- Jay Barjow
- Avatar : Joey Batey
Gallions : 255
Sang : mêlé
Particularité magique : Je suis fourchelangue.
Jeu 12 Oct - 9:30 (Δ)
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Jay Barjow
ft. JOEY BATEY
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Brûlure que j'ai agrémenté d'un tatouage représentant un serpent s'enroulant autour de cette cicatrice.
Je sais également très bien chanter et jouer de la guitare à mes heures perdues (il n'est pas rare de me voir pousser la chansonnette, tard dans les pubs).
Il s'agit d'une amulette très ancienne représentant un serpent qui se mord la queue :
Un serpent.
Un grand bateau (J'ignore les raisons à cela, mais il s'agit du navire qui nous a ramené mon père et moi en Angleterre).
L'odeur de Sa peau, le sapin qui se consume et la rose.
- Jay Barjow
- Avatar : Joey Batey
Gallions : 255
Sang : mêlé
Particularité magique : Je suis fourchelangue.
Jeu 12 Oct - 9:30 (Δ)
story of my life
once upon a time
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En effet, alors que je jouais insouciamment dans le salon avec cette famuese montre en argent -que j'avais semble t-il, dérobé dans le dos de mon père-, je fus soudainement saisi par le reflet rouge des rubis qui matérialisaient les yeux d'un serpent en argent soigneusement travaillé sur le dessus du cadran. C'était il y a si longtemps et je me rappelle pourtant avoir passé mon index que j’avais si fin à l’époque, d’avoir caressé le metal, d’avoir murmuré quelques mots... Quelques sifflements involontaires. Je me rappelle avoir vu le serpent s’animer, tourner autour du cadran avant de se dresser en dehors. L'animal en argent s'était levé face à moi. J'étais trop jeune, je n’avais pas conscience du danger. Je n'avais pas vu le regard rouge se mettre à scintiller, lumineux, aveuglant.
Je me souviens des bruits de pas de mon père.
De sa main qui frappe la mienne pour projeter la montre loin de nous…
Du contact du faisceau rougeoyant des yeux du serpent contre mon épaule… De la brûlure vive qui s'ensuivit…
“...I'll never smile again
Until I smile at you
I'll never laugh again
What good would it do?...”
Depuis le coup d’envoi du match de Quidditch, il y avait de cela une bonne heure maintenant, je chantonnais sans même m’en rendre compte, cet air de l’artiste moldu Tommy Dorsey.
Les visiteurs menaient de 6 points. Les cris des spectateurs masquaient les coups de tonnerre qui déchiraient le ciel et faisaient vibrer le sol.
Bien au sec sous mon parapluie invisible, je guettai, la tête levée, le moindre accrochage de balai, la moindre chute, le moindre percutage avec un cognard…
Le quidditch. J’aimais bien ce sport de contact (car ô ça oui, il y en avait!). Et puis, ça changeait un peu des habituelles urgences que je pouvais étudier derrière mon calepin à l’hôpital Sainte Mangouste. En effet, ma présence sur le terrain était purement professionnelle en ce jour pluvieux. En tant qu’apprenti médicomage je me devais d’être toujours disponible et mon instructeur ne se cachait pas pour me le rappeler par des raclements de gorge sonor lorsque mon attention dérivait davantage sur le match que sur les échanges périlleux entre les joueurs casse-cou.
“For tears would fill my eyes
My heart would realize
That our romance is through”
BAM
Le bruit fracassant mit fin à ma rêverie.
Un batteur sans doute trop motivé, venait de donner un grand coup de batte en pleine tête de son adversaire qui n’avait rien vu venir. Ce dernier s’avachit sur son balai, à moitié sonné. Il tournoya tout en perdant dangereusement de l’altitude.
Son corps inanimé glissa finalement du balai. La victime était encore à une vingtaine de mètres du sol.
Je me relevai précipitamment en tendant ma baguette vers le joueur inconscient tout en formulant un sort afin de ralentir sa chute.
“Joli, gamin”
Résonna la voix de mon instructeur qui se précipita vers le lieu où tomberait le corps du joueur, moi à ses talons.
Nous le réceptionnâmes en douceur et le fîmes s’allonger à même l’herbe détrempée. Le sang qui s’échappait de sa plaie ouverte au front, coulait abondamment jusqu’à se diluer dans la flaque causée par la pluie battante.
Il fallait l’évacuer !
Sans avoir besoin de nous concerter mon formateur et moi, nous fîmes voler le corps inanimé jusque dans la zone dédiée aux urgences, derrière l’épaisse bâche des tribunes, loin de la presse et de sa plume trop avide d’écrire le moindre article juteux.
Les fioles se mirent à danser, les bandelettes se déroulèrent dans les airs, un doux parfum de plantes se répandit dans l’infirmerie. Le temps s’écoula sans que nous ne nous en rendîmes compte. Le choc qu’avait reçu le malheureux avait été d’une violence certaine. Le batteur qui en était responsable y était clairement allé avec toute sa force (et quelle force !)
“Bon boulot, Jay… Tu peux sortir prendre une pause. Je vais le surveiller.”
“Merci…”
Répondis-je tout en essuyant mon front marqué par la précipitation des derniers événements.
Je souris poliment à mon instructeur avant de me retirer à l’extérieur du stade.
Cigarette entre les lèvres, je me remémorai l’accident et tous les gestes que j’avais prodigués. J’étais d’ordinaire bien trop humble pour reconnaître mon talent mais là, tout s’était passé si spontanément, si intuitivement… J’avais reçu des félicitations, chose qui était rare de la part de l’homme qui suivait mon évolution dans la médicomagie !
Plongé dans cette fierté, je repris la chansonnade là où je m’en étais arrêté.
“I'll never love again
I'm so in love with you
I'll never thrill again
To somebody new”
“Within my heart
I know I will never start”
La voix qui engloutit la mienne, était plus grave, plus puissante.
Je fis instinctivement volte-face en sa direction afin de découvrir l’identité du sorcier à qui appartenait une telle voix.
L’homme me dépassait d’une demie-tête. Il était à trois mètres de moi, vêtu tout de noir. Il devait avoir soixante printemps.
“Dorsey, hein… Excellent artiste. Je ne savais pas que les Barjow connaissaient la bonne musique.”
J’entrouvris les lèvres, prêt à intervenir, mais l’inconnu me priva de la parole :
“De ce que j’ai vu, tu es doué dans ton domaine… Et oui je sais qui tu es.”
Enchaîna t-il en donnant un bref coup de tête qui indiquait l’infirmerie que je venais de quitter.
“Qui êtes-vous au juste?”
“Un homme qui en sait plus que toi sur ta famille.”
- AMORTENTIASiarl Gaunt
- Avatar : Michael Cimino
Crédits : Bloomie
Gallions : 485
Sang : rouge. Une autre question?
Statut social : Don't care
Etudes : Poudlard (1934-1940)
Ven 26 Jan - 20:51 (Δ)
Je profite de ton signalement de fiche pour finir de tout lire huhu
Hâte de fréquenter Jay Jay
Hâte de fréquenter Jay Jay
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Juliet
Romeo
Nuna
- Jay Barjow
- Avatar : Joey Batey
Gallions : 255
Sang : mêlé
Particularité magique : Je suis fourchelangue.
Lun 29 Jan - 0:26 (Δ)
J’arrive, j’arrive
- Yvan Barjow
- Avatar : Christian Bale
Crédits : je-tu-il
Gallions : 361
Sang : Sang-Mêlé qui se complait
Statut social : Célibataire, il a été marié sept fois, chaque mariage a été dissout par Yvan, accusant ses épouses d'être stériles
Etudes : Serpentard
Opinion Politique : La CMP lui convient parfaitement, dans l'ombre d'un système qui fonctionne
Particularité magique : Occlumens et Legilimens
Mar 30 Jan - 13:01 (Δ)
bienvenue
protego maxima
there's just no time to die
Mon fils ma bataille, je t'ai déjà dit de pas parler aux inconnus wsh, je le sens pas ce mec
Toutes nos félicitations , tu viens de passer les vérifications de tes papiers d'identité et tu es maintenant validé. Maintenant que tu es officiellement des nôtres, avant d'aller commander une bierraubeurre, on t'encourage à aller ouvrir tes sujets d'évolution, de liens et de hiboux pour pouvoir te faire des petits copains ou des grands ennemis. Tu as l'opportunité aussi d'aller réclamer des gallions dans la boutique, participer à l'animation drink me et le rp roulette. Si tu recherches des liens spécifiques, tu peux poster dans le sujet recherches de liens ou tout simplement passer par le discord du forum pour contacter directement les autres joueurs. Enfin, si tu te sens un peu perdu, la partie parrainage pourra t'aider. N'hésite pas à demander à avoir un parrain ou une marraine.
Encore bienvenue parmi nous et on te souhaite un bon jeu, et une longue vie sur Protego Maxima !