what are you fighting for? (sanaa)
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okMJ

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Sanaa Londubat
Sanaa Londubat
Avatar : imaan hammam
Crédits : wyrd
Gallions : 480
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Sang : ce statut ne rime à rien pour elle qui vient d'une contrée lointaine mais elle est dite sang-pure dans le pays de son mari.
Statut social : mariée à l'homme de sa vie, à celui pour qui elle a quitté son pays sur un coup de folie ; en relation extra-conjugale avec Sizwe Shacklebot, le père de son aîné, depuis presque vingt ans.
Etudes : sept ans passé à Uagadou, de 1919 à 1926.
Opinion Politique : égyptienne aux idées bien différentes de celles qui règnent en Angleterre, Sanaa est conseillère au pôle Justice de la WSU.
Particularité magique : légilimens innée, au contrôle parfait et aux migraines fréquentes ; magie sans catalyseur comme tout alumni de Uagadou
Aventures : Aedan | Hector | Ruwa | Andrew


Magie
Points:
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Sanaa Londubat
ft. Imaan Hammam
let me fall asleep at the sound of your heartbeat
- CARTE DE CHOCOGRENOUILLE -

IDENTITÉ - Sanaa, la radieuse, la lumière qui illumine tous, aux racines arabes de sa mère. Ahmose, enfant de lune, à la douceur égyptienne de sa famille. Hamri, nom de sa mère aux racines matriarcales Shilha, qui se devaient de vivre chez sa fille. Sarofim, descendants de la pieuse Nepthys, au savoir guérisseur, à la neutralité assumée et aux opinions dissimulés. Londubat, de mariage, d’amour, de choix, à la droiture respectée. NAISSANCE - Thèbes la majestueuse, il y a trente-deux ans de cela, en 1909. NATURE DU SANG - Son sang est un héritage de ses ancêtres, qui qu'ils soient. Pourtant l'Angleterre a ses idées, alors elle s'est proclamée pure lorsqu'elle a reçu la nationalité ; et la famille de son mari fut contenté. FAMILLE - Benjamine des Sarofim aux paroles pieuses et aux yeux fermés, Sanaa est la quatrième enfant, dernière de la branche principale après trois garçons. Radieux soleil au milieu des étoiles, son parcours l’a éloignée de son pays natal qui sombre doucement dans le chaos aux mains de l’Usurpateur ; rejoignant ses cousin.e.s souverain.e.s, Besada exilés en Angleterre, avec une mission qui se doit de rester tue. Elle s’est aujourd'hui attachée aux Londubat, épouse du patriarche Andrew, mère de trois magnifiques fils, Gyasi Jabari Sarofim, Oliver Ejaz et Raoni Londubat. ROMANCE - Sanaa est un oiseau polyamoureux, au coeur impulsif et passionné. Elle aime sans discrimination, à foison, sans limites. Mariée depuis plusieurs années à présent à Andrew, elle est également dans une relation secrète, pas vraiment définie ni vraiment réfléchie, avec Sizwe depuis sa majorité ; les deux hommes de sa vie, les pères de ses enfants. ORIGINE(S) - Fille d’Egypte, Sanaa porte son pays dans son sang, sur sa peau, dans ses idées, dans ses croyances, fièrement, sans honte ; ses dieux lui ouvrent la voie, sa famille suit ses pas. Au sang marocain, Berber, Shalhi, et hollandais, une dualité qu’elle a apprit et vécu dans les mots de sa mère. Anglaise, enfin, nationalité adoptée, embrassée par amour et curiosité, aimée et critiquée à part égale ; une nouvelle identité, nuance, facette pour former le tout qui est Sanaa. LIEU DE VIE - Le domaine Londubat se trouve dans le Lancashire, bien loin de la capitale. Ils ont pourtant besoin d'y être présents pour leur métier, le couple Londubat, alors ils ont fait leurs valises, ont ouvert leur propriété aux réfugiés sous l'oeil vigilant de la doyenne, et se sont soumis au bon vouloir des officiels en charge de la relocalisation.  ETUDE - Enfant d'Afrique, noble du royaume qui avait un jour été le plus puissant du continent, Sanaa a fait de brillantes études à Uagadou, de 1919 à 1926. Aux intérêts diversifiés, à la famille insistante, elle a également reçu une formation religieuse et médicale. C'est pourtant chez les aurors qu'elle s'épanouit, après avoir forcé la main à son père pour la laisser passer l'examen d'entrée. MÉTIER - Auror en Egypte déjà, malgré un héritage pieux, elle a continué sur cette voie en emménageant en Angleterre. A trente ans, elle fut nommée adjointe, ses capacités et ses nombreux amis triomphant sur la xénophobie et le sexisme suintant de ses supérieurs. Elle en détient toujours fièrement le poste.

CARACTÈRE - Droite - juste - loyale - engagée - féministe - caractérielle - chaleureuse - téméraire - têtue - croyante - modeste - secrète - diplomate - stratège - impulsive - sensible - énergique - moralisatrice - langue de vipère.

OPINION POLITIQUE - L'Egypte a ses défauts mais la discrimination des sangs n'en est pas un. Sanaa a adopté l'Angleterre comme pays d'adoption volontairement, elle l'aime cette vieille dame acariâtre, mais elle a conscience de ses fautes également. Auparavant engagée à la CMP pour promouvoir une vision plus tolérante, elle est à présent dans les rangs de la WSU comment conseillère au pôle de Justice et Inclusion Sociale. Elle n'est pas particulièrement emballée par l'ouverture du Secret, non, mais elle est prête à se battre contre la haine que les autres partis veulent tant propager. GROUPE - Amortentia

PARTICULARITÉ(S) MAGIQUE(S)- Legilimancie innée, optimale. Entraînée depuis sa première manifestation magique à maîtriser ce pouvoir, les mois de tension en 1920 l’ont profondément marquée et elle a passé la majorité isolée pour ne pas être submergée par les pensées et sentiments d’autrui. Elle reste sensible durant les périodes agitées et évite les foules si elle peut. Elle maîtrise les barrières mentales parfaitement mais il y a la peur d’être submergée et une pression mentale constante.
Magie sans catalyseur, optimale. Alumni d’Uagadou, elle n’a que rarement soin d’un catalyseur et uniquement pour les sorts les plus complexes qui lui échappent encore.
PARTICULARITÉ(S) NON MAGIQUE(S) - De pair avec la légilimancie innée, Sanaa a une grande sensibilité à l'anxiété et la peur ambiante. Physiquement, cela se traduit avec des crises d'eczéma plus ou moins sévères qui lui ravagent la peau. Ses bras sont les plus touchés et il n'est pas rare de la voir s'en tartiner sa crème faite maison à base d'aloe vera lorsqu'elle a un moment de libre. Plus particulièrement depuis le début des hurlements de la Banshee.
Fille d'une des grandes familles de Ta shémaou, l'apprentissage des langues a été d'une grande importance toute sa vie durant. Sanaa est aujourd'hui polyglotte, pouvant parler, en plus de l'égyptien pharaonique et de l'anglais, le copte, l'arabe égyptien, le swahili ; elle possède également des bases en arabe marocain, français et russe.
Sa plus grande peine de coeur est honnêtement d'avoir dû laisser Goliath, le dogue allemand de la famille, à la propriété Londubat avec grand-mère Mildred quand Andrew et elle ont déménagé à Londres au début de la relocalisation. (Goliath est également son fils préféré parce qu'il est beaucoup plus sage que les trois garçons. Gyasi trouve ça très injuste apparemment.)


- catalyseur -
Elle possède une baguette apotropaïque faite de l’ivoire d’un hippopotame depuis son enfance, gravée des symboles de ses divinités protectrices.
- patronus -
Une lionne, qui chasse, protège, et se bat parfois contre le mâle qui tente de tuer ses enfants en prenant la direction de la pride.
- épouvantard -
La chute d’Egypte, les familles brisées par l’Usurpateur, la sienne assassinée.
- amortentia -
L'on sentira pour elle l'odeur de la tajine de boeuf que sa mère a apprit à leur cuisinier, venu tout droit du Maroc de son enfance ; les rosiers en fleurs de la propriété Londubat qu’elle a fait sienne par amour ; l’aloe vera, de cette crème qu’elle utilise depuis toute jeune et dont l'odeur est devenue inséparable de son parfum.

Elle-même sent un mélange changeant de café chaud ; de l'odeur du papier à livre, parfois neuf, parfois poussiéreux ; l'odeur de la terre après la pluie ; et enfin de la crème pour bébé.

QUESTION 1 - Que pensez-vous de l'idéologie de la ''pureté du sang'' sorcier ? L'un des aspects les plus étranges de la société britannique, à son avis, bien qu'elle joue le jeu pour rester en bons termes avec sa belle-mère. S'enfermer ainsi dans une politique de rejet contre les individus qui apporte du sang nouveau à leur communauté, lui permettant de continuer à vivre, lui paraît d'une stupidité infini. D'une arrogance, également, extraordinaire. Qui étaient-ils, ces mortels, pour remettre en question les décisions des dieux ? Chaque individu choisi par la magie l'était pour une bonne raison.

QUESTION 2 - Que pensez-vous du Secret Magique ? Pas grand chose. Le Secret est une composante de sa vie, tant et si bien qu'elle ne pourrait imaginer ouvrir leur monde aux moldus. De tout temps les communautés sorcières se sont protégés des sans-magies en les plongeant dans l'ignorance, il lui parait irréfléchi en ces temps et âges troublés de faire machine arrière.

QUESTION 3 - êtes vous conscrit au LDV ? Non, mais elle fait partie des aurors-instructeurs deux jours par semaines. Elle est également volontaire à la Garde Mobile pour un tour de garde par jour - c'était deux auparavant, quand la fatigue magique n'était pas un symptôme connu.


PSEUDO/PRÉNOM - Maanae ÂGE - 23 ans PAYS/RÉGION - Oxford o/ bièrreaubeurre ou jus de citrouille ? - Just de citrouille o/ Quidditch ou rat de bibliothèque ? - Rat de bibliothèque CRÉDITS - Whiskerson  RETOURS - Sur la fiche ça me va ! Avez-vous lu la charte de bonne conduite du forum ? - Voui Où avez-vous connu le forum ? - PRD, y'a looongtemps LE MOT DE LA FIN - Plein d'amour sur vous what are you fighting for? (sanaa) 1317473285

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Sang : ce statut ne rime à rien pour elle qui vient d'une contrée lointaine mais elle est dite sang-pure dans le pays de son mari.
Statut social : mariée à l'homme de sa vie, à celui pour qui elle a quitté son pays sur un coup de folie ; en relation extra-conjugale avec Sizwe Shacklebot, le père de son aîné, depuis presque vingt ans.
Etudes : sept ans passé à Uagadou, de 1919 à 1926.
Opinion Politique : égyptienne aux idées bien différentes de celles qui règnent en Angleterre, Sanaa est conseillère au pôle Justice de la WSU.
Particularité magique : légilimens innée, au contrôle parfait et aux migraines fréquentes ; magie sans catalyseur comme tout alumni de Uagadou
Aventures : Aedan | Hector | Ruwa | Andrew


Magie
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story of my life
once upon a time
'I believe in you.' Words that water flowers.

1909 - Naissance. Sanaa Ahmose naît, radieux bébé aux cris puissants, de l'union de Dihya Harim et Omari Sarofim. Petit trésor de ses frères, Asim, Ishak et Akl, qui la gâtent volontiers, cette nouvelle petite soeur si curieuse.

1914 - Magie. Durant un dîner, alors que ses frères ne cessent de chuchoter pour qu'elle ne les entende pas, la frustrant énormément, il y a un déclic. Sanaa est envahie par une cacophonie de voix et d'images, de sensations et d'émotions ; sa tête menace d'exploser. Loués soient ses parents qui réagissent immédiatement en la voyant soudainement se mettre à pleurer hystériquement, l'isolant pour avoir de l'espace pour déterminer ce qui ne va pas, l'aidant quelque peu.
Prêtresse. On se tourne vers les dieux et les prêtres pour l'aider à contrôler ce don puissant mais insidieux. Sanaa est invitée dans le temple de Nephtys comme apprentie, où elle résidera régulièrement pendant les six longues années qui la séparent de son entrée à Uadagou. Au-delà d'apprendre à contrôler son don, elle suit le véritable parcours d'une prêtresse et participe à la vie religieuse de son temple. Elle sera donc en mesure d'accomplir des cérémonies en tant que prêtresse de Nephtys lorsqu'elle aura finit son apprentissage, à sa majorité.

1919 - Uadagou. Le Messager des rêves la visite, lui annonçant sa rentrée prochaine à l'école magique. Curieuse comme tout, elle reste accrochée à sa cousine Ruwa, de quelques années son aînée, tout du long du processus, effrayée à l'idée d'être submergée par les esprits de tout ce monde. Il en va sans dire, Sanaa est une visiteuse régulière du temple dédié aux divinités égyptiennes de l'école. Cette timidité ne dure qu'un temps pourtant et elle s'intègre bientôt sans mal - tant qu'elle arrive à maintenir ses barrières mentales.

1920 - Coup d'état. La colère gronde dans son pays, son peuple menacé par la famine après de mauvaises récoltes, alors qu'elle est toujours à l'école. Elle est souvent au temple, avec Ruwa et Aali, à prier que les dieux les prennent en pitié. Elle fait partie du pélerinage, sur le bateau de sa famille qu'elle trouve inquiets et tendus. Malgré ses barrières, elle perçoit les sentiments de la foule qui l'entoure, et elle en est glacée. Il y a bien trop de sentiments négatifs. Son pressentiment, qu'elle avait confié à son père dont elle n'avait pas cru les paroles de réconfort trahies par ses propres pensées, se vérifia lorsque Khempis, descendant de Seth, plongea leur pays dans le chaos. Ses cousins disparaissent dans la nature.
Equilibre rompu. Pharaon, exécuté. Les Besada, descendants de la grande Isis, l'une des Sept, exilés dans un pays lointain. Bien avant que le nouveau Pharaon se révèle dangereusement isolationiste et intolérant, les Sarofim, descendants de Nephtys la pieuse, murmurent leur insubordination derrière une neutralité de façade. Le coeur de leur pays est leurs dieux, leur croyance. Que se passera-t-il à présent qu'Isis a été chassée de Ta Sahoumé ?

1922 - Premier amour. La vie continue pourtant, la situation se calme en apparence et Sanaa sort de son isolation forcée par son don. A quatorze ans, adolescente et fraîchement menstruée, Sanaa rencontre Shakir Nasr aux Joies d'Hathor. Ils explorent ensemble, découvrent leurs corps et celui de l'autre. Jeunes et le coeur soupirant, ils se promettent de se revoir.

1926 - Diplômée. Avec son diplôme d'Uagadou, qu'elle a terminé brillamment, arrive une autre cérémonie. Sanaa est prêtresse de Nephtys, officiellement. Son don n'est plus un problème, ses barrières mentales solides. Elle n'est pas pour autant libre de ses choix, ses parents inquiets la convainquent de continuer sur la voie de la priêtrerie en se spécilisant dans la médicomagie cette fois-ci, dont elle a déjà reçu les bases à Uagadou, alors qu'elle ne tient plus en place, meurt d'envie d'une vie plus excitante. Prêtresse elle est par nécessité, mais ce n'est pas sa voie.
Sizwe. Leur rencontre se fait par hasard, la passion les emporte, ils s'apprennent, se découvrent. Se revoient, souvent. Il lui vole un bout de son coeur et Sanaa emporte un peu du sien en retour ; il n'y aucune promesse, juste des hasards qui s'accumulent au fil des années.
Mariage. Son mariage avec Shakir est facile, naît d'aisance plus que de passion, un amour tout de même. Ses sentiments pour son premier amour sont toujours tendres et avoir une alliance avec la famille Nasr - qui a offert de nombreux officiels à l'administration du royaume et qui est descendante de Renpet, une déesse mineure mais essentielle - n'est pas une mauvaise chose non plus.

1928 - Gyasi. Son fils, Gyasi Jarabi Sarofim, naît aussi énergique que sa mère au terme d'un long accouchement. S'il est la fierté de sa mère et la joie de son père, cela tourne vite au vinaigre lorsqu'ils se rendent compte que Gyasi ressemble bien plus à Sizwe qu'à Shakir.
Divorce. Eux qui s'éloignaient de plus en plus, la naissance de Gyasi sépare définitivement Sanaa et Shakir. La tendresse ne suffit plus à réconcilier leurs idées et modes de vie si différents, leurs tempéraments qui s'affrontent sans cesse, et la découverte de la parenté de Gyasi en est trop pour lui. Ils se séparent le cinquième jour des Joies d'Hathor suivantes.
Parentalité. Sanaa obtient évidemment la garde de son fils et Sizwe s'intalle en Egypte, reconnaissant son fils par la même occasion. S'ils se mettent en couple quelques temps, cela devient vite évident que ça ne fonctionnera pas ; alors ils se séparent, sont amis, amants et parents mais libres de toute attache.

1930 - Carrière. Sa formation initiale de médicomagie qu'elle suit au temple se termine finalement. A vingt-et-un ans, déjà mariée et divorcée, mère de son fils, Sanaa refuse de continuer sur cette voie. Prêtresse, elle le sera toujours en elle-même, mais ce n'est pas la vie qu'elle veut vivre. Elle quitte le temple officiellement et s'en va passer l'examen d'auror contre l'avis de son père qui tempête derrière les portes closes de la propriété familiale. Ce n'est pas que la curiosité et le désir d'une vie plus dangereuse qui la pousse à ce métier pourtant ; elle veut être au sein du système, voir de ses propres yeux ce que leur brillants sorciers pensent de ce Pharaon qui paralyse leur pays dans un chaos qui ne cesse de se répandre. Sanaa veut aider son peuple et être retranchée dans le temple de son ancêtre ne la laisse pas agir autant qu'elle le voudrait.

1933 - Réunion familiale. Après une énième répression du Pharaon qui se conclue par la destruction d'une famille de marchands respectée et appréciée, pour la simple raison qu'ils ont protesté les nouvelles restrictions sur le commerce avec l'étranger, les familles restantes des Sept se réunissent en secret. Le pays court à sa perte, concluent-ils, le chaos de Seth est trop puissant, l'exil d'Isis les affaiblit trop. Se contenter d'observer ne suffit plus, il faut agir. Sanaa, téméraire et impulsive, se porte volontaire pour se rendre en Angleterre elle-même. Son fils reste en Egypte avec son père, par mesure de sécurité.
Angleterre. Elle rencontre ses cousins discrètement, prudente au cas où on la surveille. Ensemble, ils s'entendent pour ouvrir une ligne de communication entre les Sarofim et les Besada. Au détour d'une visite touristique, elle rencontre Andrew Londubat. C'est le coup de foudre, une nuit passagère mais passionnée. Ils se revoient tous les jours, apprennent à se connaître, à se découvrir, à tomber amoureux un peu plus à chaque instant.
Mariage. C'est une décision prise sur un coup de tête, une coup de folie d'une plaisanterie devenue soudainement sérieuse. Sanaa a des responsabilités en Egypte, lui en Angleterre, mais ils s'aiment, terriblement, et ils cèdent à la folie. C'est chez Ruwa qu'ils vont toquer d'abord, la Pharaone qui aurait dû être, celle qui a la loyauté de Sanaa, sa cousine si chère. Ils se jurent amour éternel devant Hathor et les Sept grands. Puis Andrew l'emmène chez le père d'une connaissance qui officie des mariages sang-purs et ils réussissent à le convaincre avec un mélange de promesses et de gallions. Ils lient leurs magies, leurs noms, se lient l'un à l'autre, selon la tradition anglaise. Devant les dieux et la magie, en une nuit, à la sauvette, entre rires et chuchotements, cérémonies et précipitations, Andrew et Sanaa se marient.
Anglaise. C'est un scandale en Angleterre. Ils n'en ont que faire, mais doivent se plier au décorum. Sanaa rencontre sa belle-famille officiellement ; ce n'est pas glorieux et il lui faudra bien des efforts pour apprivoiser Ethel et Albert Londubat, sans parler de la doyenne, Mildred. En attendant, les Londubat exigent une cérémonie, et cérémonie il y eut donc, avec tous les gens bien nés qu'ils venaient de choquer, les amis d'Andrew et les Besada qui tiennent une place d'honneur aux côtés de Sanaa évidemment. Sanaa devint officiellement anglaise par son mariage. Les époux commencent à faire des plans pour le futur.
Egyptien. Ce n'est pas très bien accueilli en Egypte non plus, mais les Sarofim s'inclinent à leur tour. Andrew est accepté dans la famille après une 'conversation entre hommes' avec son père et ses frères, Sanaa ne parvient pas à savoir ce qu'il s'y est dit mais le résultat lui convient alors elle n'insiste pas. Sa mère, en revanche, l'a immédiatement apprécié, lui confie-t-elle le premier soir. Andrew rencontre également Sizwe et Gyasi dont elle lui a déjà parlé et Sanaa les laisse discuter en paix, espérant qu'ils s'entendent ; tout se passe bien. On organise une somptueuse réception en l'honneur des mariés une semaine plus tard, une façon pas si subtile d'intimider le marié qui l'est déjà bien assez. Andrew reçoit, avec la nationnalité, un prénom égyptien. Sadiki 'fidèle, loyal.'
Garde Sanaa va s'installer en Angleterre avec Andrew, un choix qui répond à plusieurs impératifs, dont la nécessité de faciliter le contact entre les Besada et l'Egypte sans alerter l'Usurpateur. Elle veut emmener son fils avec elle et Sizwe accepte. Dans les années qui suivent ils se voient en passant, le temps d'un dîner, d'un baiser, d'un moment à deux, alors qu'il visite son fils entre deux voyages.
Installation. Elle se glisse dans la vie anglaise avec autant de curiosité que d'appréhension, adoptant l'Angleterre comme terre d'accueil les bras grands ouverts. Gyasi a un peu plus de mal, notamment avec le climat si différent, mais il est suffisamment jeune à cinq ans pour s'adapter rapidement alors que la curiosité d'un environnement nouveau prend le pas sur la crainte de l'inconnu. Un mois après être installés, Sanaa rejoint le bureau des aurors avec une recommendation de son ancien supérieur après avoir passé leur examen avec brio et s'installe confortablement dans sa nouvelle routine.

1936 - Oliver. Naissance de son second fils, Oliver Ejaz Londubat. C'est une grossesse et une maternité très différente de la première ; ni mieux ni pire, mais différente. Ce qui ne change pas, c'est tout l'amour qu'elle porte à ce petit bout de chou qui réclame à manger à grands cris, une émotion reflétée dans l'esprit d'Andrew qu'elle connaît sur le bout des doigts. Gyasi ne réagit pas très bien les premiers jours, jusqu'à ce que Sanaa s'assoie avec lui pour une longue conversation sur sa place dans la famille et l'amour qu'Andrew lui porte même s'il n'est pas son père ; Ollie est son frère et il ne lui volera pas sa place dans leur coeur, jamais. Ca s'arrange progressivement, à leur grand soulagement.
Politique. Epuisée par la maternité et son métier qu'elle a reprit, Sanaa rejoint tout de même la CMP. Elle a l'espoir d'aider à améliorer la vie de ceux qui sont oubliés ou injustement discriminés dans le programme du parti ; elle veut agir pour son prochain, ceux qui ne sont pas privilégiés par leur naissance, et elle ne peut faire ça sans s'impliquer dans la vie politique de son pays d'adoption.

1939 - Promotion. Sa fierté lorsqu'elle fut nommée adjointe au chef du bureau des aurors, malgré le sexisme et la xénophobie anglaise qui lui ont mis tellement de bâtons dans les roues au cours de ses dernières années est à son summum. Elle rayonna, Sanaa, de voir ses efforts ainsi récompensés, de se voir donner de nouvelles opportunités de protéger et aider.
Raoni. Cela fait quelques mois à présent que le couple parle d'avoir un troisième enfant, Sanaa, pourtant, répugne à retomber enceinte. Un dilemme qui trouve une réponse lors d'une sortie familiale au musée où ils croisent les protégés de l'Orphelinat Greengrass. Le petit Raoni, adorable et énergique et timide du haut de ses quatre ans, leur rentre dedans au détour d'un couloir, leur volant leur coeur en un instant. Si le couple Sarofim Londubat ne se précipite pas, parle longuement avec Raoni et la directrice, ainsi qu'avec leurs enfants, ils finissent par prendre une décision. Raoni rejoint leur petite famille.

1940 - Troubles. La vision de la bombe atomique est révélée au grand public par Gellert Grindelwald. S'ensuit la fondation des partis de la LMD et WSU. Sanaa rejoint cette dernière, qu'elle trouve prometteuse si ce n'est un peu trop idéaliste ; qu'importe, c'est en visant la lune qu'on atteint les étoiles n'est-ce pas ?
Blitz. Le Ministère de la Magie est détruit par une bombe en plein milieu des primaires sorcières, où la famille se trouve. Ils n'ont que des blessures mineures et Andrew garde les garçons pendant que Sanaa aide leurs concitoyens malgré une migraine qui lui vrille les tympans et une pression mentale importante dû aux émotions explosives qui l'entourent. Elle fait son devoir. Oliver et Raoni sont envoyés à Poudlard rejoindre leur frère qui y fait déjà sa scolarité et le couple déménage à Londres pour aider au plus près du gouvernement. Ils ouvrent leur propriété aux réfugiés, sous l'oeil sévère de Mildred.
Marché de Noël. Les artefacts de la zone protégée de Londres tombent en panne en plein milieu du marché de Noël et un bombardement ravage une partie de ce dernier. Heureusement, les enfants ne sont pas là cette fois-ci, toujours réfugiés à Poudlard. Leurs blessures sont mineures et Andrew aide au Protego pendant que Sanaa porte secours à ceux qui ont besoin. Tous deux rejoignent la garde mobile par la suite.

1941 - Bal. Elle en est absente, de garde Protego ce soir-là, alors que le plus violent bombardement depuis Noël tombe sur la ville. Elle apprend cependant tout ce qu'il s'y est passé en son absence grâce aux divers (potins) témoignages de sa belle-mère et de ses cousins. Si les ragots l'amusent, elle est tout de même reconnaissante pour la langue acéré de Metys qui jette la lumière sur l'attaque que Londres a subit pendant que les puissants s'amusaient.
Acromentule. L'une des mafias les plus puissantes du pays, voire du continent, est enfin tombée ! Et cela grâce à Aedan, dont elle prédit un bel avenir dans le métier à qui veut bien (et ceux qui ne le veulent pas non plus) l'entendre, très fière de son junior.


- MÉFAIT ACCOMPLI -



1914
Il avait du bruit. Partout, tout le temps. Sanaa se frotta le front du plat de la paume avec un petit reniflement pitoyable. Elle avait mal à la tète. Cela attira l'attention de la femme qui la guidait dans les longs couloirs hauts de plafond du temple de Nephtys. Elle s'arrêta et la petite Sanaa manqua de lui rentrer dedans, une exclamation de surprise sur ses lèvres quand elle l'évita en catastrophe. Elle leva sa bouille vers elle. 'Masika... ?' Un silence, bref, au cours duquel Sanaa la regarda dans les yeux. Ce fut un peu plus calme, d'un coup. Son esprit était fermé, à Masika. Ca cachait un peu les autres quand elle se concentrait sur elle. C'était toujours bruyant, elle avait toujours mal à la tête, mais elle n'avait plus envie de pleurer.

'Est-ce que ça va mieux, petit milan ?' Elle hocha la tête faiblement, pas très convaincante. 'Merci Masika.' La prêtresse lui sourit et lui prit la main. Elles continuèrent leur route jusqu'au coeur du temple. Normalement elle n'aurait pas eu le droit de venir ici, papa le lui avait dit, mais Masika avait dit qu'elle était spéciale. Ca aiderait son mal de tête et le bruit qui bourdonnait même quand elle se bouchait les oreilles très fort. Elle avait promis !


1920
Sanaa déposa ses offrandes sur l'autel d'Isis en silence, avec respect et contrition. Elle était seule. Son visage impassible, si ce n'était les traces de larmes qui avaient humidifiés ses joues, son esprit agité dissimulé derrière les barrières mentales plus hautes et solides que jamais. Elle s'agenouilla face à l'autel, s'inclina profondément, front contre terre.

Pharaon mort. Sa famille tuée, chassée. Isis insultée, exilée loin de son pays.

La jeune prêtresse de Nephtys, encore en apprentissage, resta longuement dans cette position. Demain, elle retournerait en Egypte. Masika avait accepté sa requête de participer aux rites funéraires pour Pharaon. La cérémonie serait courte, la procession discrète, mais Khempis le traître, l'usurpateur, le héraut du chaos, avait accordé ce droit à son prédécesseur. Il avait voulu le lui refuser, lui avait écrit sa mère, ajouter la condamnation dans la mort à l'exécution dans la vie ; c'était son père, Omari, qui l'avait convaicu de se plier aux traditions pour rassurer le peuple. Ils avaient frôlé - frôlaient toujours en réalité - la guerre civile. Tout le monde devait se montrer prudent.

Sanaa se releva finalement, sa prière pour Isis et ses descendants touchant à sa fin, s'inclina une dernière fois, s'éloigna. Elle espérait que la Grande Epouse, Ruwa, Aali et Tiyi allaient bien, étaient en sécurité. Ni Masika ni sa mère n'en avait fait la moindre mention.


1928
Ce fut lui qui mit les mots sur un soupçon qui grandissait entre eux. 'Ce n'est pas mon fils.' Shakir regardait le nourisson dans ses bras, le visage impassible. Sanaa leva le regard de son papyrus, silencieuse. Elle n'avait pas besoin de légilimancie pour savoir qu'il était blessé. Sûrement l'aurait-elle été aussi si l'enfant de son épouse n'était pas le sien. Peut-être. 'Je suis désolée,' lui offrit-elle. Elle l'était. Si sa tendresse pour lui avait fâné, si leur mariage s'essouflait, elle n'avait pas non plus voulu le blesser.

Il vint lui donner Gyasi qui babillait joyeusement, ses yeux au bleu magnifique et familier grand ouverts. Elle le posa sur son épaule, le fit sautiller contre elle, savoura son petit cri d'excitation et son odeur de bébé.  Son sourire s'effaça pourtant en reposant le regard sur Shakir. Plus qu'être blessé par la révélation que ce fils qu'il avait aimé n'était pas le sien, c'est sa fierté qui hurlait son outrage sur son visage à présent. Son regard se fit noir, le défiant de s'emporter alors que le bébé était dans la pièce.

Il pourrait l'adopter. Le reconnaître comme sien même sans être son père biologique, même lorsque ledit père était souvent avec sa femme. Il pourrait faire passer le bébé qu'il avait pensé être son fils pendant plusieurs semaines avant sa douleur ou sa fierté. Il ne le ferait pas. Ils le savaient tous les deux. Pas alors que leur mariage battait déjà de l'aile, pas quand il portait autant d'importance à son héritage. Les adoptions étaient encouragées, c'était vrai, mais cela n'empêchait pas les familles de faire une distinction entre leurs héritiers de sang et d'adoption.

'Nous divorcerons aux prochaines Joies d'Hathor,' décréta-t-elle avec un ton définitif, une main carressant doucement le dos de son bébé. Shakir acquiesça sans dire mot et sortit à grand pas de la pièce, la porte claquant derrière lui. Le regard de Sanaa se perdit dans le ciel bleu qu'on apercevait par les fenêtres pleins pieds qui ouvraient sur le balcon. Un sourire malicieux glissa sur son visage, son amusement gagnant sur son irritation. La réaction de Sizwe allait être impayable.


1933
Allongée sur le ventre dans le lit dans la petite chambre d’hôtel qu’elle avait loué pour son séjour, Sanaa feuilletait la Gazette du Sorcier avec curiosité, glissant des regards peu discrets vers Andrew alors qu'il s'habillait - tout le monde n'avait pas la chance d'être en vacances, s'était-elle vanté en riant. Un encart la fit s'arrêter net, sourcils haussés par l'incrédulité. 'Les malédictions sont illégales ici ?' Il y eut un battement de silence. Elle s'assit pour le regarder en face et rencontra un regard confus. 'Oui ?' Elle fronça les sourcils. C'était incompréhensible. 'Mais... Comment est-ce que vous protégez quoique ce soit sans la menace de représailles ?' Les malédictions étaient partout en Egypte. Presque. D'accord, c'était une exagération, mais c'était le moyen le plus simple et efficace de s'assurer que si quelqu'un vous faisait du tort, iel le regretterait amèrement. Il fallait avoir les moyens de Pharaon pour briser les malédictions de certaines familles, songea-t-elle amèrement en se rappelant du pillage de l'héritage des Isis.

'On a Azkaban, les détraqueurs sont une très bonne menace.' Andrew se coiffa à l'aveuglette et Sanaa réprima un rire avant de lui faire signe de s'approcher. Il s'agenouilla devant elle et elle lui prit le peigne des mains. Azkaban... elle avait entendu ce nom quelque part. Elle lui passa une main dans ses cheveux peignés pour le rendre un peu moins sévère, sourit tendrement lorsqu'il la lui attrapa pour déposer un baiser sur ses doigts. Il était délicieusement romantique, son anglais. Au même instant, sa mémoire lui fournit l'information qu'elle cherchait et elle se redressa avec de grands yeux innocents. 'Oh, exact ! La prison où vous sacrifiez des gens pour apaiser des entités plus puissantes que vous ! Un peu comme des divinités au final.' Il ouvrit la bouche, un 'Pas du tout !' aux lèvres, qui s'évanouit bien vite. Elle s'esclaffa en le voyant froncer les sourcils, puis grimacer. 'Tu te moques de moi,' l'accusa-t-il, s'approchant d'elle jusqu'à ce que leurs lèvres s'effleurent. Le sourire de Sanaa ne s'évanouit pas, la malice brillant dans ses yeux noirs. 'Je n'oserai jamais,' rit-elle. Elle lui vola un baiser, puis un autre et un autre... Il arriva en retard au travail ce matin-là.


1939Assise en tailleur dans un coin reculé de la propriété Londubat, yeux fermés, Sanaa détendit sa nuque, puis ses épaules, se força à décrisper son dos, ses bras, ses mains. Elle ouvrit son esprit, abaissa prudemment ses barrières mentales, vérifiant qu'il n'y avait aucun esprit humain.

Autour d'elle, la nature.

Le bruissement de la brise dans la haie. Le craquement des branches. Le silence, en elle-même. Rien qu'elle et son don, libre tel qu'elle ne l'était que rarement. Au loin, dans le manoir, elle percevait les échos des esprits de sa famille. Gyasi était revenu de Poudlard pour Noël ; il était en première année, terriblement fier de sa maison, terriblement excité également malgré sa tendance récente à imiter le jugement sarcastique de son père ; Oliver ne le quittait pas d'une semelle. Quant à Raoni, elle l'avait laissé avec Andrew ; l'adoption était encore récente et il préférait encore rester en leur présence, même si ses frères commençaient doucement à le faire sortir de sa carapace. Un sourire étira ses lèvres lorsqu'elle effleura l'esprit familier d'Andrew, avant de retourner son attention en elle-même.

Son environnement immédiat, calme, paisible.

Loin des tumultes du bureau des aurors où elle se faisait encore à sa nouvelle position, loin du brouhaha permanent des grandes villes et de la pression constante qui s'installait sur ses tempes chaque jour. Il n'y avait que le silence bienfaisant de la solitude et de la paix autour d'elle. Une bénédiction pour sa sensibilité.

Ce fut une longue heure plus tard, une bonne demi-heure après que Goliath, le dogue allemand de la famille soit venu s'allonger près d'elle, qu'elle rouvrit les yeux. Il y avait un autre esprit familier à l'entrée de la propriété. Sanaa se releva, s'épousseta, et se glissa brièvement dans l'esprit de Sizwe pour l'avertir qu'elle arrivait, avant de se retrancher de nouveau derrière ses barrières.

Revigorée après une heure d'isolement, elle grattouilla les oreilles de Goliath et entreprit de traverser la propriété, le chien géant marchant tranquillement à ses côtés. Il était temps d'aller profiter d'une soirée en famille qui n'avait que trop tardée avec les deux hommes de sa vie et ses trois parfaits petits bébés - qui n'en étaient plus réellement mais qu'importe !


1941
Elle était au bureau des aurors lorsqu'elle apprit la débâcle qu'était devenu la grêve des travailleurs de la LDV. Sanaa écouta le rapport d'Aedan avec un visage de marbre malgré son irritation montante. Elle n'avait que peu d'amitié pour Jack Hues qu'elle trouvait terriblement imbu de lui-même en plus d'être aussi ouvert d'esprit qu'une cellule de prison et cette histoire n'arrangea en rien son opinion. Certes la LDV se devait de tourner pour protéger Londres. C'était cependant le droit des travailleurs de manifester pacifiquement contre des conditions de travail absolument honteuses. Cela ne s'arrangea en rien lorsqu'elle apprit la confiscation des catalyseurs des manifestants. Ses dent grincèrent tant elle les serrait. De quel droit !? Par la grâce d'Isis, ils n'étaient pas des criminels !

Sanaa passa une main sur son avant-bras droit, se retenant de gratter la plaque d'eczéma de justesse, et souffla un bon coup. Elle remercia Aedan et le libéra de ses fonctions pour la journée qui touchait de toute façon à sa fin. Elle fit venir à elle son papier à lettre et son matériel d'écriture. Bien. Elle n'aurait pas le temps d'aller voir Vasilii - qu'elle soupçonnait d'être déjà enseveli sous le courrier - et envoyer une beuglante à cette honte de commissaire ne servirait à rien, mais elle tenait à faire connaître son opinion. Sa lettre à Vasilii fut parfaitement courtoise. Celle destinée à Hector Fawley le fut tout autant, bien qu'elle ne cache en rien ses sentiments sur la question.

okMJ

Invité
Anonymous
Invité
Owiiiiii un nouveau personnage de toi brille Je suis si intriguée, et j'ai excessivement hâte de lire tout ce que tu écriras avec cette demoiselle au coeur pur et au profil tellement badass potte j'attends les tragédies et les feels qui vont nous faire chouiner, because obviously, mais déjà je suis tellement hypée par Sanaa mims

okMJ

POLYJUICE
Sanaa Londubat
Sanaa Londubat
Avatar : imaan hammam
Crédits : wyrd
Gallions : 480
what are you fighting for? (sanaa) B327abbc25258bca94f85a380d6377a7
Sang : ce statut ne rime à rien pour elle qui vient d'une contrée lointaine mais elle est dite sang-pure dans le pays de son mari.
Statut social : mariée à l'homme de sa vie, à celui pour qui elle a quitté son pays sur un coup de folie ; en relation extra-conjugale avec Sizwe Shacklebot, le père de son aîné, depuis presque vingt ans.
Etudes : sept ans passé à Uagadou, de 1919 à 1926.
Opinion Politique : égyptienne aux idées bien différentes de celles qui règnent en Angleterre, Sanaa est conseillère au pôle Justice de la WSU.
Particularité magique : légilimens innée, au contrôle parfait et aux migraines fréquentes ; magie sans catalyseur comme tout alumni de Uagadou
Aventures : Aedan | Hector | Ruwa | Andrew


Magie
Points:
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https://protego-maxima.forumactif.com/t2829-evolution-de-sanaa-londubathttps://protego-maxima.forumactif.com/t2671-what-are-you-fightin
Merciii @Ophelia Selwyn drama j'ai si hâte de te croiser en rp aussi what are you fighting for? (sanaa) 4278099164 j'espère qu'elle est à la hauteur de tes attentes, elle a plein de petits dramas en prévision cachotier (okay, que deux pour l'instant mais ils ont de bons potentiels drama)

okMJ

AMORTENTIA
Charlie de Breteuil
Charlie de Breteuil
Avatar : margaret qualley
Crédits : avatar frenchandfurious
Gallions : 1065
what are you fighting for? (sanaa) 89f6d3779088a7ddacfb06c6773ffa2b1d1a536b
Sang : sang-mêlé bien que cela n'a aucune importance pour les De Breteuil. Sang noble depuis deux siècles.
Statut social : En couple avec cyrus weasley.
Etudes : beauxbâtons, promotion 1931-1937, quelques clubs d'art, de lecture à son actif, poursuiveuse pour l'équipe de sa maison lors de sa dernière année.
Opinion Politique : aucunement engagée pour l'instant mais ce sont les idées de la WSU qui pourraient l'attirer. Pro moldue, pro levée du secret magique.
Particularité magique : legilimens stade intermédiaire et animagus écureuil gris stade intermédiaire.
Aventures :
what are you fighting for? (sanaa) 251ba5f5ef2515809c54c22c18b0e0f6a1394b7e



Magie
Points:
what are you fighting for? (sanaa) Gauche143/200what are you fighting for? (sanaa) Vide  (143/200)
bienvenue
protego maxima
there's just no time to die

Qu'est ce qu'elle est badass cette cousine drama what are you fighting for? (sanaa) 4278099164 je suis vraiment in love de ce personnage et de sa force mais c'est de toi dont on parle donc c'est normal what are you fighting for? (sanaa) 2986480135 Merci pour cette belle lecture drama

Toutes nos félicitations what are you fighting for? (sanaa) 4016504306 , tu viens de passer les vérifications de tes papiers d'identité et tu es maintenant validé. wii Maintenant que tu es officiellement des nôtres, avant d'aller commander une bierraubeurre, on t'encourage à aller ouvrir tes sujets d'évolution, de liens et de hiboux pour pouvoir te faire des petits copains ou des grands ennemis. mimi Tu as l'opportunité aussi d'aller réclamer des gallions dans la boutique, participer à l'animation drink me et le rp roulette. Si tu recherches des liens spécifiques, tu peux poster dans le sujet recherches de liens ou tout simplement passer par le discord du forum pour contacter directement les autres joueurs. Enfin, si tu te sens un peu perdu, la partie parrainage pourra t'aider. N'hésite pas à demander à avoir un parrain ou une marraine. calin2
Encore bienvenue parmi nous et on te souhaite un bon jeu, et une longue vie sur Protego Maxima ! adore

okMJ

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