- WEEDOSOROSOlya Black
- Avatar : freya allan
Crédits : avatar (visenya-den)
Gallions : 1830
Sang : sang-pure des steppes russes anglicisée.
Statut social : mariée à altair black, mère de deux bébés, pollux (cracmol et abandonné) et alhena, enfants surprises.
Etudes : poudlard, poufsouffle.
Opinion Politique : pro-lmd bien que non engagée dans la cause. Si elle ne déteste pas à proprement parler les moldus, elle considère leur avancée technologique comme une menace qu'il faut surveiller.
Particularité magique : aucune.
Magie
Points:
(109/200)
Ven 18 Fév - 16:09 (Δ)
sexualité féminine, maternité
OLYA BLACK
ft. Freya Allan
citation citation citation
Presque tendre épouse d’Altaïr Black avec qui elle a des faux jumeaux Alhena et Pollux d’à peine quelques mois. Belle-sœur par alliance d’Arcturus, Vesper, Antarès et Astoria Black. Belle-fille tant détestée et avec réciprocité d’Adela Black et ignorée de feu Alaric Black. Membre lointaine par alliance d’Elladora Black.
Etant mère depuis peu et s’étant difficilement remise de sa grossesse, elle tatonne encore à reprendre une sexualité comme elle désirerait, s’impatiente parfois (souvent) de sa propre lenteur. Pour autant, elle ne fait pas tout à la va vite et prend le temps d’écouter son corps qui est son meilleur indicateur. Et pour l’instant, ce corps lui dit qu’il est épuisé par ses deux bébés, qu’elle a appris à aimer tendrement se découvrant un instinct maternel entier et vivant.
Pour autant, elle ne s’épanche jamais à ces sujets politiques et sait que ce sera toujours sa famille et aucun autre parti qu’elle mettra en avant.
baguette magique de 23 cm, bois de cornouailler, ventricule de dragon, fais beaucoup de bruit quand elle l’utilise.
une libellule.
la tombe de ses nouveaux-nés avec des fleurs fânées.
odeurs florals, thé noir, chocolat et mandarine.
- WEEDOSOROSOlya Black
- Avatar : freya allan
Crédits : avatar (visenya-den)
Gallions : 1830
Sang : sang-pure des steppes russes anglicisée.
Statut social : mariée à altair black, mère de deux bébés, pollux (cracmol et abandonné) et alhena, enfants surprises.
Etudes : poudlard, poufsouffle.
Opinion Politique : pro-lmd bien que non engagée dans la cause. Si elle ne déteste pas à proprement parler les moldus, elle considère leur avancée technologique comme une menace qu'il faut surveiller.
Particularité magique : aucune.
Magie
Points:
(109/200)
Ven 18 Fév - 16:10 (Δ)
story of my life
once upon a time
citation citation citation
La même année, Olya demande à sa famille à devenir magistrae ce qu’on accepte. Elle est initiée (en plus des fêtes annuelles) tous l’été et une bonne partie de la fin de l’année.
C’est le jour de la signature du bail, Olya devenant la propriétaire de la boutique, qu’elle baptise l’endroit avec Altaïr, tombant enceinte de lui.
Sous la pression sociale de l’époque et d’un accord entre les deux jeunes gens, Altaïr demande Olya en mariage, assumant ainsi sa grossesse. Quelques jours plus tard, elle apprend par une vision d’Altaïr qu’ils ne seront pas 3 mais 4.
Elle remarquera cependant rapidement qu’Altaïr refuse de toucher Pollux mais ne fera pas parler ce dernier jusqu’à ce qu’elle le surprenne faisant tomber à cause d’une vision Pollux et le rattrapant in extremis avec sa magie sans baguette. Elle garde le secret de cette vision pour lui mais fera tout pour qu’Altaïr, qu’elle sait aimant envers ses deux enfants, ne soit plus gêné par des visions et lui propose de porter des gants quand il s’occupe de Pollux.
(5 ans.)
Cher jounal,Anta, il est michant.
Il ma coupé les cheveu et j'es pleuré.
Demy été pas content. Moi aussi.
Je le boude. :(
Olya
(11 ans.)
Elle a le nez droit sur le plafond magique et l’observe un peu la bouche ouverte. C’est beau. C’est même féérique un peu. A côté d’elle, il y a une ribambelle d’enfants de son âge, à commencer par Altaïr Black qui était avec elle. Elle lui tenait la main parce qu’elle sait que pour lui c’était tout aussi impressionnant. Son regard clair parvint finalement à se détacher du plafond magique pour finalement regarder, curieuse le tabouret et l’étrange chapeau installé dessus. Il y avait déjà quelques enfants comme elle qui s’étaient posés et à qui on avait mis le chapeau sur la tête. Elle se doutait bien que ce se serait son tour à un moment donné. Ca ne manqua pas d’ailleurs.
« Apraxine, Olya. » Son regard clair se posa un instant sur Altaïr et elle lui sourit, toute Joyeuse avant de finalement, sautillant de bonne humeur, lui lâcher la main pour se diriger droit sur le tabouret. Comme une enfant sage qu’elle était, elle s’y assit en balançant les jambes et observa tout le monde, ne pouvant s’empêcher de penser que c’était impressionnant quand même. Le chapeau fut mis sur sa tête.
« Tiens, tiens, tiens. » Elle sursaute et regarde autour d’elle avant de réaliser que c’est le choixpeau qui se trouve sur sa tête qui lui parle. « Mais voilà qui est interessant, jeune Apraxine, aussi solaire que le soleil de la Russie perse dans les nuages. »
« Si tu le dis, Monsieur le choixpeau. » pensa-t-elle très fort en fronçant les sourcils en même temps. Le balancement de ses jambes s’arrêta un court instant.
« Tu as toutes les qualités pour que la maison d’Helga t’accueille bien que tu manques beaucoup de patience… mais ta loyauté est indéfectible et ta gentillesse à toute épreuve. Helga aimerait beaucoup ta sensibilité à la nature, ton côté rêveur et ta forte tête. »
« Bon ben Poufsouffle alors Monsieur le choixpeau ? » dit Olya. Le balancement de ses jambes se fit impatient.
« Mais tu as également de grande qualité pour faire une bonne Serpentarde. Tu es rusée et maline, aussi roublarde que les petits renards qui s’attaquent aux poulaillers. Bien trop têtue pour être réellement inoffensive et je vois de grandes qualités d’inventivité pour avoir ce que tu le souhaites ce qui dénote une ambition bien plus insidueuse que certains même de cette propre maison. »
Elle fait une moue. Il est un peu long ce choixpeau quand même à prendre la décision là.
« Ben Serpentard alors. »
« Pourtant, Poufsouffle saurait voir ton potentiel mais Salazar serait fier de t’avoir dans sa maison. Tu seras une bonne et grande sorcière. »
Le balancement de ses pieds se fait un peu plus important.
« Bon, tu choisis, monsieur le choixpeau ? Parce que moi j’ai faim là. Et puis tout le monde me regarde un peu beaucoup. Non pas que ça me dérange mais je crois qu’il y en a qui attendent leur tour aussi. » s’impatienta-t-elle.
Et il continue le choixpeau, dirigeant parfois sa tête (et elle trouve cela très désagréable) vers les deux tables. Ca commence à bien faire quand même là !
« Bon, pardon mais faut qu’on fasse un choix là. Mets moi à Poufsouffle. »
« Tu es sûre ? Serpentard t’accueillera aussi les bras ouverts. »
« Oui, allé. J’aime beaucoup le vert mais le jaune c’est comme tu le dis, la couleur du soleil. Puis, Antarès va pas arrêter de me coucher les cheveux dans mon sommeil. J’aimerai éviter qu’on se moque de moi quand même. Allé Pouffsouffle s’il te plait. Puis, je crois que de toute façon, Maman, Papa, Demyan et Illarion s’en fichent d’où je vais. »
« Bon et bien dans ce cas… POUFSOUFFLE ! »
(19 ans.)
Elle se rappelle qu’il faisait beaucoup froid malgré son manteau de fourrure. Lors de cette journée du carnaval des saturnales, Olya avait comme à son habitude depuis deux ans maintenant et qu’elle avait acquis la fonction de magistrae des eaux, balisé le chemin et purifié les lieux pour que la chasse aux trésors des enfants, surtout de Céleste et Cassiopée ne soit pas semé d’embuches. Elle y tenait beaucoup de faire cela d’autant plus que les terres des Apraxine étaient vastes même si pas plus vastes que celles en Russie. Accompagnée de sa mère, Alya balisait un peu plus loin le chemin et Olya réfléchissait, se demandant si elle pourrait demander à Altaïr de venir. Si Noël approchait à grand pas, elle pouvait encore le voir. Son attention fut cependant tirée par une plante qui avait triste mine. Défintivement, le chène qui se trouvait là pompait toute l’eau et ne lui en laissait pas. Levant sa baguette, elle prononça un aguamenti et sa baguette se mit à couiner. Le sortilège fut superbement réalisé et bientôt la plante fut arrosée. Un mouvement sur le côté de son regard la surprise et elle se tourna. Dans les feuillages, une centaure femelle apparue. Elle avait le poil crème et de longs cheveux blonds. Olya ouvrit un peu la bouche ébahie.
« Petite humaine. » salua la centaure.
Olya lui adressa un sourire chaleureux et vient faire un salut prudent. Elle savait les centaures assez susceptibles mais en voir ce soir était une chance.
« Tu ne devrais pas être seule. » dit la centaure. Olya vit que sa mère avait bien avancé. Visiblement, elle lui faisait confiance pour revenir en un seul morceau ce qui était un peu ambitieux de sa part. De toute la fratrie, Olya était définitivement très mauvaise en sortilèges de duels.
« C’est gentil. Mais je suis là pour baliser le chemin. Mes nièces vont faire leur chasse au trésor bientôt. » dit Olya avant de faire un bout de chemin avec la centaure.
« Mais fais attention, ton petit cheval semble étouffer et certaines créatures ici n’ont aucun scrupule à attaquer les femelles prêtes à mettre bas. »
Les yeux d’Olya s’écarquillèrent. Instinctivement, sa main alla sur son ventre.
« Mais non, je ne suis pas… » commença-t-elle avant que sa voix ne meurt. Elle se fige. Non, mais bien sûr que non elle n’est pas enceinte. Elle n’avait eu aucun signe annonciateur. Mais pourquoi la centaure mentirait ? Les centaures ne mentent pas spécialement et respectent les bébés…
« Olya ? » appela la voix d’Alya.
Olya se tourna vers sa mère qui revenait bien vers elle. La centaure repartit dans les feuillages. Alors qu’Alya approchait, le visage d’Olya se décomposa un peu plus.
« Maman, je crois que je suis enceinte. » dit-elle d’une voix blanche.
(19 ans.)
« Je suis enceinte, Altaïr. » Elle n’y croit toujours pas. C’est complètement fou et incroyable. 5 mois en plus. Enfin, elle s’approchait du cinquième mois d’après sa mère. Ca avait été une journée de folie. Elle avait cessé toutes ses activités et avait longuement discuté avec sa mère sur la marche à suivre. Avorter était hors de question. Olya se le refusait. Mais elle ne pouvait pas ne pas en parler au père de l’enfant qui n’était autre qu’Altaïr. Altaïr qui mit un long moment à réagir et Olya sentit que sa patience était menée à mal. Son ventre avait déjà commencé à pousser et à la réalisation de son corps déformé, Olya avait eu un hoquet de choc. La culpabilité parce qu’elle avait mis la vie de ses enfants en danger la rattrapait.
Mais la culpabilité disparue aussitôt quand Altaïr ouvrit enfin la bouche pour parler :
« D’un bébé ? »
Non, triple buse. Je suis enceinte d’un Scrout à Pétard parce que le père est un Scrout à Pétard visiblement. pensa-t-elle très fort, suffisamment fort pour que son regard fusille Altaïr.
« De moi ? » poursuivit-il et elle laisse échapper un soupire d’exaspération.
Mais qu’est-ce qu’il était pas doué quand même…
« Pour quelqu’un d’aussi intelligent, c’est incroyable ce que tu peux être con. Concentre-toi. Est-ce que j’annoncerai ma grossesse à une personne qui n’est pas le père ? » lâcha-t-elle, se rendant compte qu’elle était vraiment vexée en réalité qu’il pense que ce soit de quelqu’un d’autre.
Évidemment, ils n’étaient pas vraiment ensemble mais il n’y avait jamais eu que lui parce que quoiqu’elle en disait, elle l’avait dans la peau. Alors qu’il pense que cela soit d’un autre… Elle soupira mais s’arrêta en le voyant rejoindre le sol et voir que tout comme elle cette nouvelle le dévastait. Et ce n’était pas lui qui portait le bébé. Elle sentait déjà tellement de changements dans son corps… Elle est habituée à ses crises. Il en a fait plusieurs avec elle et elle a appris à l’aider à les gérer. En voyant pourtant sa détresse subite, elle se mordit la lèvre. Malgré tout, elle ne veut pas qu’il soit aussi dévasté qu’elle et elle vient poser une main protectrice sur son épaule, s’agenouillant devant lui maladroitement.
« Il existe des manières de…enfin…le faire partir non ? »
Elle ne sait pas ce que cela lui fit qu’il évoque l’idée mais elle devait admettre qu’elle y avait pensé elle aussi se trouvant trop jeune pour être mère et puis 5 mois, cela ne laissait que 4 mois pour tout organiser, mettre en place et elle ne savait subitement pas ce qui allait se passer pour elle-même s’il refusait de prendre la paternité.
« C’est trop tard pour ça Al. » dit-elle d’une voix douce. « J’en suis à cinq mois, Altaïr. »
Cinq mois. Cinq mois de déni.
(19 ans.)
Le ventre avait poussé comme par magie. Elle le trouvait beaucoup gros quand même et elle ne voyait déjà plus ses pieds. C’était devenu de plus en plus difficile de bouger. C’était surtout devenu même épuisant et à la boutique, elle était obligée de s’asseoir longtemps. Ça la chagrinait un peu parce que ses fleurs méritaient toute l’attention du monde. Elle avait même hésité à engager quelqu’un pour l’aider. Mais non, Olya n’aimait pas trop déléguer. Elle était arrivée au Square un peu plus tôt, avait évité Adela le plus possible. Hors de question de la voir cette harpie-là. Par contre, Olya réfléchissait sérieusement à faire en sorte que toutes les plantes du Square crèvent. Après un rapide bonjour à Alaric (elle se sentait toujours extrêmement mal à l’aise avec lui), elle avait été dans la chambre d’Altaïr. Ils allaient bientôt se marier.
En réalité, toute sa famille avait été mise à contribution, elle, leur faisant confiance. Olya n’avait jamais rêvé d’un mariage d’amour, pas pluq qu’elle ne croyait aux mariages contes de fées. C’était bien hypocrite de se dire qu’ils le faisaient par amour. La pression de la société, elle était plus forte et elle n’avait aucune envie de s’impliquer réellement dans les préparatifs du mariage. Sauf pour sa robe et sa traine parce que ça, elle en avait des idées et c’était la seule chose à laquelle elle voulait se faire plaisir un peu et appréhender son corps qui continuait à se déformer de jour en jour.
Dans la chambre, elle constata qu’il y avait encore des fleurs qui étaient arrivées. Certaines étaient de Demyan et Illarion. Il y en avait d’ailleurs beaucoup dans le tas en réalité. Mais c’était toute sa famille qui avait pensé à elle comme le voulait la tradition des Apraxine.
Récupérant l’un des livres qu’elle avait commencé à lire, Olya se remit à la lecture de sa série de roman à l’eau de roses préférés. Altaïr, lui, était à côté d’elle aussi allongé. Subitement, un inconfort la saisit et son souffle se coupe. Olya écarquille les yeux et observe son ventre.
Oh. C’est définitivement une sensation un peu étrange mais son bébé a bougé. Il bouge encore d’ailleurs. Ca lui donne envie de vomir.
Ne voulant cependant pas faire manquer cela à Altaïr, elle se tourne légèrement vers lui.
« Il a bougé Al. Tu veux toucher ? » demanda-t-elle avec un grand sourire chaleureux.
Elle le vit hésiter, puis soupirer. L’observant déposer sa Reine sur l’échiquier, elle fut témoin du changement dans son regard devenu lointain, si lointain qu’il en était ailleurs. Olya savait qu’il avait eu une vision. Pour autant, elle s’inquiéta. Elle venait de lui proposer de toucher son ventre. Et si la vision annonçait un problème ?
« Ca va ? » demanda-t-elle essayant de maitriser l’appréhension qui la prenait alors.
Altaïr était livide et tremblant lorsqu’il posa sa main sur son ventre. Olya sentit un frisson glacer la saisir. Il y avait un problème ?
Mais il me fait peur celui-là ! s’impatienta-t-elle.
« Altaïr ? »
« Ils sont deux. »
Olya ne comprit pas. Deux ? Quoi ? Abasourdie, elle ne comprit pas tout de suite qu’il se levait.
Deux bébés dans son ventre.
C’est pour ça qu’elle était si grosse !
Cela lui fit cependant l’effet d’une douche froide et toutes les sonnettes d’alarmes s’allumèrent dans sa tête. Deux bébés ? mais… Déjà un on lui a dit que c’était quelque chose, mais deux… !
Elle réalise alors qu’Altaïr prend sa veste. Elle est confuse quand elle lui demande :
« Tu vas où ? »
« Voir ma mère. Ou Antarès. Ou Arcturus. Je sais pas »
« Mais… » commença-t-elle abasourdie.
Elle n’eut le temps de rien faire qu’il était déjà sortie de la pièce, la laissant seule.
Exécédée et énérvée, Olya se leva et regarda toutes les plantes de la pièce. D’un mouvement de baguette magique, elles pourrirent tous et Olya récupéra sa veste, ne dit au revoir à personne et rentra chez les Apraxine, les larmes aux yeux.
Quel goujat cet Altaïr.
(20 ans.)
« Vous allez vous engager l’un envers l’autre. Est-ce librement et sans contraintes ? »Sans contrainte ?
Elle a envie d’éclater de rire, sardonique. D’ailleurs, elle adresse un grand sourire au représentant du ministère qui les marie. Elle a l’air d’être la femme enceinte de cinq mois la plus heureuse du monde de se marier. La robe est d’une blancheur virginale, ce qui l’a beaucoup fait rire aussi. Mais ce n’était pas cela dont elle était le plus fière, c’était la longue trainée de fleurs qu’elle avait tressé elle-même, toutes blanches et bleues. En réalité, elle avait tenue à ce qu’il y est des fleurs de partout, jusqu’à même dans la barbe de Demyan et la couronne de fleur d’Illarion. Ils n’avaient de toute façon rien pu lui refuser, étant tous plus stressés pour elle qu’elle devienne une Black qu’elle-même.
Son regard se posa sur son futur mari. Elle ne pouvait cependant pas le nier, Altaïr était beau dans son costume. Son regard clair croisa le sien et elle lui adressa un sourire.
« Oui. »
A cela prêt que les bébés qu’elle portait étaient la cause même de ce mariage. D’ailleurs, elle pouvait sentir le regard glacé d’Adela sur elle. Elle l’ignora superbement et ne la laisserait pas lui gâcher cette journée qui ferait pourtant rêver toutes les petites filles. Elle, elle rêvait uniquement à aller se coucher parce qu’elle était vraiment fatiguée.
Elle essaya de faire bonne figure pourtant mais les mots de l’homme en face d’elle rentraient une oreille et sortaient pas une autre oreille. C’est finalement quand l’homme lui demanda de répéter qu’Olya se tourna définitivement vers son futur mari. Quand elle plongea ses yeux dans les siens, elle mit quelques secondes avant de prononcer :
« Je promets de t’aimer et te chérir. »
Aucun amour, non. Mais pas de la haine non plus. En réalité, tout allait beaucoup trop vite, elle le sentait mais ils n’avaient pas le choix. Elle n’avait pas le choix et c’était mieux que ses bébés soient reconnus par leur père. Elle n’en pensa pas moins pourtant qu’elle le laissera faire ce qu’il veut dans la plus grande des discrétions s’il avait envie de mettre sa queue ailleurs. Elle savait qu’il en ferait de même avec elle tant qu’elle ne tombait pas enceinte à nouveau. C’était un marché qui lui plaisit… tout en ignorant dans toute la bonne volonté qu’elle avait et l’optimisme dont elle faisait preuve que cela ne se passerait pas comme cela avec les deux enfants arrivés.
Elle le vit tendre sa main et Olya lui passa la bague au doigt.
Plus que la sienne, un baiser échangé et la comédie serait terminée.
Vivement qu'elle dorme, elle était déjà épuisée des festivités.
(20 ans.)
Ils étaient enfin là. Les deux petits jumixtes comme elle aimait les appeler. Elle était épuisée mais bel et bien vivante. Elle avait cru mourir dix fois mais serrant la main d’Altaïr, elle avait su qu’il ne l’abandonnerait pas. Il était resté jusqu’au bout en réalité et si elle n’avait pas pu l’en remercier, elle savait que plus que n’importe quelle déclaration, c’était tout ce qu’il lui fallait pour qu’elle l’aime un peu plus qu’hier. De là à parler d’amour, elle n’en savait rien mais il s’était montré être un formidable allié et ami pendant tout le reste de la grossesse. Si les disputes étaient nombreuses et que souvent elle le mettait à la porte, elle savait qu’il revenait toujours et qu’il n’avait jamais failli quand elle avait un problème. Restée alitée pendant près d’un mois, incapable de bouger, c’était lui qui s’était occupée d’elle. Chaque mouvement était douloureux et Olya ne savait plus réellement comment se mettre pour que son corps soit moins douloureux. Elle l’avait maudit un million de fois sous ses colères enfantines par ailleurs. C’était encore pire quand elle lui avait serré la main si fort et insulté en russe alors qu’elle hurlait et hurlait de douleur parce que les bébés voulaient enfin sortir. Elle avait les cheveux collés à elle tellement elle suait. Ses cheveux blonds collaient sur l’oreiller et sous le dernier cri, elle entendit vaguement que le premier bébé avait été réceptionné. Ce n’était pas son cri cette fois-ci mais le cri du bébé et elle sentit son cœur chavirer. Pour autant, la douleur ne s’arrêtait pas. Il fallait maintenant sortir le second et Olya entendit à peine qu’Altaïr avait déjà baptisé la petite.
Allé, plus fort.
Allé, c’est presque terminé.
Elle en pleure.
Plus jamais, par les babayagas, plus jamais elle ne ferait l’amour. Elle préférait une vie à utiliser sa main plutôt que ça, cette horrible douleur de l’accouchement. Mais il fallait le sortir ce bébé et elle commençait à désespérer. C’est long quand on a mal surtout comme cela.
Enfin la délivrance et Olya repose la tête contre l’oreiller et ferme les yeux. C’est un tourbillon d’hormones et d’émotions alors qu’Altaïr dépose enfin Alhena contre elle. Elle rit et elle pleure, épuisée, émotionnée, remplie d’une joie qu’elle découvre alors.
Sa fille sera belle quand elle aura dégonflé. Un second cri se fait entendre et cette fois-ci c’est celui de son garçon.
« Où est-il ? » Elle pleure de joie et ses nerfs lâchent. Les pleurs pourtant se tarirent en voyant, émerveillée, la neuvième merveille du monde qui était remise entre les bras d’Altaïr.
Mais ce qui suivit, elle le comprit alors. L’appréhension la saisit alors et elle eut envie d’hurler à son tour. Son bébé était en mauvaise santé ? Qu’est-ce qui se passait ? Que voyait-il ? Pourquoi se tenait-il aux barreaux de la sorte ?
« Tout va bien ? » Elle en criait presque dans la panique qui la saisissait.
« Je dois juste être fatigué. » Et elle le crut. Trop épuisée pour cherche le mensonge. S’il avait aussi mal réagit c’était peut être que son fils allait faire de belles choses. Peut-être qu’il serait un grand sorcier. C’était forcément cela.
« Donne-le-moi. » dit-elle entre larmes et rire, ses nerfs ne sachant plus quel bouton appuyer.
Et lorsque Pollux rejoignit ses bras aux côtés d’Alhena, Olya sut que l’univers pouvait bien s’effondrer, ses deux soleils se trouvaient enfin auprès d’elle. Eux qui lui avaient tant causé d’angoisse, de douleur, de peur, elle ne voyait plus que la joie de leurs astres dans la pièce où entre le sang, les produits aseptiques, l’odeur des fleurs surmontait le tout.
- InvitéInvité
Ven 18 Fév - 16:30 (Δ)
CETTE REFERENCE
Pis ta plume, pis le FC, pis les deux familles de cette demoiselle... can't wait
PS : tatie Ella says hello
Pis ta plume, pis le FC, pis les deux familles de cette demoiselle... can't wait
PS : tatie Ella says hello
- InvitéInvité
Ven 18 Fév - 16:59 (Δ)
je crois que je n'aurais pas pu rêver mieux comme fc pour représenter olya, elle est parfaite
j'ai hâte de lire tes rps avec ton cher et tendre, cela vends des jeux pépites !
très hâte de pouvoir rp avec ma potite cousine (et de voir Dem et Illarion se réveiller avec des couronnes de fleurs, ou voir Olya s'énerver )
rebienvenue à toi, chez toi !
j'ai hâte de lire tes rps avec ton cher et tendre, cela vends des jeux pépites !
très hâte de pouvoir rp avec ma potite cousine (et de voir Dem et Illarion se réveiller avec des couronnes de fleurs, ou voir Olya s'énerver )
rebienvenue à toi, chez toi !
- InvitéInvité
Sam 19 Fév - 11:21 (Δ)
Oh mais trop chouette ce personnage (et cette fiche ofc) ! J'espère qu'on pourra se trouver un petit lien parce que vrmt
rebienvenue chez toi !!
rebienvenue chez toi !!
- AMORTENTIADemyan Apraxine
- Avatar : Tom Payne
Crédits : lovesilence
Gallions : 6555
Sang : Pur
Statut social : Célibataire endurci, étant gay il est compliqué d'envisager un mariage sereinement bien qu'il aspire à devenir père un jour.
Etudes : A passé toute sa scolarité à Koldovstoretz. S'en est suivit deux ans de services militaires en Russie avant qu'il emménage avec sa famille en Angleterre où il a poursuivit des études en médecine pour devenir aujourd'hui médicomage urgentiste.
Opinion Politique : Anti Secret - Pro Moldus
Particularité magique : Metamorphomage (optimal), il mesure 176 cm.
Aventures :
Sam 19 Fév - 15:58 (Δ)
J'ai si hâte ! Cette fiche est trop bien ce fc parfait ma petite olya
_________________
Pour les dialogues russes, survolez le texte pour voir apparaitre la traduction
- WEEDOSOROSAntarès Black
- Avatar : Timothée Chalamet
Crédits : avatar lost tales
Gallions : 2406
Sang : Always Pure
Statut social : Marié à Astoria Black, un mariage d'amour caché par des raisons politiques, solidifiant l'alliance entre les Potter et les Black.
Etudes : Serpentard jusqu'au bout des doigts, il a achevé Poudlard avec les honneurs, quelques titres du club de duel dans les poches.
Opinion Politique : Il vit pour le chaos, brûle d'envie de voir les murs tomber et la haine déferler sur les moins que rien qui se cachent sous la protection des sorciers
Particularité magique : Magie sans Baguette et Occlumens
Magie
Points:
(200/200)
Dim 20 Fév - 22:06 (Δ)
bienvenue
protego maxima
there's just no time to die
Qui rêver de mieux pour jouer la belle-soeur ! J'adore déjà ta petite fleuriste, et Antarès va adorer l'embêter
Toutes nos félicitations , tu viens de passer les vérifications de tes papiers d'identité et tu es maintenant validé. Maintenant que tu es officiellement des nôtres, avant d'aller commander une bierraubeurre, on t'encourage à aller ouvrir tes sujets d'évolution, de liens et de hiboux pour pouvoir te faire des petits copains ou des grands ennemis. Tu as l'opportunité aussi d'aller réclamer des gallions dans la boutique, participer à l'animation drink me et le rp roulette. Si tu recherches des liens spécifiques, tu peux poster dans le sujet recherches de liens ou tout simplement passer par le discord du forum pour contacter directement les autres joueurs. Enfin, si tu te sens un peu perdu, la partie parrainage pourra t'aider. N'hésite pas à demander à avoir un parrain ou une marraine.
Encore bienvenue parmi nous et on te souhaite un bon jeu, et une longue vie sur Protego Maxima !
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