qu'il est diablement beau Comme toujours, c'est un plaisir de te lire et ça a été un plaisir de découvrir Dameon j'ai hâte de ces réunions de famille
Toutes nos félicitations , tu viens de passer les vérifications de tes papiers d'identité et tu es maintenant validé. Maintenant que tu es officiellement des nôtres, avant d'aller commander une bierraubeurre, on t'encourage à aller ouvrir tes sujets d'évolution, de liens et de hiboux pour pouvoir te faire des petits copains ou des grands ennemis. Tu as l'opportunité aussi d'aller réclamer des gallions dans la boutique, participer à l'animation drink me et le rp roulette. Si tu recherches des liens spécifiques, tu peux poster dans le sujet recherches de liens ou tout simplement passer par le discord du forum pour contacter directement les autres joueurs. Enfin, si tu te sens un peu perdu, la partie parrainage pourra t'aider. N'hésite pas à demander à avoir un parrain ou une marraine.
Encore bienvenue parmi nous et on te souhaite un bon jeu, et une longue vie sur Protego Maxima !