- WEEDOSOROSIsteni Báthory
- Avatar : taylor lashae
Crédits : prettygirl
Gallions : 380
Sang : sorcier, avant, elle n'en sait rien. aujourd'hui il est simplement maudit
Statut social : mariée, techniquement. en pratique célibataire, volage, son cœur donné à ses muses et son corps à ses envies passagères
Etudes : excepté deux ans à koldovstoretz à son compteur, isteni n'a fait aucune études. c'est son père qui lui a tout apprit
Opinion Politique : peu lui importe, leur politique ne l'intéresse pas. pourtant c'est bien sa soif de sang et de chasse qu'ils attisent à force d'exploitation et de travaux forcés
Particularité magique : vampire, le sang chante pour elle et les ténèbres se plient à ses désirs. elle a un niveau avancé.
Aventures : dagmar | jeremiah
Mer 7 Sep - 23:02 (Δ)
sang, mort, viol (mentionné), violence conjugale (mentionnée)
Isteni Báthory
ft. taylor lashae
the relief of giving in to destruction
Malgré tout son regard ennuyé s'accroche à des moments volés et tombe amoureux de la mortalité d'un instant fugace. Isteni aime des bouts de personnes, jamais un tout. Elle n'aime jamais le tout. Le tout est quelque chose d'horrible. L'humanité est ignoble en un tout et peut se révéler extraordinaire quand on la prend par petits bouts. (Quel abject paradoxe.)
Misanthrope jusqu'au bout de ses redoutables ongles, on surprendra rarement un sourire sincère sur le visage froid d'Isteni, uniquement en présence de sa famille, à l'intention de sa famille, elle la méprise cette humanité à laquelle elle est tellement attachée. Elle la méprise autant qu'elle l'admire, tombe amoureuse de ses morceaux et hait hait hait les humains, la foule, la nécessité de vivre parmi ces moutons. Elle méprise et aime et hait et a longtemps vécu en ermite, conduite par sa soif de sang avec un manque de pitié cruel, s'amusant à chasser et user de ses pouvoirs pour terrifier.
Elle est une survivante, un prédateur, Isteni, la divine cruauté, la destruction venu du prédateur. Œil pour œil. Elle n'a aucune patience pour ces proies qui se croient dieux, les méprise plus encore qu'ils ne la méprisent elle. Elle est le monstre qu'ils craignent et ne s'en cache pas, déchirant sa façade humaine sans hésitation. Dent pour dent. Il n'y a rien qu'elle ne ferait pour survivre, elle ne fait pas dans la fausse pitié.
Aujourd'hui les Báthory lui réapprennent à vivre en communauté, lui ont réenseigner la civilisation, la retenue et la prudence des proies. Ils lui réapprennent la crainte et la solidarité, à cette sauvage survivante. C'est un lent apprentissage, qui a porté ses fruits. Elle est à la tête des marchands, impitoyable dans les affaires, chassant le prix le plus haut, là où elle chassait auparavant la cœur battant et le sang chaud.
Une évolution doucement détruite par le gouvernement sorcier anglais, morceau par morceau, leur formation écaille son vernis de retenue. Les sorciers agitent l'eau qui dort.
Bois de prunellier, bois des guerriers et des arts occultes. Un crin de Kelpie, créature sauvage, métamorphe et cruelle. Souple, qui s'adapte bien. 32 centimètres, au caractère fort, un peu têtue, surtout depuis sa transformation. Une baguette de bonne qualité, de bonne puissance, une baguette de moins en moins utilisé dans le contexte actuel.
Elle n'a jamais eu le niveau pour jeter ce sort, encore moins maintenant qu'on la force à se détacher du peu d'humanité qui lui reste.
Son enfant, son bébé, celui qu'elle a abandonné.
L'odeur entêtante du sang, celle du bois vert et de l'humus après un jour de pluie.
- WEEDOSOROSIsteni Báthory
- Avatar : taylor lashae
Crédits : prettygirl
Gallions : 380
Sang : sorcier, avant, elle n'en sait rien. aujourd'hui il est simplement maudit
Statut social : mariée, techniquement. en pratique célibataire, volage, son cœur donné à ses muses et son corps à ses envies passagères
Etudes : excepté deux ans à koldovstoretz à son compteur, isteni n'a fait aucune études. c'est son père qui lui a tout apprit
Opinion Politique : peu lui importe, leur politique ne l'intéresse pas. pourtant c'est bien sa soif de sang et de chasse qu'ils attisent à force d'exploitation et de travaux forcés
Particularité magique : vampire, le sang chante pour elle et les ténèbres se plient à ses désirs. elle a un niveau avancé.
Aventures : dagmar | jeremiah
Mer 7 Sep - 23:05 (Δ)
story of my life
once upon a time
[...] and even hell is holy
Isteni... n'a pas une bonne mémoire. Elle ne peut pas avoir une bonne mémoire avec autant d'années dans les jambes, résonne-t-elle. Elle compartimente, elle oublie volontairement et parfois, elle se souvient. Souvent, elle se souvient de ce qui fait mal, de ce qui lui donne envie de briser ses statues, d'enfoncer des murs. De tuer.
Souvent, c'est l'humanité.
Ses origines, c'est ce qu'elle a oublié en premier. Cette famille qui l'a élevé mais ne l'a jamais aimé. Elle a chassé la déception de son père (elle n'était pas un fils, ne serait jamais un fils), n'a gardé que la vision de ses grandes mains lui montrant les mouvements encore et encore et encore. Elle a dédaigné le mépris de sa mère (elle n'était pas fille non plus, un couteau de gravure à la main, faisant parler le bois plutôt qu'aidant en cuisine). Elle a oublié la jalousie brûlante de son frère (elle était la préférée de leur père, lui avait volé sa place malgré son statut d'aîné, de garçon, de privilégié).
Elle les a oublié à quinze ans alors qu'on l'enfermait dans une maison froide et misérable (le ventre lourd puis les bras encombrés) ; la privant de son art qui lui donnait vie et de la joie de la liberté. Aux mains d'un mari qu'elle n'aimait pas, aux poings vifs et à la voix tonnante, Piroska s'oublia elle-même (sa mère gagna). Elle devint femme, épouse, mère, oublia l'artiste, oublia l'enfant.
Le visage de son bébé est l’une des rares choses dont elle aurait voulu se souvenir. Elle n’avait pas été une bonne mère, n'aurait probablement jamais été une bonne mère (trop égoïste, trop, trop… elle) si on lui en avait donné l'opportunité mais elle l’avait aimé.
La mort, en revanche, elle ne s’en rappelait que trop clairement.
C’est tragique, la mort, mais c’est poétique disent-ils.
Sur le moment, quand on meurt, quand on cesse de respirer, c’est sale, c’est le bordel, c’est douloureux. C’est les poumons qui poussent, qui aspirent, qui n’ont rien, c’est le sang qui gargouille dans la gorge, qui s’échappe à flot, qui étouffe, c’est le couteau qui égorge, la douleur qui coupe les membres, le corps qui lutte en vain.
La mort n’a rien de belle quand on la vit. N'a rien de beau quand on la donne.
Cette mort, la sienne, Piroska n'en garde qu'un souvenir de brûlure, d'agonie floue, de douleur à rendre folle. Son esprit s'est brisé, à ce moment-là, lorsque le vampire s'est réveillée à la place de la sorcière, que le prédateur a dévoré la proie.
La mort de son créateur, de cet homme vil et séduisant, Isteni en chérit le souvenir. De la chair qui cède sous le couteau destiné à faire chanter le bois, de ce dernier baiser au goût de sang qui lui vole un précieux air, de la froide détermination qui suit la brûlante violence, de ce dernier murmure qui l'interroge sur ses raisons. Elle ne lui répond pas. Ne lui crache pas que c'est le paiement de sa liberté ; qu'elle est divine et qu'il n'est rien ; qu'elle est prédateur et non plus proie ; qu'elle est la création qui l'a dépassé.
Il meurt sans réponse, son prénom oublié et sa mort chérit.
Piroska eut vingt ans pour rendre compte que le bois lui livrait toujours ses secrets. Il chantait à son âme et Isteni n’oublia aucune de ses chansons, quelque soit le pays, l'année ou la sculpture. Cette surface si solide, qui résiste au temps comme elle résiste aux époques, et pourtant si vivante, chaleureuse.
Le bois est sa mémoire là où son esprit flanche.
La licorne en liberté qui se cabre dans le vent, le cheval qui renâcle. Trois générations riantes et heureuses d’un village rassemblée autour d’une tablée. Un saumon en plein saut pour remonter la rivière. Le chat et ses yeux intelligents. Le philosophe et ses lunettes rondes, la romancière avec sa plume, le prêtre avec sa soutane.
Tout autant d’histoires qui lui reviennent à l’esprit quand elle s’attarde devant ses petits bouts de moments envolés, des instant paisibles de presque rien.
Presque assez pour lui faire oublier l'exécution. La cage vide et l’oiseau aux ailes arrachés juste à l'extérieur. L’homme défiguré par la guerre. La femme battue par un père. L'enfant enfermé dans son cauchemar, un œil (grand, sombre, immense) visible derrière un rideau de cheveux raides. Les ruines.
Le bois est sa mémoire et Isteni se rappelle tous les jours à quel point l’humanité est destructrice. Profondément mauvaise. Au point de tromper la mort ! Mais les vampires sont monstrueux par leur nature seule (elle le sait, l'a accepté, elle est vampire, cannibale de l’humanité, zombie, monstre, trompe-la-mort). Les humains le sont par choix.
Elle a une relation conflictuelle avec l’humanité.
Se nourrir de sorciers et créatures magiques est une perversion qu'elle engage avec plaisir en revanche. C'est comme revivre, c'est aspirer la vie d'un autre, c'est retenir la magie en elle qui est morte, aurait dû être morte. Le battement de leur cœur qui ralentit sous ses doigts, qui panique, rate, accélère, et leur respiration comme un miroir de leur cœur dans son oreille. C'est tuer pour vivre et quelle meilleure représentation de l'humanité ? Ils ne sont chacun que des sangsues ; elle est simplement mieux placés dans la chaîne alimentaire.
(Parfois elle joue avec sa nourriture et se demande ce que c'est, de ne pas être un monstre.)
((Elle ne s’en souvient pas.))
Sa rencontre avec la tribu des Koren, au sang enchanteur et à la férocité digne des anciens guerriers, est le début de la fin, pense-t-elle alors ; loin de s'imaginer que c'était le contraire.
Ce sont eux qui la dirigent vers une communauté vampire, vantant la qualité de leur alimentation et leur ouverture d'esprit. Longtemps, elle hésite. Divine, libre, elle ne l'est que parce qu'elle est seule. Elle a apprit depuis longtemps que toute compagnie l'enserre dans des chaînes dont elle n'a jamais aucune chance de se défaire - à moins de frapper la première.
Longtemps, Isteni observe. Juge. Visite. Méprise leurs règles, admire leur complicité, dédaigne le sang animal dont ils se nourrissent, jalouse leur confort. Tombe amoureuse des ateliers destinés aux artisans. Fait des connaissances, des relations, des amis. Réapprend à vivre dans une société différente de celle qu'elle avait abandonné, différente de celle qu'elle avait effleuré du bout des doigts sans plus en faire partit, différente de celle qu'elle avait imaginé.
Un jour, elle décide.
Un jour elle décide.
(Elle dépose la peau du monstre, le cache dans un coin de son esprit, le caresse dans le sens du poil jusqu'à ce qu'il ronronne à la place de ses rugissements.)
Isteni devient Báthory.
- AMORTENTIARuwa Besada
- Avatar : sherouk farid
Crédits : avatar : dyonissas, gif profil : sandraclyde
Gallions : 15795
Sang : considérée comme sang-pure, mais cela n'a aucune importance pour Ruwa qui se considère comme sorcière avant tout.
Statut social : Le coeur qui bat fort pour le scorpion (isidore) et premiers battements de coeur marins (kamrailid). Célibataire officiellement, enceinte d'un futur petit garçon (fils d'isidore).
Etudes : ugadou, promotion 1915-1920, Poudlard, promotion 1920-1922, serdaigle, club d'échecs sorciers
Opinion Politique : Ruwa n'est dans aucun parti politique. Anti-puriste notoire, elle ne comprend pas cette notion. Anti-secret magique bien qu'elle soit plus flexible sur cette question.
Particularité magique : atteinte de la malédiction du coeur brisé, condamnée à se faire briser le coeur et devenir hideuse - magie sans catalyseur, stade expert.
Aventures :
Ven 9 Sep - 12:03 (Δ)
bienvenue
protego maxima
there's just no time to die
Quel personnage Je suis conquise par la classe sanguinolente qui émane de Isteni J'ai trop trop hâte de voir les Bathiory sur le forum et que nos petits vampires soient relancés Comme toujours, une fiche parfait
Toutes nos félicitations , tu viens de passer les vérifications de tes papiers d'identité et tu es maintenant validé. Maintenant que tu es officiellement des nôtres, avant d'aller commander une bierraubeurre, on t'encourage à aller ouvrir tes sujets d'évolution, de liens et de hiboux pour pouvoir te faire des petits copains ou des grands ennemis. Tu as l'opportunité aussi d'aller réclamer des gallions dans la boutique, participer à l'animation drink me et le rp roulette. Si tu recherches des liens spécifiques, tu peux poster dans le sujet recherches de liens ou tout simplement passer par le discord du forum pour contacter directement les autres joueurs. Enfin, si tu te sens un peu perdu, la partie parrainage pourra t'aider. N'hésite pas à demander à avoir un parrain ou une marraine.
Encore bienvenue parmi nous et on te souhaite un bon jeu, et une longue vie sur Protego Maxima !